Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Deuxième acte
En route…
Comment l'histoire s'est-elle construite pour arriver jusqu'à l'affaire ?
Philanalyste ?
La philanalyse…
Une profession pas comme les autres… pour un individu hors normalités qui s'intéresse aux individus hors normalités !
Comment l'histoire s'est-elle construite pour arriver jusqu'à l'affaire ?
Philanalyste ?
La philanalyse…
Une profession pas comme les autres… pour un individu hors normalités qui s'intéresse aux individus hors normalités !
Afin de partager ses recherches et tenter de rayonner — au fur et à mesure de ses découvertes — sa culture humaniste, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE a développé depuis près de vingt ans son désir de l’écoute par un travail de conseil.
C’est auprès de chacun en particulier qu’il construit une rencontre personnalisée, considérant l’être comme unique, ayant droit à une considération particulière.
De même, par notre implication dans la société, il a pris conscience de l’importance d’un travail partagé auprès des familles et des couples. C’est selon certainement les propres termes d’ARISTOTE, nous qualifiant dans son ouvrage rapporté sur Les Politiques, de « zôon politikon » : d’animal politique.
Les entretiens se vivent au sein d’un étrange bureau construit comme la tour du vieux château, où il n’osait, enfant, s’extraire pour aller à la rencontre de l’autre, trop heureux au milieu de ses vieux livres…
Trop inquiet sûrement de devoir se montrer à ce monde qui ne pouvait pas le comprendre.
C’est auprès de chacun en particulier qu’il construit une rencontre personnalisée, considérant l’être comme unique, ayant droit à une considération particulière.
De même, par notre implication dans la société, il a pris conscience de l’importance d’un travail partagé auprès des familles et des couples. C’est selon certainement les propres termes d’ARISTOTE, nous qualifiant dans son ouvrage rapporté sur Les Politiques, de « zôon politikon » : d’animal politique.
Les entretiens se vivent au sein d’un étrange bureau construit comme la tour du vieux château, où il n’osait, enfant, s’extraire pour aller à la rencontre de l’autre, trop heureux au milieu de ses vieux livres…
Trop inquiet sûrement de devoir se montrer à ce monde qui ne pouvait pas le comprendre.
Peut-être aurai-je un soir…
Enfermé dans la tour au sommet du château,
Une odeur de vieux cuir pour unique compagne,
Emmitouflé, serré dans un vaste manteau,
J’étouffe le désir de m'enfuir de ce bagne.
Je ne saurais quitter cet antre où j'ai grandi :
Le monde du dehors maudirait ma nature
Et, sans rêve je crains de trouver affadi,
Ce que je crois de l'homme à travers la lecture...
Au fil de mes saisons, ce passé que j’encense
A forgé ma raison, pour bâtir tous mes vers.
Me voici comme infirme : ils voilent ma naissance !
Peut-être aurai-je un soir à l’ombre de ma vie,
L’illusion du jour où tu seras ravie
D’animer notre quête et saisir l'univers.
Poème peut-être aurais-je un soir, extrait du recueil Solitude étrangère
Écrit par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Une vue du bureau de philanalyse de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE : la fenêtre n'a pas de vis-à-vis, et le philanalyste travail de fauteuil à fauteuil… il n'est pas derrière le bureau !
Oui, ce n'est pas si simple de sortir de soi pour aller vers l’autre.
Difficile acte de foi que de dépasser au mieux son moi pour aider ceux qui le souhaitent !
Quelle audace que d'inviter l'autre à mieux se gérer et lui permettre ainsi de vivre davantage en paix les relations de couple comme celles entre parents et enfants ou les fratries…
Il accompagne aussi celles et ceux qui le désirent dans un suivi analytique personnel — de fauteuil à fauteuil et sans bureau interposé — et supervise en discrétion.
La philanalyse est un suivi analytique différent des autres méthodes d'écoute. C'est un travail de rencontre socratique (sans principe hiérarchique) de mise en harmonie des êtres avec eux-mêmes. C'est une prise de conscience de l'humain dans le principe ternaire cher à PLATON développé dans La Cité. Platon y divise la société en trois : ceux qui travaillent, (il y rapproche le corps de l'homme) ceux qui dirigent (selon lui, l'esprit de l'homme) et enfin — surtout — ceux qui combattent (l'espace du cœur : l'amour comme la guerre, suivant l'oubli ou l'intérêt porté à cet espace de vie en l'homme). La philanalyse serait donc — à ce jour des recherches de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE — à considérer comme : "l'analyse de l'amour humain".
L'humain lui-même (évolué) serait donc ternaire et surtout pas binaire ou monolithique, cantonné juste à un élément reproducteur. Certains encore hélas sont juste des bipèdes… et selon la célèbre citation de Marguerite YOURCENAR, "peu de bipèdes depuis Adam ont mérité le nom d'homme". Afin de s'ouvrir à la pluripossibilité qui le conduit à l'éveil, il lui est fortement nécessaire de s'harmoniser corps, cœur et esprit…
Nos sociétés dualistes préfèrent, depuis la nuit des temps cantonner l'homme à un animal reproductif et travailleur, utile pour faire tourner une société et servir de chair à canon lorsque cela s'avère nécessaire… un peuple de moutons silencieux que l'on conduit à l'abattoir, capable parfois de se révolter si le pain ou les jeux lui manque… Les esclaves qui défilent dans les ruent ne demandent pas la liberté… ils réclament quelques centimètres de plus à leurs chaînes !
Lorsque certains bipèdes se lèvent et sortent de la Caverne,l'humain prend naissance !
Une vue du bureau du philanalyste Yves Philippe de FRANCQUEVILLE : le fauteuil du patient et celui proposé à l'accompagnant, ou pour les couples.
Vers la
Scène première
Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Tous droits réservés ©.
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville