Mémoire d'un vivant par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste… à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… à la recherche de l'Amour Humain.
Scène première :
Présentation de l'auteur
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE…
Qui est-il ?
D’où vient ce nom à consonance noble, qui semble si loin des préoccupations du monde d’aujourd’hui où seul le pouvoir et la morale de l’argent prévalent sur toutes les valeurs humanistes ?
Pourquoi aussi d’ailleurs, l’usage qui pourrait être fort pédant à la « Bernard Henri » ou inquiétant à la « Lee Harvey » de ces deux prénoms… et notamment d'où vient cette étrange association unique en son genre de Yves et de Philippe ?
La presse, comme son entourage, amis ou parents ne savent pas vraiment comment le prénommer… et à quel titre serait-il juste de l’associer ?
Un titre ?
Que nenni !
Ni Maître ni Grand Maître, ni Docteur ni Professeur, ni Expert ni Président… ni Dieu… n’est-il… C’est monsieur qu’il se plaît à être… à devenir plutôt !
Oui, c'est monsieur Yves Philippe de FRANCQUEVILLE… comme a su le dire en son temps et à sa manière, le Sire de COUCY — 112 fois son ancêtre à ce jour (au 22 juin 2013) :
"Je ne suis roy, ne prince, ne comte aussy. Je suis le sire de COUCY".
Voilà ce qu'osa dire en son temps Enguerrand III le Grand, marié à Marie de MONTMIRAIL-en-BRIE, dame de Condé-en-Brie, au milieu du XIIIème siècle.
Cela fait un peu désordre ?
Poursuivons notre étude…
Voici peut-être — par l’exemple — une réflexion intéressante sur le sens de nos origines ? Elle est réalisée à partir de travaux de recherche approfondis et sans falsification, puisque non impliqués dans un besoin de rentabilité et de résultats imposés.
Le monde de la recherche…
Hélas, c’est la grande plaie du monde de la recherche, à notre époque bien plus proche qu’on ne le pense de celle des derniers Cahiers de Doléances. Oui, aujourd’hui encore, la politique étatique ne veut plus de chercheurs mais se satisfait uniquement de trouveurs… qu’ils soient voleurs, menteurs ou tricheurs, au risque d’entraîner dans leurs déviances liées à un principe de rentabilité, d’enrichissement personnel ou de gloire éphémère, de longues listes de malades, de guerres, de cadavres et de laissés pour compte !
Nous ne sommes pas loin de la réponse sans équivoque, lancée à Antoine Laurent de LAVOISIER demandant un sursis d'un jour ou deux à sa condamnation à mort, pour achever une expérience.
Cette répartie de Pierre-André COFFINHAL-DUBAIL — presque futur anobli mais tellement révolutionnaire ambitieux et arriviste qu’il ne savait pas vraiment quoi faire de plus utile pour atteindre les sommets de sa gloire politique entre médecine ou droit…
C’est comme « juge » qu’il excellera en ses propos désespérants de bêtise et de médiocrité intellectuelle.
Obtenir un diplôme (pas toujours avec honnêteté) et l’encadrer pour rassurer le chaland n’est pas nécessairement signe de compétence. Combien de médecins, de psychologues, de juges et de politiciens en tous genres ont galérés, trichés, falsifiés, achetés, mentis ou couchés… pour se glorifier aujourd'hui d'une place, d'un poste, d'une responsabilité sur le peuple qui donne sa confiance ? Le garagiste comme le boulanger ou l'analyste ne trompent pas longtemps… s'ils sont médiocres ! C'est la qualité de leur travail qui crée la bonne réputation… alors que beaucoup d'autres professions sont construites sur la peur et l'ignorance !
Une réponse lapidaire que l’on attribut aussi au Président de la Cour, René François DUMAS (rien à voir avec Alexandre — dont DUMAS est le pseudonyme conservé de son père — notre magnifique fils de général, de noble, de bâtard et de mulâtre… cet aristocrate de génie pour la littérature et l’histoire française dont nous reparlerons). Là, ce petit nobliau de province qui, fils de gendarme, choisira lui-même difficilement ses études pour progresser et réussir brillamment sa carrière politique. Oui, entre le médecin qui tyrannise par son pouvoir sur la mort ou le juge qui condamne par son pouvoir sur la vie, deux routes somme toutes plaisantes pour réussir en politique ! Elles sont parmi les choix des plus "grands" comme pour Che GUEVARA…
Mais qu’est-ce qui semblerait le plus rentable, entre Le Rouge et le Noir ? Aurait dit STENDHAL !
Pour régner sur un peuple, il y a quelques chemins privilégiés. Un tyran est toujours finalement agréé par ceux qui lui accorderont au juste prix les pleins pouvoirs, espérant récolter quelques ministères… ou autres privilèges.
Pas besoin nécessairement d’un coup d’état ou d’une révolution pour qu’une population — déjà soumise par les morales religieuses, les médias marionnettes du système et surtout son inertie aquoiboniste — se laisse asservir davantage. De bonnes élections démocratiques, avec une campagne sponsorisée par les frères d’armes, suffisent !
René François DUMAS sera finalement lui aussi magistrat : un des juges les plus sanguinaires de l’histoire, réputé pour son cynisme et sa cruauté comme nous rappelle Wikipédia.
On ne prête qu’aux riches ?
Tous seront, selon l’habitude de l’époque, guillotinés…
Aujourd’hui c’est généralement moins expéditif.
Les tyrans de tous bords, présidents ou autres, pour ceux qui ne sont pas fusillés, pendus ou accrochés à un croc de boucher, achèvent généralement leur vie en exil physique ou exilés dans leur tête par la dégénérescence cérébrale (Jacques CHIRAC par exemple a rejoint son ami Ronald REAGAN dans la liste de ceux qui ont perdu la tête après avoir été si prolixes à en faire tomber d’autres dans la spirale de leur désir de gloire… Et combien d’autres suivront, entre héros, salopards, médiocres ou géniaux ou tout cela à la fois).
Nombreux seront-ils à disparaître par l’esprit avant même d’avoir rejoint la terre et son silence, à cause de maladies dégénérescentes que notre société développe par la malbouffe, le stress d’une vie sans saveur… ou avec la pollution des usines à rentabilités extrêmes (qui rejettent notamment leurs poisons la nuit lorsque les études de surveillance sont effectuées le jour).
Lorsque le monde extérieur est hostile, le corps lui-même fini par n’en faire « qu’à sa tête » et déclenche alors des maladies dites « auto-immunes » que nous pourrions peut-être considérer comme un suicide organisé par le corps, trop en souffrance de ressentir l’esprit lamentable, et le cœur désespéré.
(Cette réflexion est extraite des travaux sur le sens de l’amour humain sous le regard de la philanalyse, "l'analyse de l'amour humain" selon la traduction des écrits de PLATON dans La Cité, visités sous un autre regard, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE).
Vers la
Scène seconde
Mémoires d'un vivant par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain ! Tous droits réservés ©.
Auteur : Yves Philippe de Francqueville