Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Préface de l'auteur.
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Préface de l'auteur.
PRÉFACE
Présentation de l’essai et de son
auteur :
On peut très bien s’épargner la lecture de ces premières pages,
sans souci, pour apprécier néanmoins l’étude qui suivra !
sans souci, pour apprécier néanmoins l’étude qui suivra !
Nous aurions pu
chercher d’autres mots que « amours » et «sexualité».
S’ils sont encore un peu accrocheurs, ils sont si banalisés que tout travail sérieux se perd dans la masse du consommable…
Nous sommes des êtres de rencontres, de communications. Les copistes et les traducteurs officiels nous ont rapporté d’ARISTOTE qu’il considérait l’homme comme un « animal politique » : un {zoon politicon}. Nous existerions selon lui par notre besoin de la relation à l’autre.
Robinson CRUSOÉ, sur son île, découvre le danger de perdre son humanité dans la solitude imposée : l’esseulement. Et si Daniel DEFOE ne fait que le laisser supposer, Michel TOURNIER — spécialiste des reprises d’idées avec un talent réel — nous l’écrit de manière explicite : dans la relation humaine, il y a la sexualité !
Une question s’impose alors à mes sens :
Dans la rencontre humaine, y a-t-il de l’amour ?
La sexualité est partout. Tous les médias et la publicité nous en gavent et cependant nous n’en parlons jamais librement.
Tout serait sexe, d’après Sigmund FREUD ?
Tout est plutôt frustrations sexuelles… ou mensonges… et bien souvent hélas : blessures, violences, voire massacres.
Tout cela en raison de beaucoup de tricheries bien entretenues par le système, par la société !
Ne croyez jamais totalement ce que l’on vous raconte… Ce n’est pas nécessairement « vrai » pour vous !
Si nous nous ressemblons tous… plus ou moins… chaque être est unique.
Aussi, ce que je vous écris dans cet essai se veut bien entendu faux, à la première lecture, puisque tout vient de moi.
Recevez donc mes propos en liberté — sans gravité — et traduisez pour vous-mêmes, mes dires : tout ce que nous entendons ou lisons devrait certainement être un peu plus analysé et réapproprié.
Comment par exemple, se satisfaire de tous ces sondages réalisés par appels téléphoniques, sur des échantillons dits « représentatifs » ?
Comment suivre des idées qui sont si souvent construites dans un dessein purement commercial ?
Faut-il respecter à la lettre, « au mot », les préceptes politiques et religieux fondés, au fil des siècles, par des personnes qui étaient au-dessus des lois promulguées pour tenir tous les peuples en esclavage par l’ignorance, la peur et la honte ?
Les sociétés et leurs tyrans tentent toujours de nous faire ingérer du « pré-compris ».
Réfléchissons, interrogeons-nous, étudions, et… peut-être… comprendrons-nous un jour ?
Voici une invitation pour vous aider à oser poser des questions… plutôt que de croire aveuglément : apprendre, sous un autre regard.
Mes propos sont le fruit de près de trente années de recherches passionnées qui se poursuivent chaque jour pour mon plaisir, dans la découverte de l’humain.
Et plus particulièrement dans la quête de « l’amour humain ».
Mes références sont trop nombreuses pour les offrir toutes ici puisque je m’intéresse à tout… que je suis à l’écoute et curieux de tout !
Vous les retrouverez à travers mes autres écrits, notamment dans le Cycle de l’Austrel, en petites notes détaillées et commentées.
Un grand merci encore à celles et ceux qui m’ont aidé depuis si longtemps, que ce soit volontairement ou même sans le savoir.
Cependant, je dois vous dire que mes travaux furent enrichis par l’étude d’un grand nombre de pages de Michel FOUCAULD, et d’autres documents et livres prisonniers d’un enfer, cachés dans une bibliothèque privée parisienne, sous domination et protection de l’Ordre des Frères Prêcheurs, les dominicains… des religieux qui aiment les livres, au risque parfois d’être en contradiction avec leur dieu !
C’est une gageure que de tenter en quelques chapitres de vous résumer tant d’années de recherches. Merci d’être bienveillants face aux raccourcis parfois nécessaires. Je serai, bien entendu, attentif à vos critiques constructives, et j’ai encore — j’espère — quelque quarante ans pour poursuivre au mieux mon travail et vous l’offrir dans d’autres éditions complétées.
Puisque nous allons parler ensemble de la relation humaine, je désire me présenter sommairement.
En bon généalogiste, tout d’abord il me faut vous dire que je suis, de par mon ADN :
— Un minéral, (mon lien à la Terre, et au cosmos). Je retournerai certainement à la terre un jour, à la poussière… car il me semble vrai ce que dit Antoine Laurent de LAVOISIER, revisitant ANAXAGORE: « rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme ».
— Une base végétale, (mon lien à la nature). C’est pour cela que je suis influencé par la lumière du soleil, les fluctuations de températures, les saisons, mon alimentation, le bruit et les odeurs…
— Un animal (un être animé). Mon attache avec les autres « races » ne doit pas être oubliée. J’ai en mes gènes le souci de survivre, de me reproduire… et de continuer mon évolution tout en protégeant mon clan.
Les animaux entre eux ne semblent pas se prendre la tête pour bien vivre leur relationnel qui est essentiellement fondé sur la sexualité reproductrice… à l'exception peut-être de la mante religieuse : elle arrache sans état d’âme, quand elle le peut, la tête du mâle pour mieux s’accoupler…
Aujourd’hui, me voici le fruit d’un nombre incommensurable de connections depuis la naissance de la vie sur Terre, afin de tenter de perpétuer l’espèce plutôt dominante à laquelle j’appartiens.
Je suis par ce fait une série de demi-mémoires vivantes qui ont soif de s’accroître.
Plus précisément, en tant qu’être humain sur cette petite planète, j’approche des 50 ans.
Mes études sont surtout humanistes avec un suivi universitaire en philosophie et en théologie. Puis c’est un grand travail de recherches en sexologie, sur la question de la famille généalogique et sociétale, sur les mécanismes du couple et de la fratrie…
Une formation extraordinaire auprès de magisters — des soleils — qui ont jalonné mon existence, et l’apprentissage se poursuit avec certaines et certains, qui veillent encore auprès de moi.
Mon « éducation » s’accroît chaque jour en fonction de mes rencontres et de mes lectures, de mes actes posés.
J’ai entrepris un travail analytique assez jeune : à 19 ans. J’aurais aimé cependant le commencer beaucoup plus tôt, car ma vie adolescente aurait été plus passionnante encore ! Cette analyse ne s’achèvera qu’avec ma mort, puisque son rôle dans ma profession, est de me permettre d’écouter l’autre sans que mes propres problèmes, passés, présents et à venir ne fassent trop d’interférences avec les blessures d’un patient. Aujourd’hui il n’est pas encore obligatoire pour un psychiatre ou pour un psychologue, ou même pour un médecin dit « de famille », d’avoir été en analyse pour exercer sa profession. Cependant, l’on remarque que beaucoup de thérapeutes, en toute humilité, commencent à prendre conscience de l’importance d’être en harmonie avec soi-même pour tenter d’aider l’autre. Combien de « médecins malades » nous « soignent », écrirait aujourd’hui Monsieur de MOLIÈRE ?
C’est une quête d’harmonie qui m’a conduit à mettre à jour le mot « philanalyse ». Il a pris naissance. Il ne m’appartient pas. C’est un des fruits de mes travaux en cours depuis plus de vingt-cinq ans. Sa définition la plus exacte serait : « l’analyse de l’amour humain ».
C’est un autre regard sur la vie au quotidien dans nos pensées et nos actes.
Le corps humain est fortement malmené par les sociétés actuelles.
« Femme objet consommable » et « homme demi-dieu inconnu »… qui s’ennuient !
Qui sommes-nous finalement ?
Nous souffrons d’une réelle absence de sincérité dans la « rencontre humaine »…
« L’amour humain » est terriblement handicapé en raison de la surconsommation imposée par un matraquage de surinformations médiatiques, particulièrement de nos jours, télévisuel et issu du web.
Tout est triché sur le principe de la propagande et l’étalage de certitudes annoncées par des « spécialistes » et « experts » en tous genres, labellisés par les lobbies les plus divers : économiques, politiques ou religieux.
« Le bipède » — insupportable animal que nous sommes, selon Marguerite YOURCENAR — est en fait un « prisonnier volontaire », et il reçoit ces messages d’ombres projetées sur le mur de la Caverne… contre du pain et des jeux !
PLATON par ses propos socratiques, reste d’actualité : nous sommes encore et toujours des moutons sous la coupe du « bon berger », malgré la supplique du philosophe !
Cet ouvrage — davantage ouvert à la question, pour aider à désapprendre — propose à celles et ceux qui sont prêts, de se lever enfin pour aller chercher la lumière hors de la Caverne des vérités imposées.
Cet autre regard sur « l’amour et la sexualité » s’offre comme une ouverture apaisée sur les « rencontres humaines ».
C’est une quête de la mise en harmonie de notre corps avec la raison, grâce à la prise de conscience de notre cœur comme élément de lien, libéré des peurs, des contraintes imposées par des pouvoirs politiques, économiques et religieux, garants du « bien penser ».
Voici une étude sur les mécanismes humains afin de nous permettre le passage de l’état d'esclaves « binaires » — « aristotéliciens » — à celui extraordinaire de « non aristotéliciens » — d’humains libres — que je préfère nommer : les « individus à pluripossibilités » ou encore : les « Individus Hors Normalités ».
C’est une étude toujours active, commencée avec les précieux travaux d’Alfred Abdank KORZYBSKI : celui qui nous a introduit aux principes de la sémantique générale, et elle se poursuit grâce à tous les écrivains chercheurs du sens de la vie.
Ici, pas de censure et encore moins d’autocensure… afin que l’idée soit au mieux révélée par le mot.
Cet essai est écrit par un pirate des mots.
Le pirate est celui qui tente — avec intelligence et finesse — de rendre au plus faible ce qui lui a été volé avec ruse ou sous la contrainte de la peur et de la honte par les puissants du moment !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est un pirate qui lutte par tous temps, sur tous les océans, avec le grand plaisir d’aller à l’abordage des théories, morales et principes mentis et trichés des autorités politiques, financières et religieuses : celles qui imposent aux peuples de suivre le troupeau, comme des moutons dociles, pour toujours finir à l’abattoir !
Ce jeu de la vie a un risque : à oser déranger les tyrans qui veulent dominer le monde, le temps illusoire de leur courte vie… la tête d’un pirate est toujours mise à prix ! En effet, « le pirate est le pire personnage qu’une société puisse avoir » selon la définition de CICÉRON : rejetant l’idée d’être « le sujet » d’une quelconque majesté, le pirate s’intéresse en plus à « l’individu » !
S’ils sont encore un peu accrocheurs, ils sont si banalisés que tout travail sérieux se perd dans la masse du consommable…
Nous sommes des êtres de rencontres, de communications. Les copistes et les traducteurs officiels nous ont rapporté d’ARISTOTE qu’il considérait l’homme comme un « animal politique » : un {zoon politicon}. Nous existerions selon lui par notre besoin de la relation à l’autre.
Robinson CRUSOÉ, sur son île, découvre le danger de perdre son humanité dans la solitude imposée : l’esseulement. Et si Daniel DEFOE ne fait que le laisser supposer, Michel TOURNIER — spécialiste des reprises d’idées avec un talent réel — nous l’écrit de manière explicite : dans la relation humaine, il y a la sexualité !
Une question s’impose alors à mes sens :
Dans la rencontre humaine, y a-t-il de l’amour ?
La sexualité est partout. Tous les médias et la publicité nous en gavent et cependant nous n’en parlons jamais librement.
Tout serait sexe, d’après Sigmund FREUD ?
Tout est plutôt frustrations sexuelles… ou mensonges… et bien souvent hélas : blessures, violences, voire massacres.
Tout cela en raison de beaucoup de tricheries bien entretenues par le système, par la société !
Ne croyez jamais totalement ce que l’on vous raconte… Ce n’est pas nécessairement « vrai » pour vous !
Si nous nous ressemblons tous… plus ou moins… chaque être est unique.
Aussi, ce que je vous écris dans cet essai se veut bien entendu faux, à la première lecture, puisque tout vient de moi.
Recevez donc mes propos en liberté — sans gravité — et traduisez pour vous-mêmes, mes dires : tout ce que nous entendons ou lisons devrait certainement être un peu plus analysé et réapproprié.
Comment par exemple, se satisfaire de tous ces sondages réalisés par appels téléphoniques, sur des échantillons dits « représentatifs » ?
Comment suivre des idées qui sont si souvent construites dans un dessein purement commercial ?
Faut-il respecter à la lettre, « au mot », les préceptes politiques et religieux fondés, au fil des siècles, par des personnes qui étaient au-dessus des lois promulguées pour tenir tous les peuples en esclavage par l’ignorance, la peur et la honte ?
Les sociétés et leurs tyrans tentent toujours de nous faire ingérer du « pré-compris ».
Réfléchissons, interrogeons-nous, étudions, et… peut-être… comprendrons-nous un jour ?
Voici une invitation pour vous aider à oser poser des questions… plutôt que de croire aveuglément : apprendre, sous un autre regard.
Mes propos sont le fruit de près de trente années de recherches passionnées qui se poursuivent chaque jour pour mon plaisir, dans la découverte de l’humain.
Et plus particulièrement dans la quête de « l’amour humain ».
Mes références sont trop nombreuses pour les offrir toutes ici puisque je m’intéresse à tout… que je suis à l’écoute et curieux de tout !
Vous les retrouverez à travers mes autres écrits, notamment dans le Cycle de l’Austrel, en petites notes détaillées et commentées.
Un grand merci encore à celles et ceux qui m’ont aidé depuis si longtemps, que ce soit volontairement ou même sans le savoir.
Cependant, je dois vous dire que mes travaux furent enrichis par l’étude d’un grand nombre de pages de Michel FOUCAULD, et d’autres documents et livres prisonniers d’un enfer, cachés dans une bibliothèque privée parisienne, sous domination et protection de l’Ordre des Frères Prêcheurs, les dominicains… des religieux qui aiment les livres, au risque parfois d’être en contradiction avec leur dieu !
C’est une gageure que de tenter en quelques chapitres de vous résumer tant d’années de recherches. Merci d’être bienveillants face aux raccourcis parfois nécessaires. Je serai, bien entendu, attentif à vos critiques constructives, et j’ai encore — j’espère — quelque quarante ans pour poursuivre au mieux mon travail et vous l’offrir dans d’autres éditions complétées.
Puisque nous allons parler ensemble de la relation humaine, je désire me présenter sommairement.
En bon généalogiste, tout d’abord il me faut vous dire que je suis, de par mon ADN :
— Un minéral, (mon lien à la Terre, et au cosmos). Je retournerai certainement à la terre un jour, à la poussière… car il me semble vrai ce que dit Antoine Laurent de LAVOISIER, revisitant ANAXAGORE: « rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme ».
— Une base végétale, (mon lien à la nature). C’est pour cela que je suis influencé par la lumière du soleil, les fluctuations de températures, les saisons, mon alimentation, le bruit et les odeurs…
— Un animal (un être animé). Mon attache avec les autres « races » ne doit pas être oubliée. J’ai en mes gènes le souci de survivre, de me reproduire… et de continuer mon évolution tout en protégeant mon clan.
Les animaux entre eux ne semblent pas se prendre la tête pour bien vivre leur relationnel qui est essentiellement fondé sur la sexualité reproductrice… à l'exception peut-être de la mante religieuse : elle arrache sans état d’âme, quand elle le peut, la tête du mâle pour mieux s’accoupler…
Aujourd’hui, me voici le fruit d’un nombre incommensurable de connections depuis la naissance de la vie sur Terre, afin de tenter de perpétuer l’espèce plutôt dominante à laquelle j’appartiens.
Je suis par ce fait une série de demi-mémoires vivantes qui ont soif de s’accroître.
Plus précisément, en tant qu’être humain sur cette petite planète, j’approche des 50 ans.
Mes études sont surtout humanistes avec un suivi universitaire en philosophie et en théologie. Puis c’est un grand travail de recherches en sexologie, sur la question de la famille généalogique et sociétale, sur les mécanismes du couple et de la fratrie…
Une formation extraordinaire auprès de magisters — des soleils — qui ont jalonné mon existence, et l’apprentissage se poursuit avec certaines et certains, qui veillent encore auprès de moi.
Mon « éducation » s’accroît chaque jour en fonction de mes rencontres et de mes lectures, de mes actes posés.
J’ai entrepris un travail analytique assez jeune : à 19 ans. J’aurais aimé cependant le commencer beaucoup plus tôt, car ma vie adolescente aurait été plus passionnante encore ! Cette analyse ne s’achèvera qu’avec ma mort, puisque son rôle dans ma profession, est de me permettre d’écouter l’autre sans que mes propres problèmes, passés, présents et à venir ne fassent trop d’interférences avec les blessures d’un patient. Aujourd’hui il n’est pas encore obligatoire pour un psychiatre ou pour un psychologue, ou même pour un médecin dit « de famille », d’avoir été en analyse pour exercer sa profession. Cependant, l’on remarque que beaucoup de thérapeutes, en toute humilité, commencent à prendre conscience de l’importance d’être en harmonie avec soi-même pour tenter d’aider l’autre. Combien de « médecins malades » nous « soignent », écrirait aujourd’hui Monsieur de MOLIÈRE ?
C’est une quête d’harmonie qui m’a conduit à mettre à jour le mot « philanalyse ». Il a pris naissance. Il ne m’appartient pas. C’est un des fruits de mes travaux en cours depuis plus de vingt-cinq ans. Sa définition la plus exacte serait : « l’analyse de l’amour humain ».
C’est un autre regard sur la vie au quotidien dans nos pensées et nos actes.
Le corps humain est fortement malmené par les sociétés actuelles.
« Femme objet consommable » et « homme demi-dieu inconnu »… qui s’ennuient !
Qui sommes-nous finalement ?
Nous souffrons d’une réelle absence de sincérité dans la « rencontre humaine »…
« L’amour humain » est terriblement handicapé en raison de la surconsommation imposée par un matraquage de surinformations médiatiques, particulièrement de nos jours, télévisuel et issu du web.
Tout est triché sur le principe de la propagande et l’étalage de certitudes annoncées par des « spécialistes » et « experts » en tous genres, labellisés par les lobbies les plus divers : économiques, politiques ou religieux.
« Le bipède » — insupportable animal que nous sommes, selon Marguerite YOURCENAR — est en fait un « prisonnier volontaire », et il reçoit ces messages d’ombres projetées sur le mur de la Caverne… contre du pain et des jeux !
PLATON par ses propos socratiques, reste d’actualité : nous sommes encore et toujours des moutons sous la coupe du « bon berger », malgré la supplique du philosophe !
Cet ouvrage — davantage ouvert à la question, pour aider à désapprendre — propose à celles et ceux qui sont prêts, de se lever enfin pour aller chercher la lumière hors de la Caverne des vérités imposées.
Cet autre regard sur « l’amour et la sexualité » s’offre comme une ouverture apaisée sur les « rencontres humaines ».
C’est une quête de la mise en harmonie de notre corps avec la raison, grâce à la prise de conscience de notre cœur comme élément de lien, libéré des peurs, des contraintes imposées par des pouvoirs politiques, économiques et religieux, garants du « bien penser ».
Voici une étude sur les mécanismes humains afin de nous permettre le passage de l’état d'esclaves « binaires » — « aristotéliciens » — à celui extraordinaire de « non aristotéliciens » — d’humains libres — que je préfère nommer : les « individus à pluripossibilités » ou encore : les « Individus Hors Normalités ».
C’est une étude toujours active, commencée avec les précieux travaux d’Alfred Abdank KORZYBSKI : celui qui nous a introduit aux principes de la sémantique générale, et elle se poursuit grâce à tous les écrivains chercheurs du sens de la vie.
Ici, pas de censure et encore moins d’autocensure… afin que l’idée soit au mieux révélée par le mot.
Cet essai est écrit par un pirate des mots.
Le pirate est celui qui tente — avec intelligence et finesse — de rendre au plus faible ce qui lui a été volé avec ruse ou sous la contrainte de la peur et de la honte par les puissants du moment !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est un pirate qui lutte par tous temps, sur tous les océans, avec le grand plaisir d’aller à l’abordage des théories, morales et principes mentis et trichés des autorités politiques, financières et religieuses : celles qui imposent aux peuples de suivre le troupeau, comme des moutons dociles, pour toujours finir à l’abattoir !
Ce jeu de la vie a un risque : à oser déranger les tyrans qui veulent dominer le monde, le temps illusoire de leur courte vie… la tête d’un pirate est toujours mise à prix ! En effet, « le pirate est le pire personnage qu’une société puisse avoir » selon la définition de CICÉRON : rejetant l’idée d’être « le sujet » d’une quelconque majesté, le pirate s’intéresse en plus à « l’individu » !
« Oui je vais mourir, mais j’aurai vécu » !
Parfois malmené par
les médias — esclaves volontaires du système — et par tous ces autres moutons
devenus des « kapos » qui pensent qu’en plaisant aux
« maîtres », ils auront un sursis et une médaille en
chocolat… il se fait que je savoure encore et toujours davantage les propos de
Friedrich NIETZSCHE, légèrement revisités, suivant lesquels :
« Ceux qui ne nous tuent pas nous
rendent plus forts » !
Ce livre est donc dédié en particulier :
— Au Major 3G (gros, gras & graisseux) — sous-officier de gendarmerie proche de la retraite ou en prison — qui m’a arrêté un beau matin pour me faire découvrir les plaisirs de « la garde à vue sur 48 heures », et que j’ai surnommé Pol POT (en lien avec son nom et ses mœurs). Il représente à lui seul toutes les petites mains ensanglantées des causes justes… pour que la fourmilière s’active.
— Il est dédié aussi à la petite juge dépressive et ambitieuse, me rappelant Madame BOVARY — « celle qui voulait mourir et habiter Paris » — qui avait lu « saint LACAN » et « saint FREUD » dans « Valeurs Actuelles » et qui a réussi « tant bien que mal à ses yeux » à me faire condamner à verser une obole de plus à l’État, en attendant les réactions tardives de la Cour Européenne (il n’y a pas eu de partie civile à ce jour lors de tous mes procès) en bidouillant toujours « tant bien que mal » le chef d’accusation « d’escroc » : oui, je fus condamné pour avoir demandé parfois « davantage aux riches qu’aux pauvres » pour que soient honorées mes consultations… Elle aura — ce magistrat serviteur de la Nation — probablement un jour une médaille de plus à poser sur son cercueil pour son acte en bon accord avec ses supérieurs de la Chancellerie : il faut savoir que le devoir de me détruire par tous les moyens avait été demandé par les plus hautes autorités politiques. (Je m’explique dans mes nombreux sites et blogs où je conte étape par étape mes aventures épiques avec des petits vilains qui ont soif de pouvoirs suprêmes et que j’aime ridiculiser).
— Enfin — avec un accessit et une couronne pour justifier mon aversion pour les médias en général — cet essai est dédié aux « journalistes » spécialistes de brèves de prétoires, symbolisés par ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, l’homme qui n’a même pas vu l’homme qui disait avoir vu l’ours, et qui écrit comme tant d’autres dans des journaux de moins en moins lus (mais qui usent de la toile de l’Internet pour fixer leurs proses nauséeuses) ce qu’on lui demande de raconter pour tenter de massacrer l’honneur des humains (des vrais) qui dérangent… même au prix de propos mensongers : Hélas, ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même est de ces « journalistes » qui gribouillent sans talent, pour manger dans la main de leurs « grands frères » en politique… eux qui ont toujours très peur de manquer… de reconnaissance !
Merci à vous et merci aux autres médiocres et lâches qui avez fait de moi :
— Au Major 3G (gros, gras & graisseux) — sous-officier de gendarmerie proche de la retraite ou en prison — qui m’a arrêté un beau matin pour me faire découvrir les plaisirs de « la garde à vue sur 48 heures », et que j’ai surnommé Pol POT (en lien avec son nom et ses mœurs). Il représente à lui seul toutes les petites mains ensanglantées des causes justes… pour que la fourmilière s’active.
— Il est dédié aussi à la petite juge dépressive et ambitieuse, me rappelant Madame BOVARY — « celle qui voulait mourir et habiter Paris » — qui avait lu « saint LACAN » et « saint FREUD » dans « Valeurs Actuelles » et qui a réussi « tant bien que mal à ses yeux » à me faire condamner à verser une obole de plus à l’État, en attendant les réactions tardives de la Cour Européenne (il n’y a pas eu de partie civile à ce jour lors de tous mes procès) en bidouillant toujours « tant bien que mal » le chef d’accusation « d’escroc » : oui, je fus condamné pour avoir demandé parfois « davantage aux riches qu’aux pauvres » pour que soient honorées mes consultations… Elle aura — ce magistrat serviteur de la Nation — probablement un jour une médaille de plus à poser sur son cercueil pour son acte en bon accord avec ses supérieurs de la Chancellerie : il faut savoir que le devoir de me détruire par tous les moyens avait été demandé par les plus hautes autorités politiques. (Je m’explique dans mes nombreux sites et blogs où je conte étape par étape mes aventures épiques avec des petits vilains qui ont soif de pouvoirs suprêmes et que j’aime ridiculiser).
— Enfin — avec un accessit et une couronne pour justifier mon aversion pour les médias en général — cet essai est dédié aux « journalistes » spécialistes de brèves de prétoires, symbolisés par ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, l’homme qui n’a même pas vu l’homme qui disait avoir vu l’ours, et qui écrit comme tant d’autres dans des journaux de moins en moins lus (mais qui usent de la toile de l’Internet pour fixer leurs proses nauséeuses) ce qu’on lui demande de raconter pour tenter de massacrer l’honneur des humains (des vrais) qui dérangent… même au prix de propos mensongers : Hélas, ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même est de ces « journalistes » qui gribouillent sans talent, pour manger dans la main de leurs « grands frères » en politique… eux qui ont toujours très peur de manquer… de reconnaissance !
Merci à vous et merci aux autres médiocres et lâches qui avez fait de moi :
Un pirate accompli.
Ce livre n’est pas révolutionnaire :
Il est évolutionnaire !
Ce livre n’est pas révolutionnaire :
Il est évolutionnaire !
Vous aimez ?
Merci de partager !
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Amours & Sexualité, une création originale par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe, tous droits réservés ©…
Auteur: Yves Philippe de Francqueville