Mémoires d'un vivant par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Scène treizième
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE mort ou vif ?
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n’a pas non plus dû subir l’écartèlement en place de la Comédie, à Montpellier…
Autre temps, autres sentences !
Il n’a pas eu cependant François Marie de VOLTAIRE pour le réhabilité…
Cependant, grâce à un jeune avocat Montpelliérain — Maître David MENDEL — encore épris de justice et ayant le sens du devoir et du travail bien fait, notre supplicié s’est trouvé écarté grandement du pire qui lui était souhaité par quelques juges, avocats et procureurs… en guerre contre ce jeune psychanalyste atypique.
Encore aujourd’hui — bien que nous soyons en république dite laïque — notre société franco européenne reste dirigée par une clique de médiocres obsédés de pouvoir et de gloires éphémères, fixant pour le peuple une morale étatique emprunte de principes, interdits et traditions empruntes de religiosité et qui ressemblent fortement à la charia des islamistes de tous genres ou aux lois américaines, construites soi-disant selon le bon vouloir d’un dieu unique à ne pas partager.
La liberté a un prix !
SOCRATE — à travers les écrits de PLATON — y a laissé la vie…
Un esclave ne demande pas sa liberté… il la conquiert !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n’est pas révolutionnaire… mais évolutionnaire !
Une révolution implique finalement un retour aux mêmes.
En France, 1789 a donné pour fleur empoisonnée l’Empire et son tyran sanguinaire — un criminel de guerre dont le tombeau trône toujours aux Invalides…
Ce fut aussi une restauration enchaînant plusieurs monarchies avec des rois de France et même un roi des Français… précurseur qui annonce la création de quelques républiques plus ou moins bananières avec pour « présidents de tous les français » de petits nobliaux de grandes ou petites tailles, de basses ou de fausses extractions… mais toujours des « sauveurs » qui laissent quelques lignes dans les dictionnaires au même titre que les autres monarques et dictateurs qu’ils rencontrent lors de défilés militaires ou pour des commémorations… Là où le sang du peuple a coulé afin de sauver un drapeau ou de définir de nouvelles frontières à la nation.
Blaise PASCAL nous invite encore et toujours à réfléchir sur le bon sens du devoir d’aimer ou de tuer son cousin germain, juste parce qu’il demeure sur l’autre rive d’un fleuve…
Le jeune Louis Antoine de SAINT-JUST ne se trompe pas non plus. Lui, un des principaux inspirateurs de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en 1793… Lui, homme passionné de justice, qui aurait pu faire de la non-violence et de l'égalité, l'outil de la communication nouvelle… Lui, qui sera guillotiné quelques temps après avoir cru aussi que la mort d’un homme était la solution à la paix d’un peuple… Lui, mort à l’âge de 26 ans.
Lui, SAINT-JUST, avait compris cependant une réalité dramatique : tout pouvoir est volé au peuple, lui-même complice par sa lâcheté…
Oui ! Régner est un crime… tout comme juger…
Il a jugé, le jeune Louis Antoine de SAINT-JUST, et au nom de la justice, il a condamné à mort…
Il passera lui-même sur l’échafaud, comme nous le rappelait en images André FRANQUIN dans Idées Noires :
Autre temps, autres sentences !
Il n’a pas eu cependant François Marie de VOLTAIRE pour le réhabilité…
Cependant, grâce à un jeune avocat Montpelliérain — Maître David MENDEL — encore épris de justice et ayant le sens du devoir et du travail bien fait, notre supplicié s’est trouvé écarté grandement du pire qui lui était souhaité par quelques juges, avocats et procureurs… en guerre contre ce jeune psychanalyste atypique.
Encore aujourd’hui — bien que nous soyons en république dite laïque — notre société franco européenne reste dirigée par une clique de médiocres obsédés de pouvoir et de gloires éphémères, fixant pour le peuple une morale étatique emprunte de principes, interdits et traditions empruntes de religiosité et qui ressemblent fortement à la charia des islamistes de tous genres ou aux lois américaines, construites soi-disant selon le bon vouloir d’un dieu unique à ne pas partager.
La liberté a un prix !
SOCRATE — à travers les écrits de PLATON — y a laissé la vie…
Un esclave ne demande pas sa liberté… il la conquiert !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n’est pas révolutionnaire… mais évolutionnaire !
Une révolution implique finalement un retour aux mêmes.
En France, 1789 a donné pour fleur empoisonnée l’Empire et son tyran sanguinaire — un criminel de guerre dont le tombeau trône toujours aux Invalides…
Ce fut aussi une restauration enchaînant plusieurs monarchies avec des rois de France et même un roi des Français… précurseur qui annonce la création de quelques républiques plus ou moins bananières avec pour « présidents de tous les français » de petits nobliaux de grandes ou petites tailles, de basses ou de fausses extractions… mais toujours des « sauveurs » qui laissent quelques lignes dans les dictionnaires au même titre que les autres monarques et dictateurs qu’ils rencontrent lors de défilés militaires ou pour des commémorations… Là où le sang du peuple a coulé afin de sauver un drapeau ou de définir de nouvelles frontières à la nation.
Blaise PASCAL nous invite encore et toujours à réfléchir sur le bon sens du devoir d’aimer ou de tuer son cousin germain, juste parce qu’il demeure sur l’autre rive d’un fleuve…
Le jeune Louis Antoine de SAINT-JUST ne se trompe pas non plus. Lui, un des principaux inspirateurs de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en 1793… Lui, homme passionné de justice, qui aurait pu faire de la non-violence et de l'égalité, l'outil de la communication nouvelle… Lui, qui sera guillotiné quelques temps après avoir cru aussi que la mort d’un homme était la solution à la paix d’un peuple… Lui, mort à l’âge de 26 ans.
Lui, SAINT-JUST, avait compris cependant une réalité dramatique : tout pouvoir est volé au peuple, lui-même complice par sa lâcheté…
Oui ! Régner est un crime… tout comme juger…
Il a jugé, le jeune Louis Antoine de SAINT-JUST, et au nom de la justice, il a condamné à mort…
Il passera lui-même sur l’échafaud, comme nous le rappelait en images André FRANQUIN dans Idées Noires :
Celui qui ose donc aussi se révolter contre l’injustice des puissants, la bêtise des peuples, et la médiocrité de l’ensemble… risque à tout moment de prendre par mégarde, ou sens du devoir, voire du sacrifice… un pouvoir vacant pour devenir tyran lui-même et finalement poser tôt ou tard sa tête sur le billot.
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n'est pas (plus) en quête de pouvoir ou de gloire.
Peut-être a-t-il trop lu PLATON et Georg Friedrich HEGEL, bons analystes de la liberté sous condition ?
Oui, la dialectique du maître et de l'esclave n'est toujours pas comprise par ces sauveurs des peuples.
Yves Philippe — aujourd’hui — aspire juste à la liberté… sans condition !
Sans compromis !
La soif de la rencontre humaine et le plaisir de créer suffisent à donner sens à sa vie.
C’est donc un réel danger pour la société que ce personnage, cet individu hors normalités qui ne croit pas en ces lois générales imposées à des êtres en particulier… en ces tabous transgressés par les législateurs eux-mêmes.
Le bonheur de l'autre ne s'impose pas. La raison de vivre est davantage une raison d'aimer… Cela se construit avec des règles du jeu et non des interdits.
Yves Philippe n'a pas choisi de juger… encore moins d'être jugé. Il a finalement évité de très peu la condamnation à mort… à la mort psychologique et sociétale, certainement plus terrible que la mort physique.
Ce n’est pas vraiment son fort, et désolé pour celles et ceux qui attendent avec impatience ce jour où il rendra l'âme, libérant ce corps convié par tant de corps !
Cela viendra le jour sûrement prévu… mais pour le moment, ce poète est toujours assoiffé de rencontres et de partages…
Et de livres en livres, de visages en paysages, il construit sa force vive afin d’apprendre davantage à aimer.
Il y a eu certes de difficiles périodes et si la maxime de Friedrich NIETZSCHE : ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, est encourageante… il est parfois plus simple — sans complètement mourir — de rester en état de sur-vie ou de sous-vie, n’ayant plus la force, l’énergie, les moyens ou le désir de vivre !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n'est pas (plus) en quête de pouvoir ou de gloire.
Peut-être a-t-il trop lu PLATON et Georg Friedrich HEGEL, bons analystes de la liberté sous condition ?
Oui, la dialectique du maître et de l'esclave n'est toujours pas comprise par ces sauveurs des peuples.
Yves Philippe — aujourd’hui — aspire juste à la liberté… sans condition !
Sans compromis !
La soif de la rencontre humaine et le plaisir de créer suffisent à donner sens à sa vie.
C’est donc un réel danger pour la société que ce personnage, cet individu hors normalités qui ne croit pas en ces lois générales imposées à des êtres en particulier… en ces tabous transgressés par les législateurs eux-mêmes.
Le bonheur de l'autre ne s'impose pas. La raison de vivre est davantage une raison d'aimer… Cela se construit avec des règles du jeu et non des interdits.
Yves Philippe n'a pas choisi de juger… encore moins d'être jugé. Il a finalement évité de très peu la condamnation à mort… à la mort psychologique et sociétale, certainement plus terrible que la mort physique.
Ce n’est pas vraiment son fort, et désolé pour celles et ceux qui attendent avec impatience ce jour où il rendra l'âme, libérant ce corps convié par tant de corps !
Cela viendra le jour sûrement prévu… mais pour le moment, ce poète est toujours assoiffé de rencontres et de partages…
Et de livres en livres, de visages en paysages, il construit sa force vive afin d’apprendre davantage à aimer.
Il y a eu certes de difficiles périodes et si la maxime de Friedrich NIETZSCHE : ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, est encourageante… il est parfois plus simple — sans complètement mourir — de rester en état de sur-vie ou de sous-vie, n’ayant plus la force, l’énergie, les moyens ou le désir de vivre !
Mais comment l’histoire s’est-elle écrite ?
Nous découvrirons cela dans le
deuxième acte !
Mémoires d'un vivant par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Tous droits réservés ©.
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville