Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Dernier chapitre
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Dernier chapitre
En
conclusion :
1.
Évoluer vers l’état d’humain…
Je suis réellement convaincu qu’il
n’y a pas de type de comportement sexuel défini ni de spécificité, de maladie
ou de déviance que l’on souhaiterait « mentales » ou
« génétiques »… propositions idéales des systèmes hiérarchiques pour
classifier l’humain.
L’humain est « un tout » dans sa capacité à aimer, à vivre sa sexualité.
L’humain est avant tout un animal.
Tous les êtres humains se ressemblent.
Chaque être humain est cependant différent.
Nous avons donc besoin de nous découvrir les uns et les autres pour une complémentarité.
Notre comportement résulte essentiellement d’une bonne harmonie ou d’une dysharmonie de notre corps avec le cœur et la raison qui nous permet de comprendre l’autre.
Toute rencontre est intéressée…
Aussi, l’amour, « le plaisir d’aimer » est certainement l’intérêt le plus génial : il construit notre nature humaine.
Sommes-nous alors capables de désirer réellement « l’amour » ?
Tous, en situation fragile, nous sommes les victimes potentielles du franchissement d’un interdit. La société pourrait peut-être créer davantage de règles du jeu sans tricher sur l’espace de plus en plus restreint de nos libertés individuelles ?
Non, ce n’est pas la raison d’être d’un État !
Libérons-nous donc de l’emprise sociétale !
« Le bipède » peut devenir « humain » en prenant conscience du plaisir d’être libre !
Cependant la peur de la peur de la mort nous enferme dans des jeux de dupe où nous espérons encore et toujours une place, même un strapontin, dans un paradis… ou une réincarnation légitime, parce que l’alexandrin de Victor HUGO — lorsqu’il n’arrivait plus à se réfugier dans ses complaintes et ses suppliques à un dieu qui lui avait « pris » des enfants — nous sera toujours insupportable : oui…
L’humain est « un tout » dans sa capacité à aimer, à vivre sa sexualité.
L’humain est avant tout un animal.
Tous les êtres humains se ressemblent.
Chaque être humain est cependant différent.
Nous avons donc besoin de nous découvrir les uns et les autres pour une complémentarité.
Notre comportement résulte essentiellement d’une bonne harmonie ou d’une dysharmonie de notre corps avec le cœur et la raison qui nous permet de comprendre l’autre.
Toute rencontre est intéressée…
Aussi, l’amour, « le plaisir d’aimer » est certainement l’intérêt le plus génial : il construit notre nature humaine.
Sommes-nous alors capables de désirer réellement « l’amour » ?
Tous, en situation fragile, nous sommes les victimes potentielles du franchissement d’un interdit. La société pourrait peut-être créer davantage de règles du jeu sans tricher sur l’espace de plus en plus restreint de nos libertés individuelles ?
Non, ce n’est pas la raison d’être d’un État !
Libérons-nous donc de l’emprise sociétale !
« Le bipède » peut devenir « humain » en prenant conscience du plaisir d’être libre !
Cependant la peur de la peur de la mort nous enferme dans des jeux de dupe où nous espérons encore et toujours une place, même un strapontin, dans un paradis… ou une réincarnation légitime, parce que l’alexandrin de Victor HUGO — lorsqu’il n’arrivait plus à se réfugier dans ses complaintes et ses suppliques à un dieu qui lui avait « pris » des enfants — nous sera toujours insupportable : oui…
« Il
faut que l’herbe pousse
Et que les enfants meurent ».
Et que les enfants meurent ».
La raison bridée de nous croire destinés à d’autres vies serait la force des moralistes politiques et surtout religieux
pour nous interdire le bonheur sur cette petite planète. La plupart de ces
tyrans sont eux-mêmes non-obligés des lois qu’ils imposent à leurs ouailles.
L’enfer est bien sur cette Terre…
Le paradis aussi !
Enfer ou paradis… nous avons tous la liberté de choisir notre vie… J’ai le droit de me construire ou de me détruire… en mesurant ou non les conséquences !
Il semble aussi absurde, ridicule et réducteur de vouloir nous faire croire que l’humain est bon ou mauvais… Tout est en potentialité, non en certitudes, Monsieur Jean-Jacques ROUSSEAU !
De même, prenons conscience que la sexualité n’existe pas de manière raisonnée, et raisonnable.
Cependant, la sexualité peut être heureuse dans le plaisir et ainsi moins « pulsionnelle », si l’humain découvre « l’amour », ce qui le différencierait enfin… de l’animal.
L’enfer est bien sur cette Terre…
Le paradis aussi !
Enfer ou paradis… nous avons tous la liberté de choisir notre vie… J’ai le droit de me construire ou de me détruire… en mesurant ou non les conséquences !
Il semble aussi absurde, ridicule et réducteur de vouloir nous faire croire que l’humain est bon ou mauvais… Tout est en potentialité, non en certitudes, Monsieur Jean-Jacques ROUSSEAU !
De même, prenons conscience que la sexualité n’existe pas de manière raisonnée, et raisonnable.
Cependant, la sexualité peut être heureuse dans le plaisir et ainsi moins « pulsionnelle », si l’humain découvre « l’amour », ce qui le différencierait enfin… de l’animal.
2. Le
besoin d’enfanter…
Il y a encore ce désir de paternité
et de maternité qui semble en ce début du XXI° siècle créer de nouveaux
troubles graves chez « les bien-pensants »… peut-être trop ignorants
du passé ?
L’idée d’avoir « un papa et une maman » pour tout enfant, c’est la belle histoire que les petits orphelins aimaient entendre de la bouche du jeune Peter, rentrant de l’école, avant qu’il n’absorbe l’énergie de Pan tué par le Capitaine.…
Hélas, avoir une « famille », cela ne fut que très rarement la réalité depuis la nuit des temps !
Depuis toujours, les hommes travaillent trop, partent un jour, meurent souvent à la guerre, ou parfois d’ennui…
Les femmes travaillent aussi beaucoup plus qu’on ne le dit et meurent en couche ou se sacrifient pour leur progéniture… sans avoir vécu.
Jusqu’au début des années 1960, l’enfant avait parfois une mère présente, rarement un père… et pour ce qui est de dire « papa », c’était un mot très peu employé par un enfant… Les enfants étaient élevés par une grande sœur, des institutions, les tantes, nourrices ou grands parents… Dire « maman » est plus courant de nos jours, mais le mot « papa » reste moins usité en raison de l’éloignement de beaucoup d’enfants de leur père : depuis la fin des années 1980, le divorce « plus libre » a montré que le mariage était une institution d’État et religieuse, finalement plus complexe à vivre dans la durée, que l’on voulait bien nous l’expliquer…
Les séparations de couples entraînent la garde alternée (dommage que ce ne soit pas les mots « éducation alternée » qui soient utilisés par la justice) de la progéniture — objet de discorde ou de guerres internes — ou lors des gardes plus ou moins exclusives, souvent confiée à la mère sans nécessairement de bons discernements, avec des jeux et des enjeux financiers certains.
Nous ne sommes pas (encore) dans « Le Meilleur des Mondes » d’Aldous HUXLEY ; un enfant naît toujours à notre époque d’une mère, qui porte l’ovule (souvent issu d’elle) fécondé par un spermatozoïde… dont la paternité n’a jamais été simple à prouver…
Il était aussi relativement courant — avant la légalisation de l’avortement — qu’un enfant soit abandonné, donné, échangé ou vendu à une institution ou une famille pour de multiples raisons, dans tous les milieux… pour qu’il travaille, fasse la guerre ou relève un nom… La mémoire fait défaut à ceux qui défilent pour un idéal qui n’a pas encore existé !
Aujourd’hui, peut-être que l’enfant s’avère davantage désiré, et se trouve beaucoup plus considéré, avec des « parents » soucieux de l’éduquer, de l’aimer !
Et le mot « papa » comme celui de « maman » trouve un sens de plus en plus affectif, qu’il soit décliné au singulier ou au pluriel…
« Père » et « mère » restent des termes filiatifs plus ou moins généalogiques et administratifs !
L’idée d’avoir « un papa et une maman » pour tout enfant, c’est la belle histoire que les petits orphelins aimaient entendre de la bouche du jeune Peter, rentrant de l’école, avant qu’il n’absorbe l’énergie de Pan tué par le Capitaine.…
Hélas, avoir une « famille », cela ne fut que très rarement la réalité depuis la nuit des temps !
Depuis toujours, les hommes travaillent trop, partent un jour, meurent souvent à la guerre, ou parfois d’ennui…
Les femmes travaillent aussi beaucoup plus qu’on ne le dit et meurent en couche ou se sacrifient pour leur progéniture… sans avoir vécu.
Jusqu’au début des années 1960, l’enfant avait parfois une mère présente, rarement un père… et pour ce qui est de dire « papa », c’était un mot très peu employé par un enfant… Les enfants étaient élevés par une grande sœur, des institutions, les tantes, nourrices ou grands parents… Dire « maman » est plus courant de nos jours, mais le mot « papa » reste moins usité en raison de l’éloignement de beaucoup d’enfants de leur père : depuis la fin des années 1980, le divorce « plus libre » a montré que le mariage était une institution d’État et religieuse, finalement plus complexe à vivre dans la durée, que l’on voulait bien nous l’expliquer…
Les séparations de couples entraînent la garde alternée (dommage que ce ne soit pas les mots « éducation alternée » qui soient utilisés par la justice) de la progéniture — objet de discorde ou de guerres internes — ou lors des gardes plus ou moins exclusives, souvent confiée à la mère sans nécessairement de bons discernements, avec des jeux et des enjeux financiers certains.
Nous ne sommes pas (encore) dans « Le Meilleur des Mondes » d’Aldous HUXLEY ; un enfant naît toujours à notre époque d’une mère, qui porte l’ovule (souvent issu d’elle) fécondé par un spermatozoïde… dont la paternité n’a jamais été simple à prouver…
Il était aussi relativement courant — avant la légalisation de l’avortement — qu’un enfant soit abandonné, donné, échangé ou vendu à une institution ou une famille pour de multiples raisons, dans tous les milieux… pour qu’il travaille, fasse la guerre ou relève un nom… La mémoire fait défaut à ceux qui défilent pour un idéal qui n’a pas encore existé !
Aujourd’hui, peut-être que l’enfant s’avère davantage désiré, et se trouve beaucoup plus considéré, avec des « parents » soucieux de l’éduquer, de l’aimer !
Et le mot « papa » comme celui de « maman » trouve un sens de plus en plus affectif, qu’il soit décliné au singulier ou au pluriel…
« Père » et « mère » restent des termes filiatifs plus ou moins généalogiques et administratifs !
3.
Vivre !
Les femmes et les hommes — libres
dans leurs corps, leur cœur et leur esprit — sont des êtres capables de quitter
ces univers de sousvie ou de survie pour découvrir la vie !
Il est nécessaire d’apprendre tout d’abord à s’aimer personnellement, pour aller à la rencontre des autres : femmes et hommes à travers le monde.
Nous ne devons surtout pas oublier que nous sommes toujours des animaux en cours d’évolution, selon Marguerite YOURCENAR, qui osait écrire que :
Il est nécessaire d’apprendre tout d’abord à s’aimer personnellement, pour aller à la rencontre des autres : femmes et hommes à travers le monde.
Nous ne devons surtout pas oublier que nous sommes toujours des animaux en cours d’évolution, selon Marguerite YOURCENAR, qui osait écrire que :
« Depuis
ADAM, bien peu de bipèdes
Peuvent prétendre à l’appellation d’Hommes ».
Peuvent prétendre à l’appellation d’Hommes ».
Après nous être libérés des peurs de
nos peurs, nous pouvons nous libérer de la soif de pouvoir, de l’esprit de
domination, de la volonté de conquête afin de rechercher « l’idée de beau »…
Plutôt que de nous complaire dans le massacre et dans l’illusion de posséder… Osons devenir créateurs !
Cela sense notre vie terrestre… sans attendre une réincarnation ou un paradis futur pour commencer à vivre !
Nous n’aurions plus de crainte d’un jugement dernier, d’un enfer ou d’une punition divine, nous interdisant le plaisir !
Alors, sans orgueil, sans envie, sans haine, sans jalousie… sans peur… nous pouvons commencer à aimer. Nous sommes alors en mesure de désirer être désirés par celles et ceux que nous désirons !
C’est ce que nous pourrions nommer :
Plutôt que de nous complaire dans le massacre et dans l’illusion de posséder… Osons devenir créateurs !
Cela sense notre vie terrestre… sans attendre une réincarnation ou un paradis futur pour commencer à vivre !
Nous n’aurions plus de crainte d’un jugement dernier, d’un enfer ou d’une punition divine, nous interdisant le plaisir !
Alors, sans orgueil, sans envie, sans haine, sans jalousie… sans peur… nous pouvons commencer à aimer. Nous sommes alors en mesure de désirer être désirés par celles et ceux que nous désirons !
C’est ce que nous pourrions nommer :
« L’amour
humain ».
Bien entendu, « l’amour humain »
se construit avec des règles du jeu qu’il est nécessaire de rappeler :
Ne pas s’abîmer,
Ne pas abîmer l’autre…
S’inviter à la rencontre pour grandir…
Tout donner pour que l’autre grandisse
À notre rencontre :
Corps, cœur et âme !
Après, il nous faudra mourir…
Plaise à nous d’avoir au moins vécu,
Pour un sourire, pour une fleur, pour un amour !
Ne pas abîmer l’autre…
S’inviter à la rencontre pour grandir…
Tout donner pour que l’autre grandisse
À notre rencontre :
Corps, cœur et âme !
Après, il nous faudra mourir…
Plaise à nous d’avoir au moins vécu,
Pour un sourire, pour une fleur, pour un amour !
Nous sommes onde et matière…
Que notre explosion moléculaire déploie alors une énergie rayonnante qui nourrisse l’autre, les autres pour des millénaires… en radiations constructrices !
Que notre explosion moléculaire déploie alors une énergie rayonnante qui nourrisse l’autre, les autres pour des millénaires… en radiations constructrices !
Fin de la première partie.
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Amours & Sexualité, une création originale par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe, tous droits réservés ©…