Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Scène neuvième
Une adolescence riche en actions
pour un individu hors normalités…
Un des fondateurs du scoutisme en France, le chanoine Antoine Louis CORNETTE, osait dire que celui qui ne fait rien ne commet pas d'erreur… mais peut-être que sa vie en est une ?
Aujourd'hui, pour oser prendre la moindre responsabilité, il faut avant tout consulter son super avocat et s'assurer d'être bien couvert par une très couteuse police d'assurance !
Souvenirs, souvenirs, que l’histoire de ce jeune adolescent venu du Guatemala avec son frère, pour le camp d'été…
Piqué par un frelon, il avait doublé de volume…
L'hôpital pour deux jours !
Ou l'histoire de celui qui, en haute montagne, pendant une randonnée, déclencha une crise d'appendicite aigüe…
Bonne gestion et courage du jeune chef…
Un voyage en hélicoptère offert !
Les deux auraient pu mourir… Il n’y avait pas à l’époque de téléphone portable !
Les deux vont bien…
Coup de chance, providence ou hasard de la vie ?
L'aventure humaine est ainsi.
Aujourd’hui cela se serait bien évidemment déroulé avec quelques procès au final…
Le jeune Pascal G*** est venu cette année là — celle du frelon — participer au grand camp avec ses amis, malgré sa maladie…
Trois semaines où je ne le verrai pas en vie, mais trois semaines où il sera vivant ! disait sa mère — en larmes — le laissant partir…
Tout était vraiment bien organisé : les activités construites en fonction des horaires de kiné et autres prises de médicaments et les temps de repos… en ayant même osé vivre tout le séjour en gérant trois heures de décalage avec le soleil pour ni lui ni ses amis ne soient lésés dans l’aventure !
Il nous a quitté depuis déjà si longtemps que bien peu s'en souviennent.
L'oubli n'est pas forcément la bonne solution.
Ceux qui l'ont encore en mémoire peuvent rire en regardant les étoiles… et pleurer aussi… car on ne se console peut-être pas toujours, finalement !
Aujourd'hui, emmener un enfant malade en camp — dans la pleine nature — ne serait pas possible.
Médecins et chefs scouts, comme l'association elle-même, refuseraient la prise de risque !
Trop dangereux pour sa santé, pour sa sécurité !
Il n'y aurait d’ailleurs pas de police d'assurance assez insouciante pour couvrir une telle situation !
La rencontre humaine…
Pour comprendre le monde dans sa réalité, l'aventure de la vie de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, s'est aussi construite au sein de ses groupes de jeux de société et de rôle, voir sur son blog spécial, la première règle revisitée, proposée gratuitement en ligne… sachant que d'autres suivront : Diplomatie, Diplomacy… une règle originale !
Ajoutons ses différentes formations dans le secourisme, la surveillance de baignade et le sauvetage en mer, ainsi que dans les très nombreuses randonnées de montagne, à la découverte du beau par l'effort… La recherche du sens de la vie !
Oui, un amoureux de la montagne, l'été comme l'hiver aussi… Seule la neige peut lui assurer la possibilité d'un silence tant recherché !
Il a toujours été sportif et acteur dans des clubs et autres associations… mais aussi fort attentif — par plaisir et soif d'apprendre — avec le service auprès des autres.
Oui, il a osé — en liberté, en son âme et conscience — la rencontre et l'écoute avec les malades, les mourants à l'hôpital. (Une aventure humaine fortement enrichie par la présence formidable d'un grand monsieur se présentant comme serpillo-thérapeute : un ingénieur à la retraite, devenu prêtre ouvrier, acteur dans un des hôpitaux, avec sa serpillère sur le balais et son cœur ouvert à l'écoute). Yves Philippe de FRANCQUEVILLE a su vivre aussi (pas juste passer les saluer et les plaindre, mais agir avec eux, dans leurs activités, acteur de leurs projets de reconstruction) chez les laissés pour compte qui tentent de retrouver une dignité au sein des Compagnons d'Emmaüs. Il s’est plu de même à rencontrer, partager, écouter les collégiens, lycéens et étudiants en aumôneries, en camps sportifs, séjours spirituels et philosophiques… et aussi pour des temps festifs et culturels !
Tout cela fut extraordinaire en expériences, mais dans ce qui lui fut le plus riche, il ne faut pas oublier les visites et l'écoute aux personnes âgées à domicile, ou dans leurs mouroirs — ces bibliothèques que l'on abandonne — comme le dialogue et le soutien de celles et ceux qui se sentent obligés de louer leur corps afin de sur-vivre… ou plutôt de sous-vivre.
La libre attention pour les êtres qui se sentent différents dans leur corps et leurs cœur, en contradiction avec ce qui semblerait être la raison lui permet de prendre conscience progressivement de l'unicité affective et sexuelle de chacun.
Il cherche à comprendre les mécanisme et les principes relationnels de celles et ceux qui aimeraient pouvoir assumer leur affectivité qui diffère de la norme imposée. Cela lui a permi de poursuivre avec davantage de moyens ses recherches sur la sexologie en général, après un premier cursus suivi en Belgique.
Il développe alors toute une étude proposant un autre regard sur la sexualité, où les transgenres, les homophiles comme les hétérophiles trouvent des espaces de compréhension vis-à-vis de leur état entrainant une réelle souffrances à communiquer, à s’aimer… à aimer !
Une première partie fort incomplète est déjà disponible sur le blog "un autre regard sur la sexualité", mais un grand nombre de pages de travaux à partager suivront bientôt.
Le Cycle de l'Austrel avec les trois premiers tomes, propose aussi une manière d'entrer dans son travail de recherche :
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE utilise le théâtre philosophique pour développer ses idées au fur et à mesure de ses découvertes.
Ajoutons ses différentes formations dans le secourisme, la surveillance de baignade et le sauvetage en mer, ainsi que dans les très nombreuses randonnées de montagne, à la découverte du beau par l'effort… La recherche du sens de la vie !
Oui, un amoureux de la montagne, l'été comme l'hiver aussi… Seule la neige peut lui assurer la possibilité d'un silence tant recherché !
Il a toujours été sportif et acteur dans des clubs et autres associations… mais aussi fort attentif — par plaisir et soif d'apprendre — avec le service auprès des autres.
Oui, il a osé — en liberté, en son âme et conscience — la rencontre et l'écoute avec les malades, les mourants à l'hôpital. (Une aventure humaine fortement enrichie par la présence formidable d'un grand monsieur se présentant comme serpillo-thérapeute : un ingénieur à la retraite, devenu prêtre ouvrier, acteur dans un des hôpitaux, avec sa serpillère sur le balais et son cœur ouvert à l'écoute). Yves Philippe de FRANCQUEVILLE a su vivre aussi (pas juste passer les saluer et les plaindre, mais agir avec eux, dans leurs activités, acteur de leurs projets de reconstruction) chez les laissés pour compte qui tentent de retrouver une dignité au sein des Compagnons d'Emmaüs. Il s’est plu de même à rencontrer, partager, écouter les collégiens, lycéens et étudiants en aumôneries, en camps sportifs, séjours spirituels et philosophiques… et aussi pour des temps festifs et culturels !
Tout cela fut extraordinaire en expériences, mais dans ce qui lui fut le plus riche, il ne faut pas oublier les visites et l'écoute aux personnes âgées à domicile, ou dans leurs mouroirs — ces bibliothèques que l'on abandonne — comme le dialogue et le soutien de celles et ceux qui se sentent obligés de louer leur corps afin de sur-vivre… ou plutôt de sous-vivre.
La libre attention pour les êtres qui se sentent différents dans leur corps et leurs cœur, en contradiction avec ce qui semblerait être la raison lui permet de prendre conscience progressivement de l'unicité affective et sexuelle de chacun.
Il cherche à comprendre les mécanisme et les principes relationnels de celles et ceux qui aimeraient pouvoir assumer leur affectivité qui diffère de la norme imposée. Cela lui a permi de poursuivre avec davantage de moyens ses recherches sur la sexologie en général, après un premier cursus suivi en Belgique.
Il développe alors toute une étude proposant un autre regard sur la sexualité, où les transgenres, les homophiles comme les hétérophiles trouvent des espaces de compréhension vis-à-vis de leur état entrainant une réelle souffrances à communiquer, à s’aimer… à aimer !
Une première partie fort incomplète est déjà disponible sur le blog "un autre regard sur la sexualité", mais un grand nombre de pages de travaux à partager suivront bientôt.
Le Cycle de l'Austrel avec les trois premiers tomes, propose aussi une manière d'entrer dans son travail de recherche :
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE utilise le théâtre philosophique pour développer ses idées au fur et à mesure de ses découvertes.
Vers la
Scène dixième
Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville