Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Premier chapitre
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Premier chapitre
L’humain et son besoin
de rencontres ?
Je pense que l’être humain
fonctionne dans sa vie relationnelle en cycles évolutifs qui se construisent à
chaque moment de sa vie.
Il faut aborder notre réflexion en prenant bien conscience que dans toutes nos rencontres, l’on ne peut pas honnêtement séparer les besoins et les désirs de notre corps de ceux du cœur et de l’esprit.
Ces cycles se renouvellent continuellement et peuvent se vivre merveilleusement s’ils sont bien compris. Je vais essayer de les expliquer étape par étape.
Ce sont des découvertes quotidiennes de « soi-même », de l’autre « qui nous ressemble » et de l’autre « qui est différent ».
Il faut aborder notre réflexion en prenant bien conscience que dans toutes nos rencontres, l’on ne peut pas honnêtement séparer les besoins et les désirs de notre corps de ceux du cœur et de l’esprit.
Ces cycles se renouvellent continuellement et peuvent se vivre merveilleusement s’ils sont bien compris. Je vais essayer de les expliquer étape par étape.
Ce sont des découvertes quotidiennes de « soi-même », de l’autre « qui nous ressemble » et de l’autre « qui est différent ».
Trois rencontres de
chaque instant !
Elles permettent de construire
harmonieusement le cycle de la vie.
Elles structurent la femme comme l’homme tout au long de son existence.
Du jour de sa naissance jusqu’à sa mort, l’humain se situe alternativement dans ces trois états relationnels…
Elles structurent la femme comme l’homme tout au long de son existence.
Du jour de sa naissance jusqu’à sa mort, l’humain se situe alternativement dans ces trois états relationnels…
Première
rencontre :
« Avec soi-même ».
La phase narcissique.
« Avec soi-même ».
La phase narcissique.
J’utilise le prénom de
« Narcisse », en souvenir d’un héros magnifique de la mythologie
grecque.
J’ai restauré dans un conte, l’histoire de Narcisse, libérée des traducteurs interprètes à la solde des dieux : Narcisse ne meurt pas de s’être trop aimé, mais davantage de ne pas avoir su s’aimer.
Narcisse meurt en croyant aller à la rencontre de lui-même, trahi par les dieux, jaloux de sa beauté. Le piège était tendu : en pensant avoir trouvé son identité gémellaire avec le reflet de sa propre image, il se noie dans l’eau du bassin.
La phase narcissique, c’est la rencontre avec notre « moi ». Une découverte plaisante de notre corps, notre capacité à l’écouter, à le comprendre, à le respecter…
J’ai restauré dans un conte, l’histoire de Narcisse, libérée des traducteurs interprètes à la solde des dieux : Narcisse ne meurt pas de s’être trop aimé, mais davantage de ne pas avoir su s’aimer.
Narcisse meurt en croyant aller à la rencontre de lui-même, trahi par les dieux, jaloux de sa beauté. Le piège était tendu : en pensant avoir trouvé son identité gémellaire avec le reflet de sa propre image, il se noie dans l’eau du bassin.
La phase narcissique, c’est la rencontre avec notre « moi ». Une découverte plaisante de notre corps, notre capacité à l’écouter, à le comprendre, à le respecter…
À l’aimer !
Que nous ayons 4, 12, 20, 40, 50 ou
même plus de 70 ans, quel que soit notre âge, ce corps n’est jamais le même
d’un jour sur l’autre et cela exige une vive attention pour ne pas être débordé
ou surpris par son évolution !
Très vite l’enfant, puis l’adulte qu’il sera, découvre que son corps n’agit pas seul en lui. Son esprit raisonne, et son cœur (se) bat pour tenter d’aller à la rencontre de son moi.
Pour s’harmoniser avec le cœur et l’esprit, le corps doit être considéré et entretenu. Il est primordial de s’offrir une hygiène de vie personnelle, en n’écoutant surtout pas les « désinformations du monde », mais en veillant sur « un bien être » intelligent !
Le corps ne doit surtout pas être soumis à l’effort. Il faut lui éviter aussi au maximum toutes les pollutions sans oublier les contaminations sonores, visuelles et olfactives.
L’alimentation et la publicité restent les sources d’un danger permanent qui nous transforment en malades obèses. Réveillons-nous : réagissons et arrêtons d’être des CONS-somateurs.
Les médias ne sont pas là pour nous informer mais pour nous inciter à consommer : ils vivent grâce à la publicité payée par les industriels !
Sortons enfin des carcans institutionnels du moment à la solde des lobbies les plus divers, et osons nous éveiller : réagissons lorsque l’on nous conseille fortement, pour ne pas dire que l’on nous impose par matraquage, des actions finalement néfastes à notre bien-être personnel.
Libérons-nous des obligations institutionnelles comme boire 1,5 litres d’eau par jour à en faire de la rétention, manger 5 fruits et légumes contaminés par moult pesticides, s’imposer 3 produits laitiers toxiques, se réserver du poisson au mercure le vendredi et de la viande aux hormones tous les autres jours de la semaine… en devant surtout ingurgiter par 24 heures un nombre de calories plus que nécessaires pour qu’un Jean Valjean puisse soulever un lourd chariot en plein hiver…
Laissons donc notre corps — et plus particulièrement notre estomac — se reposer entre des repas sains… qui nous procurent du plaisir : évitons les en-cas, goûters, pauses addictives… et oublions ces édulcorants qui envahissent ces poisons : tous ces faux « produits light » qui créent la dépendance et la dépression pour nous transformer en « zéros » plutôt qu’en héros.
Débarrassons-nous de la bonne convenance commerciale de devoir se raser tous les matins les jambes ou la barbe, ou de se massacrer la peau en se douchant une à deux fois par jour pour s’engluer de pétrole, aluminium et autres métaux lourds sur le corps, où dramatiquement nous facilitons la destruction programmée des aisselles, cheveux, dents, ongles…
Tout cela annonce des lendemains qui ne chanteront pas.
Oui, cela nous prépare à démultiplier ces maladies auto-immunes où le corps n’en finit pas de « crier » à sa manière que nous le massacrons, comme nous l’expliquait — sans être écoutée — le docteur Catherine KOUSMINE. C’était une femme remarquable qui s’intéressait à l’humain alors que ses confrères du « monde médical » préféraient et préfèrent continuer à servir les causes politiques, religieuses et économiques de la consommation !
Les laboratoires pharmaceutiques à travers le monde produisent certainement autant de « médicaments » que de « poisons » rentables !
J’en citerai un seul en exemple, (sources officielles reprises par l’Internet, et relayées même par Wikipédia) : oui, quel plaisir cette publicité pour le très grand, très honnête et très puissant groupe chimique et pharmaceutique BAYER ©® à qui nous devons « l’invention » géniale de l’aspirine ©® celle beaucoup plus rentable de l’héroïne ©® (si, si !) et tant d’autres produits vendus pour notre bien-être comme l’ypérite, (le célèbre gaz moutarde ©® qui porte son surnom dérivé de la petite ville flamande Ypres, où fut tué notamment un de mes chers arrière-grands-pères et tout son régiment, parmi tant et tant d’autres, pendant la « Grande Guerre », celle de 14-18, celle que préférait Georges BRASSENS, dans sa chanson… eh oui !)… Ah, BAYER ©® fabrique aussi de médiatiques pilules de « quatrième génération » qui sauvent chaque jour des millions de jeunes filles de l’acné juvénile !
Manier ainsi la vie et la mort peut sembler contradictoire, mais ne nous inquiétons pas… s’il y a le moindre problème, le Groupe BAYER ©® détient pour veiller sur son bien-être et le nôtre, dans ses filiales, le deuxième assureur du monde : Allianz ©®.
Nous avons l’obligation d’encourager la progression financière et politique de ces multinationales comme BAYER ©® qui font sousvivre et mourir chaque jour des centaines de millions de bipèdes sur la planète !
Avoir un travail et consommer… ne manquer ni de pain, ni de jeu… « c’est, à ce qui se dit », notre raison d’être.
Réjouissons-nous !
Très vite l’enfant, puis l’adulte qu’il sera, découvre que son corps n’agit pas seul en lui. Son esprit raisonne, et son cœur (se) bat pour tenter d’aller à la rencontre de son moi.
Pour s’harmoniser avec le cœur et l’esprit, le corps doit être considéré et entretenu. Il est primordial de s’offrir une hygiène de vie personnelle, en n’écoutant surtout pas les « désinformations du monde », mais en veillant sur « un bien être » intelligent !
Le corps ne doit surtout pas être soumis à l’effort. Il faut lui éviter aussi au maximum toutes les pollutions sans oublier les contaminations sonores, visuelles et olfactives.
L’alimentation et la publicité restent les sources d’un danger permanent qui nous transforment en malades obèses. Réveillons-nous : réagissons et arrêtons d’être des CONS-somateurs.
Les médias ne sont pas là pour nous informer mais pour nous inciter à consommer : ils vivent grâce à la publicité payée par les industriels !
Sortons enfin des carcans institutionnels du moment à la solde des lobbies les plus divers, et osons nous éveiller : réagissons lorsque l’on nous conseille fortement, pour ne pas dire que l’on nous impose par matraquage, des actions finalement néfastes à notre bien-être personnel.
Libérons-nous des obligations institutionnelles comme boire 1,5 litres d’eau par jour à en faire de la rétention, manger 5 fruits et légumes contaminés par moult pesticides, s’imposer 3 produits laitiers toxiques, se réserver du poisson au mercure le vendredi et de la viande aux hormones tous les autres jours de la semaine… en devant surtout ingurgiter par 24 heures un nombre de calories plus que nécessaires pour qu’un Jean Valjean puisse soulever un lourd chariot en plein hiver…
Laissons donc notre corps — et plus particulièrement notre estomac — se reposer entre des repas sains… qui nous procurent du plaisir : évitons les en-cas, goûters, pauses addictives… et oublions ces édulcorants qui envahissent ces poisons : tous ces faux « produits light » qui créent la dépendance et la dépression pour nous transformer en « zéros » plutôt qu’en héros.
Débarrassons-nous de la bonne convenance commerciale de devoir se raser tous les matins les jambes ou la barbe, ou de se massacrer la peau en se douchant une à deux fois par jour pour s’engluer de pétrole, aluminium et autres métaux lourds sur le corps, où dramatiquement nous facilitons la destruction programmée des aisselles, cheveux, dents, ongles…
Tout cela annonce des lendemains qui ne chanteront pas.
Oui, cela nous prépare à démultiplier ces maladies auto-immunes où le corps n’en finit pas de « crier » à sa manière que nous le massacrons, comme nous l’expliquait — sans être écoutée — le docteur Catherine KOUSMINE. C’était une femme remarquable qui s’intéressait à l’humain alors que ses confrères du « monde médical » préféraient et préfèrent continuer à servir les causes politiques, religieuses et économiques de la consommation !
Les laboratoires pharmaceutiques à travers le monde produisent certainement autant de « médicaments » que de « poisons » rentables !
J’en citerai un seul en exemple, (sources officielles reprises par l’Internet, et relayées même par Wikipédia) : oui, quel plaisir cette publicité pour le très grand, très honnête et très puissant groupe chimique et pharmaceutique BAYER ©® à qui nous devons « l’invention » géniale de l’aspirine ©® celle beaucoup plus rentable de l’héroïne ©® (si, si !) et tant d’autres produits vendus pour notre bien-être comme l’ypérite, (le célèbre gaz moutarde ©® qui porte son surnom dérivé de la petite ville flamande Ypres, où fut tué notamment un de mes chers arrière-grands-pères et tout son régiment, parmi tant et tant d’autres, pendant la « Grande Guerre », celle de 14-18, celle que préférait Georges BRASSENS, dans sa chanson… eh oui !)… Ah, BAYER ©® fabrique aussi de médiatiques pilules de « quatrième génération » qui sauvent chaque jour des millions de jeunes filles de l’acné juvénile !
Manier ainsi la vie et la mort peut sembler contradictoire, mais ne nous inquiétons pas… s’il y a le moindre problème, le Groupe BAYER ©® détient pour veiller sur son bien-être et le nôtre, dans ses filiales, le deuxième assureur du monde : Allianz ©®.
Nous avons l’obligation d’encourager la progression financière et politique de ces multinationales comme BAYER ©® qui font sousvivre et mourir chaque jour des centaines de millions de bipèdes sur la planète !
Avoir un travail et consommer… ne manquer ni de pain, ni de jeu… « c’est, à ce qui se dit », notre raison d’être.
Réjouissons-nous !
« Tout est au
mieux
Dans le meilleur des mondes possibles » !
Dans le meilleur des mondes possibles » !
Ah… Gottfried
Wilhelm LEIBNIZ, et si tout cela n’était
pas construit pour « le bien de l’humain », mais pour
« enrichir » ceux qui dirigent la société où les fourmis naissent, travaillent,
se reproduisent, guerroient et meurent ?
Les industriels de l’alimentation, de l’armement, de la chimie et du monde médical, sont les grands régulateurs de la population de notre planète !
Soyons au minimum intelligents : tout ce qui est vendu comme produits issus de « l’industrie » est étudié en toute logique pour nous rendre addict (du latin addictus : esclave, assujetti).
Réfléchissons, réagissons en étudiant les mots… en retrouvant leur sens !
Réveillons-nous…
Évoluons !
Préférons naturellement le plaisir à l’effort, ou au sacrifice, pour que nous soyons en harmonie.
L’effort est destructeur : les exploits, les victoires qui nous blessent physiquement, réjouissent les supporters ou les sponsors mais nous préparent à des handicaps futurs et à une grande solitude à court terme, car nous sommes si vite oubliés !
Refusons d’obéir…
Qui a le « droit » d’avoir le moindre pouvoir sur l’un d’entre nous ?
Développons notre bon sens, tournons-nous vers le goût, le bon goût… Vivons avec la nature, au plus près de la nature… écoutons-la, écoutons-nous…
Sachons alors enfin dire « NON », et nous accomplirons l’utopie de Pierre BOULLE, que très peu ont comprise : de « singes » que nous sommes, nous serions à même de devenir des humains !
Apprenons à aimer l’être en évolution en développant nos potentiels pour aller vers l’autre qui nous ressemble…
Les industriels de l’alimentation, de l’armement, de la chimie et du monde médical, sont les grands régulateurs de la population de notre planète !
Soyons au minimum intelligents : tout ce qui est vendu comme produits issus de « l’industrie » est étudié en toute logique pour nous rendre addict (du latin addictus : esclave, assujetti).
Réfléchissons, réagissons en étudiant les mots… en retrouvant leur sens !
Réveillons-nous…
Évoluons !
Préférons naturellement le plaisir à l’effort, ou au sacrifice, pour que nous soyons en harmonie.
L’effort est destructeur : les exploits, les victoires qui nous blessent physiquement, réjouissent les supporters ou les sponsors mais nous préparent à des handicaps futurs et à une grande solitude à court terme, car nous sommes si vite oubliés !
Refusons d’obéir…
Qui a le « droit » d’avoir le moindre pouvoir sur l’un d’entre nous ?
Développons notre bon sens, tournons-nous vers le goût, le bon goût… Vivons avec la nature, au plus près de la nature… écoutons-la, écoutons-nous…
Sachons alors enfin dire « NON », et nous accomplirons l’utopie de Pierre BOULLE, que très peu ont comprise : de « singes » que nous sommes, nous serions à même de devenir des humains !
Apprenons à aimer l’être en évolution en développant nos potentiels pour aller vers l’autre qui nous ressemble…
Deuxième
rencontre :
Avec celle ou celui
« Qui nous ressemble physiquement ».
La phase homophile
Avec celle ou celui
« Qui nous ressemble physiquement ».
La phase homophile
Cela signifie « aimer le même ».
C’est un temps privilégié dans la nature humaine où l’on découvre celle ou celui qui nous ressemble…
Se connaître et se reconnaître par comparaison, avec le plaisir de vivre des rencontres avec l’autre « identique à soi ».
Si nous sommes conscients des différences physiques entre femmes et hommes, nous ne sommes pas élevés par la société afin de nous aider à distinguer les mondes qui séparent les deux sexes dans la manière de penser, de vivre, de rêver… d’aimer.
Parler d’égalité entre femmes et hommes est ridicule et dangereux :
C’est un temps privilégié dans la nature humaine où l’on découvre celle ou celui qui nous ressemble…
Se connaître et se reconnaître par comparaison, avec le plaisir de vivre des rencontres avec l’autre « identique à soi ».
Si nous sommes conscients des différences physiques entre femmes et hommes, nous ne sommes pas élevés par la société afin de nous aider à distinguer les mondes qui séparent les deux sexes dans la manière de penser, de vivre, de rêver… d’aimer.
Parler d’égalité entre femmes et hommes est ridicule et dangereux :
Une femme n’est pas un homme.
Un homme n’est pas une femme.
Un homme n’est pas une femme.
J’aime rappeler cependant que
l’homme est « presque une femme
comme les autres ». Il lui manque pourtant la « matrice »,
c’est-à-dire la possibilité de porter en son sein, un enfant.
Depuis 2.500 ans de décadence philosophique où l’on a instauré par la force, la ruse et la peur un principe de domination masculine, notre planète est le théâtre de jeux de guerres où des « princes » se mesurent le sexe en envoyant leurs sujets s’entre-déchirer au nom d’une doctrine nouvelle, d’une terre à convoiter puis à défendre, ou de dieux qui aiment le sang du sacrifice.
Pour notre bien, ces faux demi-dieux que nous craignons jouent avec les pions que nous sommes sur le « jeu d’échecs géant » qu’est la planète Terre…
Voici, pour résumer notre civilisation, un court extrait de « Comme une abeille hors de sa ruche », troisième tome du Cycle de l’Austrel, du même auteur :
(…)
« Yeph :
— Bien sûr, voici deux monarques envoyant leurs citoyens bien-aimés s’entre-tuer pour désigner la meilleure société possible...
Puisqu’ils ont été sacrés pour cela, les deux se valent !
Vous êtes au centre d’une « partie d’échecs grandeur nature ».
Un roi s’inclinera ce soir.
Le temps de remettre toutes les pièces en place et demain ou un autre jour, une nouvelle partie se jouera.
Les échecs, voilà peut-être la triste réalité du monde ?
Les pions, vous en trouverez autant que possible : de la chair à canons, avec des héros, des oubliés et des traîtres, qui finissent tous ensemble dans nos cimetières.
La noblesse, les cavaliers, sont toujours à sacrifier, avec art, en mesurant par le jeu des vanités le rôle à leur donner au profit des sages, des savants, des conseillers, ceux que l’on écoute, le temps de les remplacer par d’autres plus habiles, plus machiavéliques : les fous.
Si besoin, sans inquiétude les murs tomberont (cela donnera du travail aux survivants) : les tours…
Enfin, pour forcer l’autre roi à s’incliner devant une grande habileté à guerroyer, si cela s’avère nécessaire car en politique tout est envisageable, la reine pourra être répudiée : une mise à mort légitimée afin de gagner la partie… puisqu’un simple pion saurait la remplacer ! ».
(…)
Hélas…
Pourquoi l’histoire se répète-t-elle toujours ?
Parce que tous les pions espèrent un jour être roi… mais quelle vaine illusion : dans le « jeu d’échecs », cela n’arrive jamais !
Pendant que beaucoup de bipèdes « subissent les caprices de leurs maîtres » en survivant ou le plus souvent en sousvivant… pour mourir finalement dans un jeu vulgaire — dont ils ne sont que les pièces plus ou moins « gradées ou dégradées » — jeu qui se répète depuis trop longtemps…
Seuls les pirates savent voler au dessus « des parties de jeux d’échecs », avec finesse et subtilité… en esquivant au mieux, et le plus longtemps possible, le coup de feu qui mettra un terme à une vie de femme ou d’homme libre.
Un pirate mort, c’est un être qui aura vécu… lui !
Les femmes qui tentent de se libérer par le combat restent — quoiqu’en disent certains puissants de ce monde — le « faire valoir de la gente masculine » et nous sommes aux temps étranges où la révolte gronde ! Certaines femmes ont accumulé en elles — depuis ces millénaires de soumission, de vexations et d’abus — suffisamment de colère pour vouloir se venger et faire payer « aux hommes en général » tant et tant de souffrances !
Ah… quelle tristesse… que ces guerres nouvelles… même si parfois on comprend un peu ces femmes…
Quel gâchis cependant !
C’est un drame de plus qui s’annonce. Ces femmes qui « veulent le pouvoir » jouent aux mâles, se donnant des codes similaires à ceux qui animalisent l’humain… Elles se convoitent et guerroient pour la place de « reine de la ruche ». Pauvre d’elles ! Dans la fourmilière, et autres sociétés idéales la « reine » n’a en réalité aucun pouvoir… c’est une pondeuse !
La « femme » doit être davantage qu’une « femelle » pour passer elle aussi du stade de « bipède procréatrice » à celui certainement plus plaisant d’humaine créatrice. Marguerite YOURCENAR invitait d’ailleurs ses semblables à se mettre vite à l’œuvre !
Pour son entrée à L’Académie Française, esquivant l’uniforme, elle a refusé de « porter l’épée » !
Oui, « la femme est l’avenir de l’humain », si elle ne joue pas à l’homme ! Il est nécessaire alors que la femme s’aime et aime l’autre qui lui ressemble sans la jalouser ou la comparer pour s’entre-tuer… comme les hommes savent si tristement le faire !
Se plaire « femme » parmi les femmes, et « homme » parmi les hommes… c’est s’ouvrir à la vie.
Nous pouvons ainsi avec intelligence accueillir nos différences et tout mettre en œuvre pour que chacun soit respecté dans son intégrité.
Enfant comme adulte, nous éprouvons naturellement le besoin de communiquer chaque jour avec celle ou celui qui nous ressemble, pour apprendre et se rassurer sur la femme ou l’homme que nous sommes… et partir ainsi à la rencontre de l’autre !
Depuis 2.500 ans de décadence philosophique où l’on a instauré par la force, la ruse et la peur un principe de domination masculine, notre planète est le théâtre de jeux de guerres où des « princes » se mesurent le sexe en envoyant leurs sujets s’entre-déchirer au nom d’une doctrine nouvelle, d’une terre à convoiter puis à défendre, ou de dieux qui aiment le sang du sacrifice.
Pour notre bien, ces faux demi-dieux que nous craignons jouent avec les pions que nous sommes sur le « jeu d’échecs géant » qu’est la planète Terre…
Voici, pour résumer notre civilisation, un court extrait de « Comme une abeille hors de sa ruche », troisième tome du Cycle de l’Austrel, du même auteur :
(…)
« Yeph :
— Bien sûr, voici deux monarques envoyant leurs citoyens bien-aimés s’entre-tuer pour désigner la meilleure société possible...
Puisqu’ils ont été sacrés pour cela, les deux se valent !
Vous êtes au centre d’une « partie d’échecs grandeur nature ».
Un roi s’inclinera ce soir.
Le temps de remettre toutes les pièces en place et demain ou un autre jour, une nouvelle partie se jouera.
Les échecs, voilà peut-être la triste réalité du monde ?
Les pions, vous en trouverez autant que possible : de la chair à canons, avec des héros, des oubliés et des traîtres, qui finissent tous ensemble dans nos cimetières.
La noblesse, les cavaliers, sont toujours à sacrifier, avec art, en mesurant par le jeu des vanités le rôle à leur donner au profit des sages, des savants, des conseillers, ceux que l’on écoute, le temps de les remplacer par d’autres plus habiles, plus machiavéliques : les fous.
Si besoin, sans inquiétude les murs tomberont (cela donnera du travail aux survivants) : les tours…
Enfin, pour forcer l’autre roi à s’incliner devant une grande habileté à guerroyer, si cela s’avère nécessaire car en politique tout est envisageable, la reine pourra être répudiée : une mise à mort légitimée afin de gagner la partie… puisqu’un simple pion saurait la remplacer ! ».
(…)
Hélas…
Pourquoi l’histoire se répète-t-elle toujours ?
Parce que tous les pions espèrent un jour être roi… mais quelle vaine illusion : dans le « jeu d’échecs », cela n’arrive jamais !
Pendant que beaucoup de bipèdes « subissent les caprices de leurs maîtres » en survivant ou le plus souvent en sousvivant… pour mourir finalement dans un jeu vulgaire — dont ils ne sont que les pièces plus ou moins « gradées ou dégradées » — jeu qui se répète depuis trop longtemps…
Seuls les pirates savent voler au dessus « des parties de jeux d’échecs », avec finesse et subtilité… en esquivant au mieux, et le plus longtemps possible, le coup de feu qui mettra un terme à une vie de femme ou d’homme libre.
Un pirate mort, c’est un être qui aura vécu… lui !
Les femmes qui tentent de se libérer par le combat restent — quoiqu’en disent certains puissants de ce monde — le « faire valoir de la gente masculine » et nous sommes aux temps étranges où la révolte gronde ! Certaines femmes ont accumulé en elles — depuis ces millénaires de soumission, de vexations et d’abus — suffisamment de colère pour vouloir se venger et faire payer « aux hommes en général » tant et tant de souffrances !
Ah… quelle tristesse… que ces guerres nouvelles… même si parfois on comprend un peu ces femmes…
Quel gâchis cependant !
C’est un drame de plus qui s’annonce. Ces femmes qui « veulent le pouvoir » jouent aux mâles, se donnant des codes similaires à ceux qui animalisent l’humain… Elles se convoitent et guerroient pour la place de « reine de la ruche ». Pauvre d’elles ! Dans la fourmilière, et autres sociétés idéales la « reine » n’a en réalité aucun pouvoir… c’est une pondeuse !
La « femme » doit être davantage qu’une « femelle » pour passer elle aussi du stade de « bipède procréatrice » à celui certainement plus plaisant d’humaine créatrice. Marguerite YOURCENAR invitait d’ailleurs ses semblables à se mettre vite à l’œuvre !
Pour son entrée à L’Académie Française, esquivant l’uniforme, elle a refusé de « porter l’épée » !
Oui, « la femme est l’avenir de l’humain », si elle ne joue pas à l’homme ! Il est nécessaire alors que la femme s’aime et aime l’autre qui lui ressemble sans la jalouser ou la comparer pour s’entre-tuer… comme les hommes savent si tristement le faire !
Se plaire « femme » parmi les femmes, et « homme » parmi les hommes… c’est s’ouvrir à la vie.
Nous pouvons ainsi avec intelligence accueillir nos différences et tout mettre en œuvre pour que chacun soit respecté dans son intégrité.
Enfant comme adulte, nous éprouvons naturellement le besoin de communiquer chaque jour avec celle ou celui qui nous ressemble, pour apprendre et se rassurer sur la femme ou l’homme que nous sommes… et partir ainsi à la rencontre de l’autre !
Troisième
rencontre :
Avec celle ou celui
« Qui est différent de nous ».
La phase hétérophile.
Avec celle ou celui
« Qui est différent de nous ».
La phase hétérophile.
C’est la conquête de l’autre, tenter
d’aimer le « différent ».
Il est vrai qu’il n’y a pas une seule cellule similaire entre la femme et l’homme !
Nous n’avons même pas les mêmes chromosomes…
La femme, dès sa naissance, construit sa vie sur un cycle de 28 jours ; cela jusqu'à sa mort.
L’homme est plutôt rythmé sur 24 heures…
Difficile alors d’assurer la communication !
Ce temps de la rencontre peut se vivre dans de bonnes conditions lorsque les deux autres rencontres sont aussi paisiblement vécues dans une continuité temporelle : être bien dans son corps toujours en transformation et bien s’entendre avec ceux qui nous ressemblent pour aller sans jalousie ou crainte à la découverte d’un autre « monde », pour désirer l’harmonie sans esprit de domination, de soumission… sans s’entacher de ces complexes de supériorité ou d’infériorité. La rencontre avec celle ou celui qui est différent de nous ne doit surtout pas se construire sur la guerre mais sur l’amour !
Les rencontres humaines sont comme avec la musique, pour donner naissance à une symphonie :
Deux instruments différents qui jouent ensemble des partitions distinctes… s’ils sont en harmonie, c’est une mélodie merveilleuse à découvrir…
Et Friedrich NIETZSCHE le rappelait :
Il est vrai qu’il n’y a pas une seule cellule similaire entre la femme et l’homme !
Nous n’avons même pas les mêmes chromosomes…
La femme, dès sa naissance, construit sa vie sur un cycle de 28 jours ; cela jusqu'à sa mort.
L’homme est plutôt rythmé sur 24 heures…
Difficile alors d’assurer la communication !
Ce temps de la rencontre peut se vivre dans de bonnes conditions lorsque les deux autres rencontres sont aussi paisiblement vécues dans une continuité temporelle : être bien dans son corps toujours en transformation et bien s’entendre avec ceux qui nous ressemblent pour aller sans jalousie ou crainte à la découverte d’un autre « monde », pour désirer l’harmonie sans esprit de domination, de soumission… sans s’entacher de ces complexes de supériorité ou d’infériorité. La rencontre avec celle ou celui qui est différent de nous ne doit surtout pas se construire sur la guerre mais sur l’amour !
Les rencontres humaines sont comme avec la musique, pour donner naissance à une symphonie :
Deux instruments différents qui jouent ensemble des partitions distinctes… s’ils sont en harmonie, c’est une mélodie merveilleuse à découvrir…
Et Friedrich NIETZSCHE le rappelait :
« Sans
la musique la vie n’aurait pas de sens »…
Sans l’amour, nous serions encore à
l’état d’animaux.
Pour les humains qui osent se rencontrer malgré leurs spécificités, c’est l’amour qui naît !
Aujourd’hui comme hier, l’autre fait peur ou a peur !
La rencontre ne peut pas se réaliser « armes à la main ».
Si, « femmes » et « hommes », nous sommes différents, en quête de complémentarité… Entre « femmes » et « hommes » de notre petite planète, nous sommes aussi capables de rencontres merveilleuses si nous évitons de répéter cette triste jouissance masculine de « la possession par la force ». Il est grand temps de nous éloigner de cette pulsion de mort masculine qui nous pousse à éventrer les femmes, parce que le mâle ne peut pas porter d’enfant, et à détruire ou à voler les œuvres d’art des autres civilisations parce que nous refusons d’admirer… parce que nous nous sentons impuissants à apprendre à faire de même !
Libérons-nous de cette soif de conquête animale pour vouloir à tout prix agrandir un « territoire de chasse » en massacrant des peuples, en les réduisant en esclavage… tout cela au nom d’une culture soi-disant « plus évoluée » à imposer par la force, ou d’une idéologie soi-disant « supérieure » à affirmer par la ruse !
Parfois même, certains peuples partent réclamer et envahir « une terre promise », sûrs, assurés de leur « bon droit » parce qu’un dieu l’aurait soufflé dans le creux de l’oreille du prophète du jour, que l’on écoute, et que l’on suit !
Tôt ou tard un peuple soumis qui manque de pain ou de jeu se révoltera contre un tyran fragilisé, pour suivre quelque autre berger plus séduisant qui le poussera à la vengeance et à s’imposer encore et toujours sur les plus faibles du moment, les plus crédules ou les plus peureux…
Jusqu’à ce que — peut-être — nous apprenions à nous aimer et à nous enrichir de nos talents respectifs !
Mais pour cela, il est vraiment important de s’aimer soi-même.
C’est si difficile de comprendre quelqu’un qui n’est pas comme nous, corps, cœur et esprit. Surtout lorsque l’on ne se connaît pas encore totalement et que nous changeons chaque jour.
Aussi cette rencontre dite « hétérophile » (qui aime le différent) peut être très mal vécue, lorsque ceux qui nous ressemblent ne nous ont pas donné la certitude que nous allons bien, que nous sommes à la fois dissemblables et uniques… et de nous rendre compte alors en tant que « humains », bien entendu, nous sommes « comme tout le monde » !
Nous sommes donc des humains… en devenir !
Pour les humains qui osent se rencontrer malgré leurs spécificités, c’est l’amour qui naît !
Aujourd’hui comme hier, l’autre fait peur ou a peur !
La rencontre ne peut pas se réaliser « armes à la main ».
Si, « femmes » et « hommes », nous sommes différents, en quête de complémentarité… Entre « femmes » et « hommes » de notre petite planète, nous sommes aussi capables de rencontres merveilleuses si nous évitons de répéter cette triste jouissance masculine de « la possession par la force ». Il est grand temps de nous éloigner de cette pulsion de mort masculine qui nous pousse à éventrer les femmes, parce que le mâle ne peut pas porter d’enfant, et à détruire ou à voler les œuvres d’art des autres civilisations parce que nous refusons d’admirer… parce que nous nous sentons impuissants à apprendre à faire de même !
Libérons-nous de cette soif de conquête animale pour vouloir à tout prix agrandir un « territoire de chasse » en massacrant des peuples, en les réduisant en esclavage… tout cela au nom d’une culture soi-disant « plus évoluée » à imposer par la force, ou d’une idéologie soi-disant « supérieure » à affirmer par la ruse !
Parfois même, certains peuples partent réclamer et envahir « une terre promise », sûrs, assurés de leur « bon droit » parce qu’un dieu l’aurait soufflé dans le creux de l’oreille du prophète du jour, que l’on écoute, et que l’on suit !
Tôt ou tard un peuple soumis qui manque de pain ou de jeu se révoltera contre un tyran fragilisé, pour suivre quelque autre berger plus séduisant qui le poussera à la vengeance et à s’imposer encore et toujours sur les plus faibles du moment, les plus crédules ou les plus peureux…
Jusqu’à ce que — peut-être — nous apprenions à nous aimer et à nous enrichir de nos talents respectifs !
Mais pour cela, il est vraiment important de s’aimer soi-même.
C’est si difficile de comprendre quelqu’un qui n’est pas comme nous, corps, cœur et esprit. Surtout lorsque l’on ne se connaît pas encore totalement et que nous changeons chaque jour.
Aussi cette rencontre dite « hétérophile » (qui aime le différent) peut être très mal vécue, lorsque ceux qui nous ressemblent ne nous ont pas donné la certitude que nous allons bien, que nous sommes à la fois dissemblables et uniques… et de nous rendre compte alors en tant que « humains », bien entendu, nous sommes « comme tout le monde » !
Nous sommes donc des humains… en devenir !
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Amours & Sexualité, une création originale par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe, tous droits réservés ©…
Auteur : Yves Philippe de Francqueville