Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Quatrième chapitre
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Quatrième chapitre
L’humain,
un être ternaire ?
« Corps-cœur-esprit »
PLATON considère l’humain comme un
être ternaire. Il le compare au citoyen vivant dans la Cité.
Nous avons un corps (qui nous travaille plutôt).
Nous avons un esprit (qui tente au mieux de diriger).
Et il y a le cœur (qui s’adonne bien souvent au combat).
Pour introduire le sujet :
Hommes et femmes se développent selon des cycles définis différents.
HIPPOCRATE l’expliquait déjà voici plus de 2.500 ans et ARISTOTE a repris pour lui ses données (sans nécessairement le citer, car c’est une grande tradition humaine que d’oublier ses magistères et ses sources).
La « moyenne » de sept années terrestres pour un cycle est plutôt bien assimilée… mais c’est en fait plutôt exact pour le cycle de l’homme !
La femme, elle, est dans un système plus « lunaire » qui la situe dans un cycle d’environ cinq années deux-tiers.
En bref, la femme est jusque 23 à 28 ans en construction et en épanouissement du corps.
L’homme, lui, se construira physiquement jusque 28 à 35 ans.
Pendant cet espace-temps, c’est le corps qui est majoritairement actif dans notre vie harmonieuse. En suite, le cœur prend davantage son essor.
Le cœur commence à nous guider, vers 28 ans pour la femme, et vers 35 ans pour l’homme (âge où l’on peut alors se présenter au monde et parler enfin d’égal à égal à la « mère » comme au « père »). Ce temps se poursuivra jusqu’à l’âge environ de 60 ans pour la femme et plutôt 70 ans pour l’homme où le cœur va se forger et prendre ses responsabilités dans la vie harmonieuse de l’humain.
Enfin, pour les plus vigoureux, viendra le temps où se développe la sagesse avec la plénitude de l’esprit si le cœur le veut bien et surtout si le corps n’a pas trop été affecté par une alimentation toxique, des frustrations certaines et une pollution catastrophique.
Développons…
Nous avons un corps (qui nous travaille plutôt).
Nous avons un esprit (qui tente au mieux de diriger).
Et il y a le cœur (qui s’adonne bien souvent au combat).
Pour introduire le sujet :
Hommes et femmes se développent selon des cycles définis différents.
HIPPOCRATE l’expliquait déjà voici plus de 2.500 ans et ARISTOTE a repris pour lui ses données (sans nécessairement le citer, car c’est une grande tradition humaine que d’oublier ses magistères et ses sources).
La « moyenne » de sept années terrestres pour un cycle est plutôt bien assimilée… mais c’est en fait plutôt exact pour le cycle de l’homme !
La femme, elle, est dans un système plus « lunaire » qui la situe dans un cycle d’environ cinq années deux-tiers.
En bref, la femme est jusque 23 à 28 ans en construction et en épanouissement du corps.
L’homme, lui, se construira physiquement jusque 28 à 35 ans.
Pendant cet espace-temps, c’est le corps qui est majoritairement actif dans notre vie harmonieuse. En suite, le cœur prend davantage son essor.
Le cœur commence à nous guider, vers 28 ans pour la femme, et vers 35 ans pour l’homme (âge où l’on peut alors se présenter au monde et parler enfin d’égal à égal à la « mère » comme au « père »). Ce temps se poursuivra jusqu’à l’âge environ de 60 ans pour la femme et plutôt 70 ans pour l’homme où le cœur va se forger et prendre ses responsabilités dans la vie harmonieuse de l’humain.
Enfin, pour les plus vigoureux, viendra le temps où se développe la sagesse avec la plénitude de l’esprit si le cœur le veut bien et surtout si le corps n’a pas trop été affecté par une alimentation toxique, des frustrations certaines et une pollution catastrophique.
Développons…
1. La
place du corps (les pulsions).
Commençons par « la femme »,
sachant que c’est « un homme » qui écrit cette étude…
Mes propos n’auront donc jamais la précision ni l’exactitude d’une femme parlant d’elle-même et des autres femmes.
Dès sa naissance, l’être féminin est porteur de toute sa raison d’être et la conservera jusqu’à la mort. Le cycle de vingt-huit jours rythme sa vie avec des phases bien définies : création de la matrice, développement, ovulation, dépression et destruction de la matrice. Il faut y ajouter les saisons, l’ensoleillement, et aussi les périodes successives d’environ cinq années deux-tiers qui donnent un espace particulier à la gestion de ce corps. Avec ce raccourci rapide de mes travaux, je puis déjà dire que le corps de la femme est en besoin du corps de l’homme pour être fécondé l’espace du temps de l’ovulation, c’est-à-dire trois ou quatre jours par période de vingt-huit jours. Il y a souvent une baisse réelle l’hiver… et davantage de désir s’il y a du soleil comme lorsque la personne est féconde. Les mâles humains ont « de la chance » parce que chez d’autres animaux comme notamment les éléphants, le temps de l’accouplement se limite à deux ou trois jours… par an !
Lors de l’ovulation, l’être féminin développe instinctivement tout ce qui est en son pouvoir pour séduire le mâle, dans la nécessité d’être fécondée. La société cependant oublie que l’homme est un animal qui agit beaucoup plus avec son sexe plutôt qu’avec sa tête et beaucoup de femmes, adultes ou enfants, se font violer lors de cette période de « chasse »… En effet, la raison n’est pas maîtresse du corps et le mâle réfléchit trop peu sur son état social.
Pour « l’homme », en tant qu’organe de reproduction à lui tout seul (sa raison d’être originelle selon PLATON, dans « Le Banquet »), il est en phase disponible toutes les deux heures environ, tous les jours de sa vie s’il prend bien soin de lui. Il est aussi influencé par les saisons et la chaleur, son alimentation et les périodes successives d’environ sept années où l’être se construit. Les quatre-cinq premières (jusqu’à 28-35 ans) sont privilégiées pour le corps. Il reste souvent à ce stade primaire, même au-delà…
Hors besoin reproductif, l’homme a naturellement besoin de libérer son énergie sexuelle. Si le cœur et la raison ne sont pas présents, à tout moment il risque, par instinct animal dominant, de faire n’importe quoi.
Mes propos n’auront donc jamais la précision ni l’exactitude d’une femme parlant d’elle-même et des autres femmes.
Dès sa naissance, l’être féminin est porteur de toute sa raison d’être et la conservera jusqu’à la mort. Le cycle de vingt-huit jours rythme sa vie avec des phases bien définies : création de la matrice, développement, ovulation, dépression et destruction de la matrice. Il faut y ajouter les saisons, l’ensoleillement, et aussi les périodes successives d’environ cinq années deux-tiers qui donnent un espace particulier à la gestion de ce corps. Avec ce raccourci rapide de mes travaux, je puis déjà dire que le corps de la femme est en besoin du corps de l’homme pour être fécondé l’espace du temps de l’ovulation, c’est-à-dire trois ou quatre jours par période de vingt-huit jours. Il y a souvent une baisse réelle l’hiver… et davantage de désir s’il y a du soleil comme lorsque la personne est féconde. Les mâles humains ont « de la chance » parce que chez d’autres animaux comme notamment les éléphants, le temps de l’accouplement se limite à deux ou trois jours… par an !
Lors de l’ovulation, l’être féminin développe instinctivement tout ce qui est en son pouvoir pour séduire le mâle, dans la nécessité d’être fécondée. La société cependant oublie que l’homme est un animal qui agit beaucoup plus avec son sexe plutôt qu’avec sa tête et beaucoup de femmes, adultes ou enfants, se font violer lors de cette période de « chasse »… En effet, la raison n’est pas maîtresse du corps et le mâle réfléchit trop peu sur son état social.
Pour « l’homme », en tant qu’organe de reproduction à lui tout seul (sa raison d’être originelle selon PLATON, dans « Le Banquet »), il est en phase disponible toutes les deux heures environ, tous les jours de sa vie s’il prend bien soin de lui. Il est aussi influencé par les saisons et la chaleur, son alimentation et les périodes successives d’environ sept années où l’être se construit. Les quatre-cinq premières (jusqu’à 28-35 ans) sont privilégiées pour le corps. Il reste souvent à ce stade primaire, même au-delà…
Hors besoin reproductif, l’homme a naturellement besoin de libérer son énergie sexuelle. Si le cœur et la raison ne sont pas présents, à tout moment il risque, par instinct animal dominant, de faire n’importe quoi.
2. La
place du cœur (l’affect).
Pour la sexualité, cette « zone
du combat », est aussi le lieu de l’amour : un espace-clé qui permet
aux êtres de se rencontrer et parfois aux corps de se trouver, de se retrouver.
La femme surtout va savoir créer le besoin physique de l’autre hors nécessité
de fécondation, hors besoin animal. L’union peut alors se vivre de nature
homophile ou hétérophile. Il n’y a plus d’espace-temps associé au désir de
l’autre. Cette place est très délicate à contrôler puisque la raison (phase
suivante) n’entre pas directement en jeu et ne s’associe donc pas toujours avec
la ou le partenaire… C’est le risque de la rencontre hors des règles raisonnées
de la société : les amours entre personnes d’âges, de milieux, de
religions ou de mondes différents… Dans ces possibilités de relations multiples
et complexes, Antoine de SAINT-EXUPÉRY l’affirme : « l’on voit bien avec le cœur » !
De même nous pourrions dire que l’on entend bien, que l’on ressent bien avec le
cœur.
Pour la femme, donner une place au cœur, c’est se libérer de toutes les formes de culpabilité et surtout du sens du sacrifice : l’obstacle majeur à sa liberté d’aimer. Elle peut alors vivre les trois phases du désir en plénitude, en ayant une sexualité personnelle et relationnelle hors besoin de reproduction, avec des hommes ou des femmes et sans devoir se soucier des exigences d’un mâle, des mâles…
Les obligations et les interdits sociaux n’existent pas dans cette sexualité du cœur.
Chez l’humain, lorsqu’il parvient à ouvrir une réelle place au cœur, il découvre en lui une nouvelle capacité à aimer : il comprend que toute sa vie est construite sur un besoin de donner, de jaillir de soi pour exister afin de faire naître sa capacité à recevoir. Il peut alors vivre hors du besoin de se comparer et de combattre l’autre pour se croire le meilleur et séduire, illusion de son être.
C’est la libération des frustrations œdipiennes : plus besoin de vouloir être le père de son père pour conquérir sa mère ou de s’efforcer à séduire le père en déconsidérant la mère, pour espérer des privilèges !
Oui, l’humain au cœur libre se plaît le plus souvent à devenir simplement le meilleur de lui-même. Le jaillissement de l’être dépasse aussi le besoin de procréer pour atteindre la création. Il peut alors vivre une sexualité personnelle et relationnelle heureuse… Il est en mesure de prendre un réel plaisir à donner du plaisir sans s’obliger à une jouissance pulsionnelle… compulsive et souvent destructrice.
Pour la femme, donner une place au cœur, c’est se libérer de toutes les formes de culpabilité et surtout du sens du sacrifice : l’obstacle majeur à sa liberté d’aimer. Elle peut alors vivre les trois phases du désir en plénitude, en ayant une sexualité personnelle et relationnelle hors besoin de reproduction, avec des hommes ou des femmes et sans devoir se soucier des exigences d’un mâle, des mâles…
Les obligations et les interdits sociaux n’existent pas dans cette sexualité du cœur.
Chez l’humain, lorsqu’il parvient à ouvrir une réelle place au cœur, il découvre en lui une nouvelle capacité à aimer : il comprend que toute sa vie est construite sur un besoin de donner, de jaillir de soi pour exister afin de faire naître sa capacité à recevoir. Il peut alors vivre hors du besoin de se comparer et de combattre l’autre pour se croire le meilleur et séduire, illusion de son être.
C’est la libération des frustrations œdipiennes : plus besoin de vouloir être le père de son père pour conquérir sa mère ou de s’efforcer à séduire le père en déconsidérant la mère, pour espérer des privilèges !
Oui, l’humain au cœur libre se plaît le plus souvent à devenir simplement le meilleur de lui-même. Le jaillissement de l’être dépasse aussi le besoin de procréer pour atteindre la création. Il peut alors vivre une sexualité personnelle et relationnelle heureuse… Il est en mesure de prendre un réel plaisir à donner du plaisir sans s’obliger à une jouissance pulsionnelle… compulsive et souvent destructrice.
3. La
place de l’esprit (la raison).
C’est l’espace qui est le plus
offert à la sexualité, contrairement à ce que nous pourrions croire. En effet,
dans une société, si nous laissons l’humain libre de vivre à corps et à cœur
perdus, toutes les structures sont en danger. La liberté reste réservée en premier
lieu à l’élite au pouvoir, qui se place naturellement au-dessus des règles.
Elle appartient aussi parfois à certains êtres libres, ces pirates qui prônent
le concept de Jean-Pierre CLARIS de FLORIAN qu’il est plaisant de rappeler :
« Pour
vivre heureux, vivons cachés…
Des gens qui ne peuvent pas ou ne veulent pas
Comprendre notre bonheur ».
Des gens qui ne peuvent pas ou ne veulent pas
Comprendre notre bonheur ».
« Penser » notre sexualité
c’est oser remettre en question les « dogmes » d’un système, ou s’y
assujettir au risque de survivre, voire de sousvivre, sans quête.
Les études très scientifiques du professeur KINSEY démontrent que l’humain — vis-à-vis de sa sexualité — passe son temps à se mentir, à tricher sur lui-même dans la crainte d’être considéré comme un monstre aux yeux des autres, en raison des hontes développées par « L’Ordre moral », ce dieu-père dont le regard est juge.
Finalement, tous les humains sont construits dans des mécanismes similaires et — de par l’éducation reçue — s’interdisent trop souvent de vivre ce que leur corps et leur cœur désirent.
Blaise PASCAL de MONS écrivait — avant que la maladie et la peur de l’enfer ne l’emportent à déraisonner — que « le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point », et surtout que celle ou celui « qui veut faire l’ange, fait la bête » !
La raison humaine doit s’inscrire dans une hiérarchie horizontale vis-à-vis du cœur et du corps. Si elle prédomine en apparence, tôt ou tard, il y aura révolution… et donc catastrophes lorsque le corps voudra prendre le pouvoir en se rendant malade, ou lorsque le cœur nous entraînera dans des combats désespérants… puisque :
Les études très scientifiques du professeur KINSEY démontrent que l’humain — vis-à-vis de sa sexualité — passe son temps à se mentir, à tricher sur lui-même dans la crainte d’être considéré comme un monstre aux yeux des autres, en raison des hontes développées par « L’Ordre moral », ce dieu-père dont le regard est juge.
Finalement, tous les humains sont construits dans des mécanismes similaires et — de par l’éducation reçue — s’interdisent trop souvent de vivre ce que leur corps et leur cœur désirent.
Blaise PASCAL de MONS écrivait — avant que la maladie et la peur de l’enfer ne l’emportent à déraisonner — que « le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point », et surtout que celle ou celui « qui veut faire l’ange, fait la bête » !
La raison humaine doit s’inscrire dans une hiérarchie horizontale vis-à-vis du cœur et du corps. Si elle prédomine en apparence, tôt ou tard, il y aura révolution… et donc catastrophes lorsque le corps voudra prendre le pouvoir en se rendant malade, ou lorsque le cœur nous entraînera dans des combats désespérants… puisque :
« Combattre
est toujours une défaite » !
L’évolution, c’est une harmonie où
nous prenons conscience de notre extraordinaire raison d’être : une espèce
animale dotée d’un mécanisme ternaire original qui nous permet de vivre heureux
dans une nature qu’il ne faut pas tenter de dominer mais que nous devons
apprendre à apprivoiser au mieux !
Nous serions à même alors d’entrer dans une rencontre humaine anarchique, dans le sens étymologique de ce mot « anarchie » qui angoisse les tyrans, autant que le mot « pirate » !
Alfred Elton van VOGT nous en offre une épopée réussie dans le Cycle du Monde des Ā.
L’anarchie est une harmonie sociale où personne n’abuse d’un pouvoir sur quiconque… une société où chacun est reconnu pour ses valeurs, ses compétences, ses talents mis au service de chacun.
L’anarchie ne prône surtout pas « l’égalité » qui reste un terme illusoire, vain, mensonger et dangereux… car l’anarchie préfère « l’équité », dans le respect et la considération des différences.
L’anarchie invite à la recherche de la connaissance pour faciliter « le vivre ensemble » dans l’amour, sans que quiconque puisse s’imposer par la peur, l’orgueil, l’envie, la jalousie ou la haine…
Il n’y a pas de désir de pouvoir, de domination.
Il n’y a pas de crainte d’enfermement ou de perte de liberté !
Il n’y a pas l’angoisse de la « propriété privée » à protéger des voleurs, dans une vision anarchique de la rencontre humaine. En effet, puisque chacun se plaît à considérer l’usage d’un bien, en étant attentif à l’offre et à la demande — en fonction des besoins respectifs — tous veillent à ce que tout se passe pour le mieux.
Nous serions à même alors d’entrer dans une rencontre humaine anarchique, dans le sens étymologique de ce mot « anarchie » qui angoisse les tyrans, autant que le mot « pirate » !
Alfred Elton van VOGT nous en offre une épopée réussie dans le Cycle du Monde des Ā.
L’anarchie est une harmonie sociale où personne n’abuse d’un pouvoir sur quiconque… une société où chacun est reconnu pour ses valeurs, ses compétences, ses talents mis au service de chacun.
L’anarchie ne prône surtout pas « l’égalité » qui reste un terme illusoire, vain, mensonger et dangereux… car l’anarchie préfère « l’équité », dans le respect et la considération des différences.
L’anarchie invite à la recherche de la connaissance pour faciliter « le vivre ensemble » dans l’amour, sans que quiconque puisse s’imposer par la peur, l’orgueil, l’envie, la jalousie ou la haine…
Il n’y a pas de désir de pouvoir, de domination.
Il n’y a pas de crainte d’enfermement ou de perte de liberté !
Il n’y a pas l’angoisse de la « propriété privée » à protéger des voleurs, dans une vision anarchique de la rencontre humaine. En effet, puisque chacun se plaît à considérer l’usage d’un bien, en étant attentif à l’offre et à la demande — en fonction des besoins respectifs — tous veillent à ce que tout se passe pour le mieux.
Pour
le plaisir de chacun !
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Amours & Sexualité, une création originale par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe, tous droits réservés ©…