Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Scène première
L'écoute, un art à limiter juste
aux médecins ?
Doit-on tout cloisonner et tout réglementer dans des structures étatiques ?
La compétence de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, dans l’écoute, progresse jour après jour, grâce à une réelle introspection analytique — toujours en cours — qui ne devrait jamais s’achever.
C’est en effet une nécessité première que de se donner tous les moyens possibles pour que les soucis personnels du passé — comme ceux du quotidien — ne fassent pas interférence avec la rencontre de celle ou celui qui souhaite exprimer sa souffrance afin de s'en libérer.
L’analyse intérieure est complétée par une formation approfondie dans l’étude de la famille ainsi que des études universitaires en philosophie et en théologie.
Tout cela est bien entendu fortement consolidé par un travail autodidacte et surtout une découverte sérieuse de la vie sur le terrain : l’expérience humaine avec, et au delà des livres !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE a une soif d’apprendre auprès de tous et chacun qui lui offrent un champ d’investigation toujours en évolution.
Depuis près de vingt-cinq ans, la prise de conscience de l'autre s'est affinée pour permettre d'éviter au maximum les erreurs de compréhension comme les impasses.
Son audace et son franc parlé devant les notables ayant la vérité crée tantôt un espace de dialogues constructifs… tantard des attaques ciblées et violentes.
Oui, remettre en question des vérités contrôlées par un Conseil de l’Ordre créé sous le Régime de Vichy peut être fort dangereux !
Une des rares bonnes résolutions proposées par la Révolution française qui fut vraiment réalisée c'est certainement la suppression des corporations par le décret de Pierre d'ALLARDE.
Enfin une possibilité recouvrée pour chacun afin d'agir en liberté sans risquer de se retrouvé assujetti de taxes ou de dîmes à verser pour un droit d'exercer, ou bien d'être suspendu au gibet ou lapidé publiquement pour n'avoir pas eu les idées ou actes homologués par un maître ou une société.
Hélas, le désir de liberté n'est pas une passion intégrée chez la plus part des humains encore attachés aux bons principes de l'obéissance à une autorité.
Ne pas décider par soi-même évite certainement de se tromper. La responsabilité incombe ainsi à celui qui use d'un pouvoir prit par la force ou la ruse… ou pire : sciemment abandonné par le faible ou le lâche !
La fin des corporations avait pour intérêt de faire naître une multitude de talents non prisonniers par des clauses des lois et des interdits, gérés par des puissants préférant octroyer des droits et privilèges aux proches ou aux dociles plutôt que de laisser aux talentueux la possibilité d'agir avec leurs qualités, leurs découvertes, leurs choix de vie !
L'excuse scandaleuse pour imposer de nouveau des corporations de tout style était d'éviter "la contrefaçon" ou "le charlatanisme"…
Charlatan !
Hérétique !
Deux mots chers aux journalistes passionnés de brèves de prétoires comme ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, celui qui utilise le journal provincial le Midi Libre, pour développer son aura nauséeuse…
Il suffit juste de prononcer quelques mots comme "philanalyse" ou "philanalyste", avec comme définition proposée : "l'analyse de l'amour humain", pour que certains grands sages, adeptes des sectes lacaniennes ou freudiennes crient au scandale !
Il est vrai que ces hérauts de leurs dieux n'ont pas encore terminés de s'imprégner des écrits des Maîtres, surtouts ceux qui sentent sérieusement le soufre, comme les tonnes d'archives interdites de Sigmund FREUD… où par la lecture des textes non détruits et de ceux non "corrigés", se révélera peut-être enfin les faces très très glauques de cet homme au final (comme au commencement) pas très sain… Il en est de même pour Jacques Lacan et ses compères en soif de pouvoir et de gloire faciles sur des êtres fragiles !
Comment donc les inviter à réfléchir sur d'autres propositions d'écoute… qui sont travaillée en liberté et sans principe hiérarchique par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, jeune philanalyste en herbe qui agit comme pirate : ni dieu, ni maître… c'est à dire qu'il n'est donc lui-même sans soif de pouvoir ou de gloire… sans désir d'ascendance … Un homme libre, fier, debout — un individu hors normalités — qui invite juste d'autres individus prenant conscience de leur hors normalités à se lever, à quitter la caverne où règnent en tyrans ceux qui font croire aux bipèdes dociles que les ombres projetées sont vérités vraies… pour aller vers la lumière de la connaissance et devenir des humains sans certitudes, fragiles mais vivants… surtout pas sousvivants, très rarement survivants… Merci Marguerite YOURCENAR. Merci PLATON.
La philanalyse développe une manière socratique d'écoute : c'est à dire libérée du principe de hiérarchie verticale.
Charlatan ?
Hérétique ?
Ah, de bien grands mots si facilement utilisé par les médecins ou autres praticiens rassurés de leur légitimité par ce beau diplôme mis sous verre, gagné parfois au prix de combien d'échecs ou de tricheries ?
François RABELAIS n'avait pas de certificat d'aptitude à l'exercice de la médecine… mais semblait plus fiable par son humanisme et ses recherches autodidactes que les longues listes de champions spécialistes assermentés qui, depuis HYPPOCRATE à nos jours, tuent avec art comme MOLIÈRE le déclame avec tact dans l'Amour Médecin dont voici un petit extrait :
ACTE II, Scène première
SGANARELLE & LISETTE.
LISETTE : Que voulez-vous donc faire, Monsieur, de quatre médecins ? N'est-ce pas assez d'un pour tuer une personne ?
SGANARELLE : Taisez-vous. Quatre conseils valent mieux qu'un.
LISETTE : Est-ce que votre fille ne peut pas bien mourir sans le secours de ces messieurs-là ?
SGANARELLE : Est-ce que les médecins font mourir ?
LISETTE : Sans doute ; et j'ai connu un homme qui prouvait, par bonnes raisons, qu'il ne faut jamais dire : "Une telle personne est morte d'une fièvre et d'une fluxion sur la poitrine", mais : "Elle est morte de quatre médecins et de deux apothicaires."
SGANARELLE : Chut. N'offensez pas ces messieurs-là.
LISETTE : Ma foi ! Monsieur, notre chat est réchappé depuis peu d'un saut qu'il fit du haut de la maison dans la rue ; et il fut trois jours sans manger, et sans pouvoir remuer ni pied ni patte ; mais il est bien heureux de ce qu'il n'y a point de chats médecins, car ses affaires étaient faites, et ils n'auraient pas manqué de le purger et de le saigner.
SGANARELLE : Voulez-vous vous taire ? vous dis-je. Mais voyez quelle impertinence ! Les voici.
LISETTE : Prenez garde, vous allez être bien édifié : ils vous diront en latin que votre fille est malade.
François RABELAIS était enseignant à la déjà célèbre faculté de médecine de Montpellier où il semblait donner de belle manière quelques cours sur HYPPOCRATE…
Pour nous rassurer, l'on a gentiment — et fort tardivement — inventé pour lui un statut de bachelier qu'il aurait obtenu avec brio, en à peine deux mois de formation… et les pseudo historiens biographes aux ordres du Conseil en font un super héros parmi les "multi diplômés" pour nous rassurer, nous édifier… ou nous prendre pour des candides…
Lorsqu'une personne décède il est bon de créer des légendes pour s'en approprier quelques gloires. Pour d'autres, c'est l'accession au pouvoir qui les transforme soudainement en champions de la culture et alors des diplômes et études s'inventent, avec de vrais faux documents et de faux vrais pour que le peuple ne puisse plus rien comprendre…
Et celles et ceux qui oseraient annoncer le subterfuge sont vite mis à mort… Mort physique si possible, sociétale sinon !
Faire de belles études est un extraordinaire chemin d'apprentissage du monde et de l'autre. Apprendre est une passion merveilleuse dans l'immense respect d'accepter de ne pas nécessairement comprendre. Se cultiver nous aide à être plus humble, plus vrai auprès de celui qui souffre, qui nous espère attentif et aimant.
L'art d'être à l'écoute, sans se sentir supérieur… être à côté de l'autre !
Les études ne devraient en aucun cas donner à l'homme une quelconque ascendance sur son prochain mais devraient lui donner des moyens complémentaires pour lui permettre de grandir aussi.
C’est en effet une nécessité première que de se donner tous les moyens possibles pour que les soucis personnels du passé — comme ceux du quotidien — ne fassent pas interférence avec la rencontre de celle ou celui qui souhaite exprimer sa souffrance afin de s'en libérer.
L’analyse intérieure est complétée par une formation approfondie dans l’étude de la famille ainsi que des études universitaires en philosophie et en théologie.
Tout cela est bien entendu fortement consolidé par un travail autodidacte et surtout une découverte sérieuse de la vie sur le terrain : l’expérience humaine avec, et au delà des livres !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE a une soif d’apprendre auprès de tous et chacun qui lui offrent un champ d’investigation toujours en évolution.
Depuis près de vingt-cinq ans, la prise de conscience de l'autre s'est affinée pour permettre d'éviter au maximum les erreurs de compréhension comme les impasses.
Son audace et son franc parlé devant les notables ayant la vérité crée tantôt un espace de dialogues constructifs… tantard des attaques ciblées et violentes.
Oui, remettre en question des vérités contrôlées par un Conseil de l’Ordre créé sous le Régime de Vichy peut être fort dangereux !
Une des rares bonnes résolutions proposées par la Révolution française qui fut vraiment réalisée c'est certainement la suppression des corporations par le décret de Pierre d'ALLARDE.
Enfin une possibilité recouvrée pour chacun afin d'agir en liberté sans risquer de se retrouvé assujetti de taxes ou de dîmes à verser pour un droit d'exercer, ou bien d'être suspendu au gibet ou lapidé publiquement pour n'avoir pas eu les idées ou actes homologués par un maître ou une société.
Hélas, le désir de liberté n'est pas une passion intégrée chez la plus part des humains encore attachés aux bons principes de l'obéissance à une autorité.
Ne pas décider par soi-même évite certainement de se tromper. La responsabilité incombe ainsi à celui qui use d'un pouvoir prit par la force ou la ruse… ou pire : sciemment abandonné par le faible ou le lâche !
La fin des corporations avait pour intérêt de faire naître une multitude de talents non prisonniers par des clauses des lois et des interdits, gérés par des puissants préférant octroyer des droits et privilèges aux proches ou aux dociles plutôt que de laisser aux talentueux la possibilité d'agir avec leurs qualités, leurs découvertes, leurs choix de vie !
L'excuse scandaleuse pour imposer de nouveau des corporations de tout style était d'éviter "la contrefaçon" ou "le charlatanisme"…
Charlatan !
Hérétique !
Deux mots chers aux journalistes passionnés de brèves de prétoires comme ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, celui qui utilise le journal provincial le Midi Libre, pour développer son aura nauséeuse…
Il suffit juste de prononcer quelques mots comme "philanalyse" ou "philanalyste", avec comme définition proposée : "l'analyse de l'amour humain", pour que certains grands sages, adeptes des sectes lacaniennes ou freudiennes crient au scandale !
Il est vrai que ces hérauts de leurs dieux n'ont pas encore terminés de s'imprégner des écrits des Maîtres, surtouts ceux qui sentent sérieusement le soufre, comme les tonnes d'archives interdites de Sigmund FREUD… où par la lecture des textes non détruits et de ceux non "corrigés", se révélera peut-être enfin les faces très très glauques de cet homme au final (comme au commencement) pas très sain… Il en est de même pour Jacques Lacan et ses compères en soif de pouvoir et de gloire faciles sur des êtres fragiles !
Comment donc les inviter à réfléchir sur d'autres propositions d'écoute… qui sont travaillée en liberté et sans principe hiérarchique par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, jeune philanalyste en herbe qui agit comme pirate : ni dieu, ni maître… c'est à dire qu'il n'est donc lui-même sans soif de pouvoir ou de gloire… sans désir d'ascendance … Un homme libre, fier, debout — un individu hors normalités — qui invite juste d'autres individus prenant conscience de leur hors normalités à se lever, à quitter la caverne où règnent en tyrans ceux qui font croire aux bipèdes dociles que les ombres projetées sont vérités vraies… pour aller vers la lumière de la connaissance et devenir des humains sans certitudes, fragiles mais vivants… surtout pas sousvivants, très rarement survivants… Merci Marguerite YOURCENAR. Merci PLATON.
La philanalyse développe une manière socratique d'écoute : c'est à dire libérée du principe de hiérarchie verticale.
Charlatan ?
Hérétique ?
Ah, de bien grands mots si facilement utilisé par les médecins ou autres praticiens rassurés de leur légitimité par ce beau diplôme mis sous verre, gagné parfois au prix de combien d'échecs ou de tricheries ?
François RABELAIS n'avait pas de certificat d'aptitude à l'exercice de la médecine… mais semblait plus fiable par son humanisme et ses recherches autodidactes que les longues listes de champions spécialistes assermentés qui, depuis HYPPOCRATE à nos jours, tuent avec art comme MOLIÈRE le déclame avec tact dans l'Amour Médecin dont voici un petit extrait :
ACTE II, Scène première
SGANARELLE & LISETTE.
LISETTE : Que voulez-vous donc faire, Monsieur, de quatre médecins ? N'est-ce pas assez d'un pour tuer une personne ?
SGANARELLE : Taisez-vous. Quatre conseils valent mieux qu'un.
LISETTE : Est-ce que votre fille ne peut pas bien mourir sans le secours de ces messieurs-là ?
SGANARELLE : Est-ce que les médecins font mourir ?
LISETTE : Sans doute ; et j'ai connu un homme qui prouvait, par bonnes raisons, qu'il ne faut jamais dire : "Une telle personne est morte d'une fièvre et d'une fluxion sur la poitrine", mais : "Elle est morte de quatre médecins et de deux apothicaires."
SGANARELLE : Chut. N'offensez pas ces messieurs-là.
LISETTE : Ma foi ! Monsieur, notre chat est réchappé depuis peu d'un saut qu'il fit du haut de la maison dans la rue ; et il fut trois jours sans manger, et sans pouvoir remuer ni pied ni patte ; mais il est bien heureux de ce qu'il n'y a point de chats médecins, car ses affaires étaient faites, et ils n'auraient pas manqué de le purger et de le saigner.
SGANARELLE : Voulez-vous vous taire ? vous dis-je. Mais voyez quelle impertinence ! Les voici.
LISETTE : Prenez garde, vous allez être bien édifié : ils vous diront en latin que votre fille est malade.
François RABELAIS était enseignant à la déjà célèbre faculté de médecine de Montpellier où il semblait donner de belle manière quelques cours sur HYPPOCRATE…
Pour nous rassurer, l'on a gentiment — et fort tardivement — inventé pour lui un statut de bachelier qu'il aurait obtenu avec brio, en à peine deux mois de formation… et les pseudo historiens biographes aux ordres du Conseil en font un super héros parmi les "multi diplômés" pour nous rassurer, nous édifier… ou nous prendre pour des candides…
Lorsqu'une personne décède il est bon de créer des légendes pour s'en approprier quelques gloires. Pour d'autres, c'est l'accession au pouvoir qui les transforme soudainement en champions de la culture et alors des diplômes et études s'inventent, avec de vrais faux documents et de faux vrais pour que le peuple ne puisse plus rien comprendre…
Et celles et ceux qui oseraient annoncer le subterfuge sont vite mis à mort… Mort physique si possible, sociétale sinon !
Faire de belles études est un extraordinaire chemin d'apprentissage du monde et de l'autre. Apprendre est une passion merveilleuse dans l'immense respect d'accepter de ne pas nécessairement comprendre. Se cultiver nous aide à être plus humble, plus vrai auprès de celui qui souffre, qui nous espère attentif et aimant.
L'art d'être à l'écoute, sans se sentir supérieur… être à côté de l'autre !
Les études ne devraient en aucun cas donner à l'homme une quelconque ascendance sur son prochain mais devraient lui donner des moyens complémentaires pour lui permettre de grandir aussi.
Vers la
Scène seconde
Mémoires d'un vivant, deuxième acte par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE : pour arriver à la philanalyse.
Auteur : Yves Philippe de Francqueville