Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Troisième chapitre
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Troisième chapitre
Parlons
sexe ?
1.
Les goûts et les couleurs.
Le fait d’aimer demande le respect.
Il n’y a pas de faute de goût… seulement un droit à la différence.
L’acte d’aimer nous invite aussi à la considération…
Les êtres humains sont à même de préférer la compagnie qui leur convient et nous devons accueillir leur liberté de choix.
La pratique sexuelle des autres ne nous regarde pas… sous réserve de mise en danger de l’intégrité d’autrui.
Le péril est grand aujourd’hui de vouloir cataloguer les femmes et les hommes dans des catégories sexuelles définies. Le but principal est, bien entendu, économique, politique et religieux.
Nous sommes tous narcissiques, tous homophiles, tous hétérophiles.
Notre vie est liée à la pratique paisible ou non de nos rencontres.
L’amour, s’il est toujours sexué… se trouve habituellement sublimé… ou frustré, et donc rarement vécu en plénitude !
Chez les êtres libres et évolués, les amours enfantines ou adolescentes sont souvent merveilleuses et restent aisément de très beaux souvenirs… Il est très important alors de ne pas négliger la part de la sexualité active dans chacune des rencontres de la vie.
Pour toutes les amours — de l’enfance jusqu’à la mort — la sexualité qui en découle devrait construire des vies harmonieuses.
C’est la rencontre du corps avec le cœur et l’esprit !
Pour des unions homophiles, il ne faut pas oublier, en raison de la « mère nature », qu’une femme qui vit avec une ou des femmes, a besoin parfois pour achever un de ses cycles, de vivre des temps hétérophiles.
C’est la même situation pour l’homme qui vit avec un ou des hommes : il peut parfois dans sa vie sexuelle avoir besoin de rencontrer une femme et l’aimer… et même vivre des relations sexuelles dans la durée.
Cela ne change en rien les goûts préférentiels de certains pour les êtres du même sexe.
Il y a aussi le désir de la maternité, de la paternité dont nous discuterons en conclusion.
L’acte d’aimer nous invite aussi à la considération…
Les êtres humains sont à même de préférer la compagnie qui leur convient et nous devons accueillir leur liberté de choix.
La pratique sexuelle des autres ne nous regarde pas… sous réserve de mise en danger de l’intégrité d’autrui.
Le péril est grand aujourd’hui de vouloir cataloguer les femmes et les hommes dans des catégories sexuelles définies. Le but principal est, bien entendu, économique, politique et religieux.
Nous sommes tous narcissiques, tous homophiles, tous hétérophiles.
Notre vie est liée à la pratique paisible ou non de nos rencontres.
L’amour, s’il est toujours sexué… se trouve habituellement sublimé… ou frustré, et donc rarement vécu en plénitude !
Chez les êtres libres et évolués, les amours enfantines ou adolescentes sont souvent merveilleuses et restent aisément de très beaux souvenirs… Il est très important alors de ne pas négliger la part de la sexualité active dans chacune des rencontres de la vie.
Pour toutes les amours — de l’enfance jusqu’à la mort — la sexualité qui en découle devrait construire des vies harmonieuses.
C’est la rencontre du corps avec le cœur et l’esprit !
Pour des unions homophiles, il ne faut pas oublier, en raison de la « mère nature », qu’une femme qui vit avec une ou des femmes, a besoin parfois pour achever un de ses cycles, de vivre des temps hétérophiles.
C’est la même situation pour l’homme qui vit avec un ou des hommes : il peut parfois dans sa vie sexuelle avoir besoin de rencontrer une femme et l’aimer… et même vivre des relations sexuelles dans la durée.
Cela ne change en rien les goûts préférentiels de certains pour les êtres du même sexe.
Il y a aussi le désir de la maternité, de la paternité dont nous discuterons en conclusion.
2. Parlons vraiment
sexe maintenant.
Notre société a souvent voulu
légiférer sur l’âge à partir duquel le « sexe » est autorisé, alors
que l’organe est bien « vivant » dès sa conception.
La petite fille, le jour de sa naissance, se masturbe lorsqu’elle trouve son sexe de la main (si bien sûr, une personne charitable ne la lui ôte pas).
Rappelons-nous la phrase tristement culte :
La petite fille, le jour de sa naissance, se masturbe lorsqu’elle trouve son sexe de la main (si bien sûr, une personne charitable ne la lui ôte pas).
Rappelons-nous la phrase tristement culte :
« Tu
peux jouer avec tout ce que tu veux dans ta chambre,
Sauf avec ton corps » !
Sauf avec ton corps » !
Le petit garçon peut être en
érection dans le ventre de sa mère… ou lorsqu’il tète le sein de sa mère… même
la première fois !
Où se situe alors le plaisir ?
De sucer le sein… ou de se nourrir ?
Probablement les deux en même temps, parce que le plaisir de vivre passe par le corps, par le sexe… même si la reproduction n’est pas encore active dans le corps de l’enfant : il est déjà sexué cependant et capable de désirs et de plaisirs.
Les « codes de bonne conduite » de nos civilisations dites « évoluées » veulent que le corps de l’homme soit protégé du regard du monde, en particulier son sexe, comme attribut de honte ou sacré (c’est presque pareil).
Celui de la femme par contre, est dans un dualisme étonnant : tantôt exhibé, étalé au grand jour… parfois enfermé sous quelque « sac », interdit du regard !
Mais toujours, hélas : pour exister comme objet… de convoitise !
Un mâle nu est une abomination médiatique et surtout télévisuelle (sauf lorsque cela se paye fort cher sur des chaînes privées)…
Il serait préférable pour TF1, de visionner en prime time le film « Orange Mécanique » où le compositeur Ludwig van BEETHOVEN est tristement mis à l’honneur dans une éducation au viol ; ou encore le film « Atomic Circus » avec notre chère Vanessa PARADIS, où des extra-terrestres déchiquettent à plaisir des citoyens crétins !
Cela serait moins choquant que de fixer dans les cerveaux de son cher public le membre viril de l’homme !
Même à l’état flaccide !
Mais pourquoi ce bout de chair — à l’état libre dans le monde animal — serait moins présentable qu’une paire de seins exhibés « naturellement » à tous les coins de rues ?
Où se situe alors le plaisir ?
De sucer le sein… ou de se nourrir ?
Probablement les deux en même temps, parce que le plaisir de vivre passe par le corps, par le sexe… même si la reproduction n’est pas encore active dans le corps de l’enfant : il est déjà sexué cependant et capable de désirs et de plaisirs.
Les « codes de bonne conduite » de nos civilisations dites « évoluées » veulent que le corps de l’homme soit protégé du regard du monde, en particulier son sexe, comme attribut de honte ou sacré (c’est presque pareil).
Celui de la femme par contre, est dans un dualisme étonnant : tantôt exhibé, étalé au grand jour… parfois enfermé sous quelque « sac », interdit du regard !
Mais toujours, hélas : pour exister comme objet… de convoitise !
Un mâle nu est une abomination médiatique et surtout télévisuelle (sauf lorsque cela se paye fort cher sur des chaînes privées)…
Il serait préférable pour TF1, de visionner en prime time le film « Orange Mécanique » où le compositeur Ludwig van BEETHOVEN est tristement mis à l’honneur dans une éducation au viol ; ou encore le film « Atomic Circus » avec notre chère Vanessa PARADIS, où des extra-terrestres déchiquettent à plaisir des citoyens crétins !
Cela serait moins choquant que de fixer dans les cerveaux de son cher public le membre viril de l’homme !
Même à l’état flaccide !
Mais pourquoi ce bout de chair — à l’état libre dans le monde animal — serait moins présentable qu’une paire de seins exhibés « naturellement » à tous les coins de rues ?
Pourquoi la femme-objet ?
Pourquoi l’homme-mystère ?
Pourquoi l’homme-mystère ?
Il n’y a pas de respect pour le corps
de la femme, exposé ou emprisonné.
La taille, les mensurations, la forme des seins, ce sont des discussions continuelles, des remarques désobligeantes, des critiques ou des fantasmes… où les hommes se sentent tout puissants !
Et pour l’homme ?
Sujet tabou de tricheurs et de menteurs !
Si vous voulez « tout savoir », il y a des milliers et des milliers de livres pour vous expliquer ou vous montrer parfois les sexes… sans réellement répondre à vos questions, hélas.
Je vous donnerai cependant quelques mesures faites « avec témoins », sur un nombre suffisant de personnes pour se donner une première idée d’une moyenne que l’on dévoile rarement : un pénis adulte nord-américain — en érection bien entendu — mesure « en moyenne » 13,8 cm, contre 14,2 cm pour les Espagnols et 15,1 cm pour les Français (sources américaines de 1999, extraites des études cliniques du Docteur VIRAG ; mais cela baisse régulièrement depuis, en raison de la pollution croissante et l’alimentation trop sucrée, trop salée, trop chimique, cuite aux micro-ondes, et aussi par l’état révélé de « looser » chez beaucoup de mâles).
Il n’y a pas de sources fiables pour l’Afrique, l’Océanie, comme pour l’Asie, qui présentent des écarts types trop grands pour donner une mesure générique qui ait du sens…
Chacun son sexe, comme chacun sa pointure de chaussures avec les orteils de toutes tailles, formes et diamètres !
Et moi, et moi et moi ?
La mesure doit se faire à partir de l’os pubien, et non pas sous les testicules…
Pour la taille « classique » d’un sexe masculin au repos : il n’y en a pas !
Tout dépend de l’humeur, de la température et de vos désirs.
La statuaire Grecque présente des hommes magnifiques avec un sexe « au repos » qui reste semble-t-il très modeste aux dires des inquiets qui se vantent.
Pour le pénis masculin, c’est comme pour apprécier les seins d’une femme… c’est tout l’ensemble qui doit être harmonieux !
Il y a tout qui compte : la forme, la vigueur, le diamètre, la couleur, le toucher, l’odeur, le goût, et bien entendu la taille… en plein désir !
En tant que mâle adulte, si vous possédez un pénis en érection entre 14 et 17 cm, vous êtes dans la bonne moyenne, au regard de notre civilisation « européanisée ». Vous pouvez le montrer ou non ; il est raisonnable.
Entre 17 et 20 cm, c’est — selon tous les autres critères rassemblés — un beau modèle à faire parfois des envieux…
De 9 à 13 cm, vous avez un petit sexe — c’est vrai — mais il est certainement de taille suffisante pour avoir du plaisir et en donner… ne jouez pas aux frustrés !
Les Coréens sont réputés pour être heureux dans leur sexualité et à l'aise dans leur peau avec leur pénis en érection de 10 cm… selon les sources non officielles, bien entendu !
En-deçà de 8 cm, c’est une problématique généralement handicapante qu’il faut espérer pouvoir soigner pour tenter de vivre au mieux sa sexualité.
Au-delà de 20 cm, je demande à voir ! C’est plus de la légende ou selon d’autres critères, est-ce alors une curiosité, voire de l’abomination ?
Il en faut de l’énergie pour dresser tout cela et ce n’est peut-être pas si simple de trouver celle ou celui qui est « de taille » à la rencontre physique avec un tel phénomène !
Pour les complexés, pour les frustrés du « petit zizi » ?
Il n’y a pas de réussite dans la chirurgie esthétique vis-à-vis du pénis comme cela peut-être étonnant et heureux pour les seins d’une femme… avec les opérations réparatrices, après cancer.
N’oublions pas qu’un pénis atteint sa forme adulte autour de 28 ans.
Jusqu’à ce jour, puisque c’est aussi lié à l’état psychologique de l’homme, « que nous sommes ce que nous voulons être » il est possible pour le mâle, de faire gagner « quelques bons centimètres » à sa verge en érection, grâce à un suivi analytique sérieux.
Mais rappelons-le : quelles que soient les mensurations de vos seins ou celles de votre pénis, c’est à vous de décider ce que vous en vivrez pour votre plaisir… à donner, à prendre !
La taille, les mensurations, la forme des seins, ce sont des discussions continuelles, des remarques désobligeantes, des critiques ou des fantasmes… où les hommes se sentent tout puissants !
Et pour l’homme ?
Sujet tabou de tricheurs et de menteurs !
Si vous voulez « tout savoir », il y a des milliers et des milliers de livres pour vous expliquer ou vous montrer parfois les sexes… sans réellement répondre à vos questions, hélas.
Je vous donnerai cependant quelques mesures faites « avec témoins », sur un nombre suffisant de personnes pour se donner une première idée d’une moyenne que l’on dévoile rarement : un pénis adulte nord-américain — en érection bien entendu — mesure « en moyenne » 13,8 cm, contre 14,2 cm pour les Espagnols et 15,1 cm pour les Français (sources américaines de 1999, extraites des études cliniques du Docteur VIRAG ; mais cela baisse régulièrement depuis, en raison de la pollution croissante et l’alimentation trop sucrée, trop salée, trop chimique, cuite aux micro-ondes, et aussi par l’état révélé de « looser » chez beaucoup de mâles).
Il n’y a pas de sources fiables pour l’Afrique, l’Océanie, comme pour l’Asie, qui présentent des écarts types trop grands pour donner une mesure générique qui ait du sens…
Chacun son sexe, comme chacun sa pointure de chaussures avec les orteils de toutes tailles, formes et diamètres !
Et moi, et moi et moi ?
La mesure doit se faire à partir de l’os pubien, et non pas sous les testicules…
Pour la taille « classique » d’un sexe masculin au repos : il n’y en a pas !
Tout dépend de l’humeur, de la température et de vos désirs.
La statuaire Grecque présente des hommes magnifiques avec un sexe « au repos » qui reste semble-t-il très modeste aux dires des inquiets qui se vantent.
Pour le pénis masculin, c’est comme pour apprécier les seins d’une femme… c’est tout l’ensemble qui doit être harmonieux !
Il y a tout qui compte : la forme, la vigueur, le diamètre, la couleur, le toucher, l’odeur, le goût, et bien entendu la taille… en plein désir !
En tant que mâle adulte, si vous possédez un pénis en érection entre 14 et 17 cm, vous êtes dans la bonne moyenne, au regard de notre civilisation « européanisée ». Vous pouvez le montrer ou non ; il est raisonnable.
Entre 17 et 20 cm, c’est — selon tous les autres critères rassemblés — un beau modèle à faire parfois des envieux…
De 9 à 13 cm, vous avez un petit sexe — c’est vrai — mais il est certainement de taille suffisante pour avoir du plaisir et en donner… ne jouez pas aux frustrés !
Les Coréens sont réputés pour être heureux dans leur sexualité et à l'aise dans leur peau avec leur pénis en érection de 10 cm… selon les sources non officielles, bien entendu !
En-deçà de 8 cm, c’est une problématique généralement handicapante qu’il faut espérer pouvoir soigner pour tenter de vivre au mieux sa sexualité.
Au-delà de 20 cm, je demande à voir ! C’est plus de la légende ou selon d’autres critères, est-ce alors une curiosité, voire de l’abomination ?
Il en faut de l’énergie pour dresser tout cela et ce n’est peut-être pas si simple de trouver celle ou celui qui est « de taille » à la rencontre physique avec un tel phénomène !
Pour les complexés, pour les frustrés du « petit zizi » ?
Il n’y a pas de réussite dans la chirurgie esthétique vis-à-vis du pénis comme cela peut-être étonnant et heureux pour les seins d’une femme… avec les opérations réparatrices, après cancer.
N’oublions pas qu’un pénis atteint sa forme adulte autour de 28 ans.
Jusqu’à ce jour, puisque c’est aussi lié à l’état psychologique de l’homme, « que nous sommes ce que nous voulons être » il est possible pour le mâle, de faire gagner « quelques bons centimètres » à sa verge en érection, grâce à un suivi analytique sérieux.
Mais rappelons-le : quelles que soient les mensurations de vos seins ou celles de votre pénis, c’est à vous de décider ce que vous en vivrez pour votre plaisir… à donner, à prendre !
Votre plaisir à
aimer !
Si vraiment vous pensez toujours
avoir « un trop petit sexe » ou un sexe « trop pas beau »…
pour être heureux, et que vous jalousez l’autre, il y a un grand nombre de
parades plus ou moins déviantes comme : faire la guerre, jouer au politicien
sauveur en abusant de tous les pouvoirs sur les plus fragiles, être un chef
d’entreprise tyrannique en exploitant les faibles… opter pour le voyeurisme
dans le journalisme…
Ou même, vous pouvez préférer l’exhibitionnisme ironique à la télévision…
Ou encore, il est possible faire usage de drogues quelconques pour tenter d’instaurer une virilité d’apparence, ou d’en oublier son absence.
Enfin, certains choisiront d’être porte-parole d’un dieu, d’une idéologie et seront fiers d’être la main tranchante de sa justice…
Ou même, vous pouvez préférer l’exhibitionnisme ironique à la télévision…
Ou encore, il est possible faire usage de drogues quelconques pour tenter d’instaurer une virilité d’apparence, ou d’en oublier son absence.
Enfin, certains choisiront d’être porte-parole d’un dieu, d’une idéologie et seront fiers d’être la main tranchante de sa justice…
Maintenant, d'un simple clic, voici le chapitre suivant :
L’humain, un être ternaire ?
« Corps-cœur-esprit »
L’humain, un être ternaire ?
« Corps-cœur-esprit »
Vous avez aimé ?
Merci de partager !
Merci de partager !
Amours & Sexualité, une création originale par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe, tous droits réservés ©…
|
Auteur : Yves Philippe de Francqueville
|