À la recherche du surhomme : page 12. à la découverte de l'humain… enfin !
Par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, philanalyste et pirate des mots.
Par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, philanalyste et pirate des mots.
Étude réalisée à partir des notes 22, 81, 411, 415, X49, X162, X194 & X263 extraites de la première liasse,
Des réflexions de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, réunies, complétées et annotées.
Si ce nom d’auteur est rappelé souvent dans cette conférence, c’est pour permettre aux moteurs de recherche de l’Internet de se rappeler à son bon souvenir… et de lutter avec art contre la fange journalistique nauséeuse et médiocre qui n'aime pas les poètes !
Voici : à la recherche du surhomme ?
Des réflexions de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, réunies, complétées et annotées.
Si ce nom d’auteur est rappelé souvent dans cette conférence, c’est pour permettre aux moteurs de recherche de l’Internet de se rappeler à son bon souvenir… et de lutter avec art contre la fange journalistique nauséeuse et médiocre qui n'aime pas les poètes !
Voici : à la recherche du surhomme ?
12. à la découverte de l'humain…
Enfin !
C’est dans l’immensité de la connaissance que notre liberté se
construit… Cependant, comment trouver dans cet océan de visages et de paysages,
à travers le tumulte et les tempêtes mêlant le désir d’apprendre avec l’angoisse
de ne pas comprendre, comment oser savoir s’arrêter un instant. Savoir se
poser, se reposer — en toute sécurité — pour enfin repartir. Les humains
entreprenants sont tous des pirates : des êtres audacieux et volontaires, courageux,
en regard de l’étymologie du mot. Alors, les voici sur de frêles esquifs dans
des mers agitées, assoiffés d'apprendre le monde qui se construit à chaque
instant… à la recherche de trésors.
La rencontre humaine se provoque parfois à travers des échanges de coups de canons, ces coups de cœur dont il faut accueillir l’onde de choc avant des échanges merveilleux d’idées et la découverte d’amours… ces ondes de charme… — une des études philosophiques plutôt bien développées par Vincent CESPEDES — pour repartir encore et toujours à l’aventure.
La rencontre humaine se provoque parfois à travers des échanges de coups de canons, ces coups de cœur dont il faut accueillir l’onde de choc avant des échanges merveilleux d’idées et la découverte d’amours… ces ondes de charme… — une des études philosophiques plutôt bien développées par Vincent CESPEDES — pour repartir encore et toujours à l’aventure.
« Enfin une île, et repartir »…
« La possibilité d’une île »,
c’est savoir qu’il y a des espaces précieux où nous pouvons souffler un peu.
C’est très bien expliqué dans le principe des T.A.Z., ces Z.A.T., (en français), ZAT, une Zone Autonome Temporaire, selon Hakim BEY : ici, c'est une île où nous pouvons puiser, pour un espace-temps précis, la force nécessaire pour repartir, car elle disparaît avec notre départ ! L’homme en quête de devenir ne doit pas oublier qu’il est seul. Tout seul. Le merveilleux alors, est de croiser dans cette épopée de l’absurde d’autres êtres seuls, et de partager quelques instants lumineux en leur compagnie ! « La possibilité d’une porte », c’est accueillir, comme le rappelle Anatole FRANCE, le fait qu’une vérité reste temporelle, comme l’humain vivant, croisé sur l’océan, à travers l’espace… C’est un instant de souffle, une respiration pour reprendre notre chemin de la connaissance. Instant de plaisir, instant d’amour…
Contrairement à Raymond DEVOS, et dans la même quête de Gérard LENORMAN, si je n’ai jamais rencontré de dieu, malgré tous mes voyages, qu’ils soient autour de ma chambre ou à travers l’univers, je puis affirmer maintenant que la quête de tout « surhomme » est vaine pour celles et ceux qui cherchent l’humain !
À nous de le devenir…
C’est très bien expliqué dans le principe des T.A.Z., ces Z.A.T., (en français), ZAT, une Zone Autonome Temporaire, selon Hakim BEY : ici, c'est une île où nous pouvons puiser, pour un espace-temps précis, la force nécessaire pour repartir, car elle disparaît avec notre départ ! L’homme en quête de devenir ne doit pas oublier qu’il est seul. Tout seul. Le merveilleux alors, est de croiser dans cette épopée de l’absurde d’autres êtres seuls, et de partager quelques instants lumineux en leur compagnie ! « La possibilité d’une porte », c’est accueillir, comme le rappelle Anatole FRANCE, le fait qu’une vérité reste temporelle, comme l’humain vivant, croisé sur l’océan, à travers l’espace… C’est un instant de souffle, une respiration pour reprendre notre chemin de la connaissance. Instant de plaisir, instant d’amour…
Contrairement à Raymond DEVOS, et dans la même quête de Gérard LENORMAN, si je n’ai jamais rencontré de dieu, malgré tous mes voyages, qu’ils soient autour de ma chambre ou à travers l’univers, je puis affirmer maintenant que la quête de tout « surhomme » est vaine pour celles et ceux qui cherchent l’humain !
À nous de le devenir…
« L’humain existe, je l’ai rencontré »
!
Merci aussi à André GIDE pour ses « Nourritures terrestres » et ses « Nouvelles nourritures terrestres »… bien utiles pour prendre
quelques forces avant de repartir en mer…
Regard d’Amour
I
De visage en paysage,
L’on m'invite à ce voyage,
La liberté pour tout chemin
Vers l’océan le plus lointain.
La nature,
Ses créatures,
C'est mon histoire :
Une aventure
Où, de tout cœur, j'ose rêver…
De tout mon corps, je puis aimer.
Nuits après jours sur cette terre,
J’ouvre les yeux à la lumière ;
Trop souvent seul, un peu songeur
De quelques vers, un air moqueur…
Soudain je nais, souvent je meurs.
Point de regrets pour cette vie,
Elle est ainsi : je l'ai choisie.
II
Un soir, je me suis arrêté
Devant la fleur de mon été.
Elle était là, belle et amante,
À peine éclose et si savante
Que je me voyais endormi
Au cœur d’un monde où l’on dit : “ oui ” !
Espérant que cela ne cesse
Ne pensant plus à la promesse,
Un printemps changeait l’annoncée :
L'ancre venait d'être jetée.
Je ne savais croire à l'honneur
De tant d'amour et fus songeur…
Mais un parfum chassa mes peurs :
Elle a pris sa forme de vie,
Elle a jailli : je l'ai saisie.
III
Rien qu'un regard, rien qu'un sourire,
Enfin une île où je respire.
L'esprit comblé de sa présence,
Assuré de sa confiance
Sans peur de la voir me trahir
Ou se faner à mon soupir ;
Ces doux espoirs portent mes pas :
J’oublie alors tous mes tracas.
Elle a compris que je l'aimais
Puisqu’elle est en moi désormais.
Alors, son cœur contre mon cœur,
S'unissent ainsi force et chaleur,
Pour n'être que mêmes bonheurs.
Suis-je toujours seul en ma vie ?
Cherchez la muse : mon amie…
Pour un instant, se souvenir ?
Enfin une île et repartir…
Enfin une île et repartir…
— - — - --
Fin…
.
I
De visage en paysage,
L’on m'invite à ce voyage,
La liberté pour tout chemin
Vers l’océan le plus lointain.
La nature,
Ses créatures,
C'est mon histoire :
Une aventure
Où, de tout cœur, j'ose rêver…
De tout mon corps, je puis aimer.
Nuits après jours sur cette terre,
J’ouvre les yeux à la lumière ;
Trop souvent seul, un peu songeur
De quelques vers, un air moqueur…
Soudain je nais, souvent je meurs.
Point de regrets pour cette vie,
Elle est ainsi : je l'ai choisie.
II
Un soir, je me suis arrêté
Devant la fleur de mon été.
Elle était là, belle et amante,
À peine éclose et si savante
Que je me voyais endormi
Au cœur d’un monde où l’on dit : “ oui ” !
Espérant que cela ne cesse
Ne pensant plus à la promesse,
Un printemps changeait l’annoncée :
L'ancre venait d'être jetée.
Je ne savais croire à l'honneur
De tant d'amour et fus songeur…
Mais un parfum chassa mes peurs :
Elle a pris sa forme de vie,
Elle a jailli : je l'ai saisie.
III
Rien qu'un regard, rien qu'un sourire,
Enfin une île où je respire.
L'esprit comblé de sa présence,
Assuré de sa confiance
Sans peur de la voir me trahir
Ou se faner à mon soupir ;
Ces doux espoirs portent mes pas :
J’oublie alors tous mes tracas.
Elle a compris que je l'aimais
Puisqu’elle est en moi désormais.
Alors, son cœur contre mon cœur,
S'unissent ainsi force et chaleur,
Pour n'être que mêmes bonheurs.
Suis-je toujours seul en ma vie ?
Cherchez la muse : mon amie…
Pour un instant, se souvenir ?
Enfin une île et repartir…
Enfin une île et repartir…
— - — - --
Fin…
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Cette étude est insérée dans le livre "Amour et sexualité".
Je ne prépare pas la révolution…
J’agis pour l’évolution !
À suivre,
Pour vous exposer la suite de mes recherches…
J’agis pour l’évolution !
À suivre,
Pour vous exposer la suite de mes recherches…
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et vous promener dans le labyrinthe
des écrits d'Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
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des écrits d'Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
À la recherche du surhomme : page 12. à la découverte de l'humain… enfin !
Par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, philanalyste et pirate des mots. Tous droits réservés ©.
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville