Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Scène troisième
Beaucoup se voyaient déjà…
en haut de l'affiche…
de l'art d'être médecin… psychiatre notamment ?
Sigmund FREUD, à son époque, su construire autour de lui une cour de fidèles qui n'ont droit qu'à la mort s'ils tentent de quitter le sérail. Peu ont résisté à l'influence de ce petit monsieur, et très peu ont survécu à des dissidences.Pour ne citer que le célèbre Sándor FERENCZY, cet "enfant terrible" de la psychanalyse, aux idées novatrices de qualité… mais massacré par ses pairs sous les ordres de Sigmund FREUD, qui ne pouvait imaginer d'autres réflexions que les siennes, sur le marché très juteux de la psychanalyse naissante !Il faut dire qu'il avait eu de bons exemples… notre cher Sigmund, comme son mentor (juste durant 4 mois), le docteur Jean Martin CHARCOT. Il est d'ailleurs encore guère possible de tenter une controverse sur ce médecin, tant la sommité mondaine et politique du personnage à verrouillé toutes les critiques pour peut-être encore fort longtemps. Il reste cependant dans la grande lignée des médecins fêlés à la Samuel Auguste TISSOT, ce grand obsédé de la lutte acharnée contre l’onanisme. Samuel Auguste TISSOT a laissé un grand nombre de vies brisées, et de cadavres, avec ses certitudes. Un "grand criminel de paix"…
Rappelons aussi les expériences sur cobayes humains autour de la métallothérapie qui atteindront des sommets de folie avec l'usage "bienfaisant du radium"…
Bon, reconnaissons le, cela a permis de progresser sur la connaissance des réactions du vivant face aux radiations… certaines sont constructrices !
Nos médecins chercheurs avaient à volonté des sujets utiles pour comprendre des mécanismes humains… comme en d'autres époques bien sombres où des praticiens diplômés trouvaient dans des camps de prisonniers, en Europe comme en d'autres continents, de longues listes d'hommes et de femmes dégradés de leur humanité pour donner de futurs cadavres… utiles pour permettre un progrès dans la science médicale ?
Le Serment d’HIPPOCRATE (OU HYPPOCRATE) ne fut peut-être pas écrit pour celles et ceux qui ne sont pas ou plus considérés comme humains à part entière ?
Alors relisons-le ensemble :
Serment d'HIPPOCRATE
Je jure par Apollon, médecin, par Esculape, par Hygie et Panacée, par tous les dieux, toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et les engagements suivants : je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai son savoir, et le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaires ni engagement.
Je ferai par des préceptes, des leçons de morales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître, et aux disciples liés par un engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.
Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice.
Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, et ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion ; semblablement je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif.
Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté.
Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s'en occupent.
Dans quelque maison que j'entre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.
Quoi que je voie ou entende en société pendant l'exercice ou même hors de l'exercice de ma profession, je tairai ce qui n'a pas besoin d'être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.
Si, je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais parmi les hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire !
C’est donc le serment rapporté et traduit par de nombreux copistes, selon ce qu'exigeait HIPPOCRATE — celui que l'on présente symboliquement comme le fondateur de la médecine — de ses élèves.
Je ferai par des préceptes, des leçons de morales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître, et aux disciples liés par un engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.
Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice.
Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, et ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion ; semblablement je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif.
Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté.
Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s'en occupent.
Dans quelque maison que j'entre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.
Quoi que je voie ou entende en société pendant l'exercice ou même hors de l'exercice de ma profession, je tairai ce qui n'a pas besoin d'être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.
Si, je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais parmi les hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire !
C’est donc le serment rapporté et traduit par de nombreux copistes, selon ce qu'exigeait HIPPOCRATE — celui que l'on présente symboliquement comme le fondateur de la médecine — de ses élèves.
Il semblerait bien que ce texte d'HIPPOCRATE s’adresse à TOUS les humains…
Les recherches sur l'écoute, à travers la philanalyse — "l'analyse de l'amour humain" — selon les travaux de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE semblent plus constructives et moins dangereuses que toutes ces manipulations physiques, chimiques ou mentales de ces apprentis sorciers se cachant derrière un diplôme obtenu plus ou moins honnêtement… ou se référant à la raison d'état pour expérimenter leurs "trouvailles" sur des cobayes humains.
Les recherches sur l'écoute, à travers la philanalyse — "l'analyse de l'amour humain" — selon les travaux de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE semblent plus constructives et moins dangereuses que toutes ces manipulations physiques, chimiques ou mentales de ces apprentis sorciers se cachant derrière un diplôme obtenu plus ou moins honnêtement… ou se référant à la raison d'état pour expérimenter leurs "trouvailles" sur des cobayes humains.
Vers la
Scène quatrième
Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville