Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Scène huitième
Le jeune "psy" qui monte…
ou comment se développe
la philanalyse !
Il y a cinq années encore, selon même les propres dires de certains collègues non jaloux, peu envieux et sincères, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE était le « psy qui monte », « celui qui a des idées originales qui permettent d’avancer » à Montpellier…
Il est un monsieur apprécié dans son quartier, actif dans quelques associations, engagé en politique urbaine pour l’écologie, le bien vivre…
Un homme soucieux d’un bien être à partager !
Conférencier de talent, acteur sur le terrain, il est alors parfois surnommé le restaurateur de vieux couples, le pacificateur des familles, le professeur d’autonomie…
Celui que d’autres désignent avec gentillesse le fou courant, (en lien avec un autre chantant) était visible, tout sourire et fort aimable à travers la ville, boucles blondes au vent…
Il s’est spécialisé aussi, au fil des ans, dans la remise à flot des jeunes ou vieux adolescents perdus dans un profond mal-être, que le cannabis (ou de plus puissantes substances qui les transforment en dieux d'un instant puis en minables pour longtemps), l’alcool, le jeu ou encore d’autres faux-semblants cache un temps…
Temps perdu… parfois dramatiquement !
La méthode d'écoute de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, axée sur l'analyse de l'amour humain — la philanalyse — s'est construite petit à petit sur la particularité existentielle propre à chacun, et dans la considération — en réelle discrétion — de l'histoire personnelle.
Il agit bien entendu aussi en s'impliquant sur le terrain.
Cela semble tellement contraire aux règles en vigueur du système actuel qui imposent toujours davantage de parcellisation du travail…
Nous voyons malheureusement le résultat : lorsque trop de personnes se partagent de petites responsabilités dans des tâches différentes en lien avec un sujet, il n'y a plus de cohésion. Aussi, lorsque cela concerne l'humain, nous arrivons parfois à un manque de respect réel de l'intimité… de la pudeur, de l’intégrité de chacun.
Il se donne dans ce travail avec des compétences qu'il a su développer tout au long de sa vie par de nombreuses expériences.
Son plaisir est de partager ce qu'il a découvert :
Enfance, adolescence… jeune adulte, les expériences de la vie sont importante pour être à l'écoute…
Pendant plus de quinze années, dans le scoutisme, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE a pu vivre des aventures passionnantes en tant que jeune, mais aussi comme membre encadrant et comme formateur puis superviseur auprès de jeunes chefs… ce fut une école de qualité.
Le scoutisme reste dans l'idée un grand principe d'épanouissement par l'effort. Cependant, la société actuelle a réduit au maximum les projets ambitieux de Lord Robert Stephenson BADEN-POWEL.
Être Scout, c'était il y a encore une dizaine d'années, un espace formidable de possibilités créatrices, avec un principe efficace de hiérarchie horizontale où la fonction crée la responsabilité.
Le sens de l’effort a été hélas bafoué en faisant croire à l’enfant que le plaisir est facile… que tout s’explique et que la solution s’achète !
Illusions télévisuelles !
Aujourd'hui, les lois sur la sécurité se succèdent dès qu'un incident survient ou lorsqu'il est nécessaire de développer ou soutenir un secteur économique.
Avec cette obsession du "risque zéro" si cher à nos dirigeants politiques, la vie perd encore davantage de son sens pour nous transformer petit à petit en fourmis dociles. L'État gère notre vie et notre mort, nos droits aux joies et aux peines, comme nous l'annonçait de manière dramatique Aldous HUXLEY dans Le meilleur des mondes. Les contraintes qui en découlent, imposées notamment sur une vision grotesque (ou calculées) de l'hygiène alimentaire ont malheureusement fortement affaibli les marges de manœuvres des passionnés de nature, de beau, de bon et surtout d'efforts…
Tout acte de vie présente des risques réels.
On peut même tomber de son lit pendant son sommeil ou s'étrangler avec un bretzel…
Alors ce n'est plus possible de vivre dans la nature en coupant son bois avec une scie ou une hache, construire des tables à feu, s'éclairer à la lampe à pétrole ou à la bougie et faire cuire soi-même sa nourriture au feu de bois, en épluchant ses légumes sans avoir de réfrigérateur, de congélateur ou de chambre froide…
Trop de risques…
Oui, hélas !
Oublions tout cela : fini les grands jeux : aventures non stop sur trois jours. Interdites les veillées en chantant autour d'un beau feu de camp, les installations dans les arbres, les randonnées en patrouille, les baignades dans les gaves…
C'était vivre dans et avec la nature et découvrir le sens de l'effort pour des aventures extraordinaires avec la mise en valeur des talents de chacun…
Une découverte de soi, de l’autre…
La rencontre de l’amitié, du beau… de la vie !
L’amour !
La vie dans l'effort… pour le plaisir… forme les humains…
Pendant plus de quinze années, dans le scoutisme, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE a pu vivre des aventures passionnantes en tant que jeune, mais aussi comme membre encadrant et comme formateur puis superviseur auprès de jeunes chefs… ce fut une école de qualité.
Le scoutisme reste dans l'idée un grand principe d'épanouissement par l'effort. Cependant, la société actuelle a réduit au maximum les projets ambitieux de Lord Robert Stephenson BADEN-POWEL.
Être Scout, c'était il y a encore une dizaine d'années, un espace formidable de possibilités créatrices, avec un principe efficace de hiérarchie horizontale où la fonction crée la responsabilité.
Le sens de l’effort a été hélas bafoué en faisant croire à l’enfant que le plaisir est facile… que tout s’explique et que la solution s’achète !
Illusions télévisuelles !
Aujourd'hui, les lois sur la sécurité se succèdent dès qu'un incident survient ou lorsqu'il est nécessaire de développer ou soutenir un secteur économique.
Avec cette obsession du "risque zéro" si cher à nos dirigeants politiques, la vie perd encore davantage de son sens pour nous transformer petit à petit en fourmis dociles. L'État gère notre vie et notre mort, nos droits aux joies et aux peines, comme nous l'annonçait de manière dramatique Aldous HUXLEY dans Le meilleur des mondes. Les contraintes qui en découlent, imposées notamment sur une vision grotesque (ou calculées) de l'hygiène alimentaire ont malheureusement fortement affaibli les marges de manœuvres des passionnés de nature, de beau, de bon et surtout d'efforts…
Tout acte de vie présente des risques réels.
On peut même tomber de son lit pendant son sommeil ou s'étrangler avec un bretzel…
Alors ce n'est plus possible de vivre dans la nature en coupant son bois avec une scie ou une hache, construire des tables à feu, s'éclairer à la lampe à pétrole ou à la bougie et faire cuire soi-même sa nourriture au feu de bois, en épluchant ses légumes sans avoir de réfrigérateur, de congélateur ou de chambre froide…
Trop de risques…
Oui, hélas !
Oublions tout cela : fini les grands jeux : aventures non stop sur trois jours. Interdites les veillées en chantant autour d'un beau feu de camp, les installations dans les arbres, les randonnées en patrouille, les baignades dans les gaves…
C'était vivre dans et avec la nature et découvrir le sens de l'effort pour des aventures extraordinaires avec la mise en valeur des talents de chacun…
Une découverte de soi, de l’autre…
La rencontre de l’amitié, du beau… de la vie !
L’amour !
La vie dans l'effort… pour le plaisir… forme les humains…
Vers la
Scène neuvième
Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Tous droits réservés ©.
Tous droits réservés ©.
Auteur : Yves Philippe de Francqueville