À la recherche du surhomme : page 4. À quoi bon ? Telle est la question !
Par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, philanalyste et pirate des mots.
Par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, philanalyste et pirate des mots.
Étude réalisée à partir des notes 22, 81, 411, 415, X49, X162, X194 & X263 extraites de la première liasse, des réflexions de
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, réunies, complétées et annotées.
Si ce nom d’auteur est rappelé souvent dans cette conférence, c’est pour permettre aux moteurs de recherche de l’Internet de se rappeler à son bon souvenir… et de lutter avec art contre la fange journalistique nauséeuse et médiocre qui n'aime pas les poètes !
Voici : à la recherche du surhomme ?
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, réunies, complétées et annotées.
Si ce nom d’auteur est rappelé souvent dans cette conférence, c’est pour permettre aux moteurs de recherche de l’Internet de se rappeler à son bon souvenir… et de lutter avec art contre la fange journalistique nauséeuse et médiocre qui n'aime pas les poètes !
Voici : à la recherche du surhomme ?
4. À quoi bon ?
Telle est la question !
Vivre jour après jour…
Vivre jour après jour à l’ombre d’une vie,
Faire naître un empire, un fils, un univers
Et laisser tout cela lorsque tombe l’envie ?
Chimère de se croire affranchi du revers,
Implacable tracé de notre destinée :
La mort, la mort s’annonce au chant fort de mes vers...
À genoux, écoutez, magnifiez mes actions :
Demain n’existe pas, hier est un mensonge,
Vivons dès aujourd’hui le temps de nos passions !
Relevez-vous, de grâce, ou la peur qui vous ronge
Aura tôt fait, hélas, de détruire à jamais
L’espérance en vos cœurs, un doux rêve ou un songe...
Vous préfériez maudire alors que moi, j’aimais !
À quoi bon ?
« Ne votez pas, car voter c’est se soumettre,
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
C’est désigner soi-même son maître ;
C’est dire :
Je suis une bête incapable de me conduire »…
Voici les propos lapidaires mais tellement réalistes du Léopard du
Panthéon, en 1887.
L’auteur de cette affirmation était soucieux d’inviter le peuple à prendre en considération que se soumettre à un roi, à un empereur ou même à un président… c’est finalement encore et toujours se considérer sous la tyrannie d’un dieu, comme le minable mouton au milieu du troupeau et se plaire à être parmi les assistés et les esclaves dociles, ces prisonniers de leur propre impuissance à penser et agir par eux-mêmes… La « démocratie est peut-être la pire des dictatures, puisque nous désignons nos propres tyrans qui peuvent par ce fait légitimement nous assujettir !
Et quelque cent ans plus tard, COLUCHE confirmait les propos du Léopard du Panthéon en plaisant à nous dire que :
L’auteur de cette affirmation était soucieux d’inviter le peuple à prendre en considération que se soumettre à un roi, à un empereur ou même à un président… c’est finalement encore et toujours se considérer sous la tyrannie d’un dieu, comme le minable mouton au milieu du troupeau et se plaire à être parmi les assistés et les esclaves dociles, ces prisonniers de leur propre impuissance à penser et agir par eux-mêmes… La « démocratie est peut-être la pire des dictatures, puisque nous désignons nos propres tyrans qui peuvent par ce fait légitimement nous assujettir !
Et quelque cent ans plus tard, COLUCHE confirmait les propos du Léopard du Panthéon en plaisant à nous dire que :
« Si
voter servait à quelque chose,
Il y a longtemps que ce serait interdit ».
Les sous-hommes sont-ils parmi nous ?
Il y a longtemps que ce serait interdit ».
Les sous-hommes sont-ils parmi nous ?
Allez voter — votez bien — puisque la société se targue à vous dire
qu'elle est démocratique ! Mais surtout… votez pour vous-même, car seule
votre voix mérite d'être écoutée !
Si vous votez pour un autre que vous, c’est votre liberté que vous offrez à quelqu’un qui saura en abuser !
Beaucoup de « bipèdes » sont finalement toujours en quête de fruits… sur l’arbre de l’autre…
Pierre GRIPARI dans son roman post-historique (commis par un de ses très très lointains descendants, dans environ 16.000 ans !) : « La vie, la mort et la résurrection de Socrate-Marie Gripotard », nous conforte tout d’abord — à travers un texte fort bien écrit — avec l'idée qu'il est ridicule de se croire l’historien d’un jour et de toujours.
Il se moque avec art des experts en tous genres, spécialistes de telle ou telle époque plus ou moins récente… Il fustige le journalisme de masse, et leurs esclaves, troupeaux de petits écrivailleurs — comme Yanick PHILIPPONNAT de « Midi Libre » — ces médiocres sûrs d'eux-mêmes, attachés et traînés en laisse par les pouvoirs politique et religieux.
Pierre GRIPARI nous offre avec « La vie, la mort et la résurrection de Socrate-Marie Gripotard », un hymne en requiem à tous ces pseudo-philosophes passionnés de « romanquêtes à la sauce BHL », ou autres histoires très vraies d’un Songe d’une nuit d’été, persuadés de leur bonne foi puisqu’ils les ont inventées… et que — surtout — les témoins oculaires sont bien morts, mis au silence ou simplement grassement achetés !
Ah, « l’Histoire officielle » est celle qui doit être imposée aux sujets… Monsieur Adolphe THIERS reste à ce jour le plus digne héritier de l’infâme CICERON… mais personne n’a osé — pour THIERS — comme cela fut fait pour son prédécesseur, lui couper les mains, et la tête… de son vivant…
C’eût été lui rendre « justice ».
Merci à Boris VIAN, un grand pirate des mots, pour cette annonce grandiose — explicative — présentant « L’Écume des jours » :
Si vous votez pour un autre que vous, c’est votre liberté que vous offrez à quelqu’un qui saura en abuser !
Beaucoup de « bipèdes » sont finalement toujours en quête de fruits… sur l’arbre de l’autre…
Pierre GRIPARI dans son roman post-historique (commis par un de ses très très lointains descendants, dans environ 16.000 ans !) : « La vie, la mort et la résurrection de Socrate-Marie Gripotard », nous conforte tout d’abord — à travers un texte fort bien écrit — avec l'idée qu'il est ridicule de se croire l’historien d’un jour et de toujours.
Il se moque avec art des experts en tous genres, spécialistes de telle ou telle époque plus ou moins récente… Il fustige le journalisme de masse, et leurs esclaves, troupeaux de petits écrivailleurs — comme Yanick PHILIPPONNAT de « Midi Libre » — ces médiocres sûrs d'eux-mêmes, attachés et traînés en laisse par les pouvoirs politique et religieux.
Pierre GRIPARI nous offre avec « La vie, la mort et la résurrection de Socrate-Marie Gripotard », un hymne en requiem à tous ces pseudo-philosophes passionnés de « romanquêtes à la sauce BHL », ou autres histoires très vraies d’un Songe d’une nuit d’été, persuadés de leur bonne foi puisqu’ils les ont inventées… et que — surtout — les témoins oculaires sont bien morts, mis au silence ou simplement grassement achetés !
Ah, « l’Histoire officielle » est celle qui doit être imposée aux sujets… Monsieur Adolphe THIERS reste à ce jour le plus digne héritier de l’infâme CICERON… mais personne n’a osé — pour THIERS — comme cela fut fait pour son prédécesseur, lui couper les mains, et la tête… de son vivant…
C’eût été lui rendre « justice ».
Merci à Boris VIAN, un grand pirate des mots, pour cette annonce grandiose — explicative — présentant « L’Écume des jours » :
« Cette histoire est entièrement vraie,
Puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre ».
Puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre ».
Ce roman du futur, dévoilé par Pierre GRIPARI révèle aussi l’achèvement
probable du genre humain… des « sous-hommes » plutôt… si nous sommes
tentés de devenir autre que ce que nous sommes !
Si le Conseil Constitutionnel avait en 2012, validé le texte promotionné pour la gloire de la République, par Madame le député Valérie BOYER, sur — nous pourrions dire — le délit de « discuter d’un génocide ou autre fratricide au nom d’un père ou d'un dieu », ce livre du futur aurait peut-être été condamné !
La censure sévit toujours, l’autocensure se propage sournoisement et les États-Unis d’Amérique ont aussi leur « Charia chrétienne » en imposant la Bible sur laquelle il faut jurer comme référence à la vérité politique et judiciaire… et financière, puisque sur la monnaie américaine — par une loi votée par le Congrès en 1956 — il y a noté « In God We Trust » c’est à dire, « en Dieu nous croyons ».
Si le Conseil Constitutionnel avait en 2012, validé le texte promotionné pour la gloire de la République, par Madame le député Valérie BOYER, sur — nous pourrions dire — le délit de « discuter d’un génocide ou autre fratricide au nom d’un père ou d'un dieu », ce livre du futur aurait peut-être été condamné !
La censure sévit toujours, l’autocensure se propage sournoisement et les États-Unis d’Amérique ont aussi leur « Charia chrétienne » en imposant la Bible sur laquelle il faut jurer comme référence à la vérité politique et judiciaire… et financière, puisque sur la monnaie américaine — par une loi votée par le Congrès en 1956 — il y a noté « In God We Trust » c’est à dire, « en Dieu nous croyons ».
« Deviens ce que tu es » !
Le célèbre propos attribué à PINDARE par Friedrich NIETZSCHE ne veut
pas dire selon quelques assurances freudiennes, qu’il est juste et bon de tuer le père !
« Deviens ce que tu es » n’invite pas nécessairement non plus à la recherche du surhomme, figure emblématique d’un nouveau dieu… mais cette « devise » proposerait plutôt une introspection par l’écoute et la rencontre, afin d'aider chacun à s'harmoniser, corps, cœur, esprit, et à révéler l’ensemble des pièces du puzzle qui nous constitue depuis la nuit des temps…
C’est bien « l’analyse de l’amour humain » qui se dévoile dans cette citation !
La philanalyse encore s’annonce !
« Deviens ce que tu es » n’invite pas nécessairement non plus à la recherche du surhomme, figure emblématique d’un nouveau dieu… mais cette « devise » proposerait plutôt une introspection par l’écoute et la rencontre, afin d'aider chacun à s'harmoniser, corps, cœur, esprit, et à révéler l’ensemble des pièces du puzzle qui nous constitue depuis la nuit des temps…
C’est bien « l’analyse de l’amour humain » qui se dévoile dans cette citation !
La philanalyse encore s’annonce !
Découvrons la suite d'un clic,
Vers la page 5 :
D'où venons-nous ?
Qui sommes-nous ?
La philanalyse encore s’annonce !
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D'où venons-nous ?
Qui sommes-nous ?
La philanalyse encore s’annonce !
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Par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, philanalyste et pirate des mots. Tous droits réservés ©.
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville