Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Scène dixième
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE :
un humaniste sans complexe… sans honte !
Humaniste sans complexe… sans honte… Yves Philippe de FRANCQUEVILLE a laissé les principes religieux castrateurs et sectaires de l'Ordre des Prêcheurs comme les contraintes guerrières de l'Armée de l'Air, afin d'être disponible en liberté !
De toutes ces multiples expériences passées et présentes… (des réussites comme des échecs, des quelques déceptions comme des très nombreuses joies) il s'en réfère afin d'agir avec celle ou celui qui semble perdu… avant qu’il ne soit « vraiment » très ou trop tard !
C'est un travail fort difficile car peu valorisant au premier abord pour lui-même dans la confrontation avec celles et ceux que la colère rend méchants, voire violents…
C'est même douloureux lorsqu’un orgueil démesuré les a perché dans une sphère d’illusions où ils se croient si supérieurs…
Parfois hélas, ne voulant ou ne pouvant alors prendre conscience de leur médiocritude crasse, cela rend impossible — sur le moment — une quelconque possibilité de progresser.
Celle ou celui qui pense aller bien et qui est assuré que ce sont les autres qui vont mal… ne peut se remettre en question et reproche nécessairement à l’analyste tous ses maux !
L'échec s'annonce donc dans certains cas, mais il sait être optimiste sur la durée : une jachère temporelle annonce aussi parfois des fruits, même très tardifs.
Ce sont donc de vastes chantiers de travail fort complexes à entreprendre.
En effet, la rencontre, souvent réalisée dans l’urgence, nécessite tantôt une première restauration de la cellule familiale ou parfois engendre ou provoque des guerres nouvelles qui sourdaient…
Délicat jeu de construction ou de déconstruction pour espérer arriver, après disparition des compromis, des mensonges, des tricheries et des défaillances, déviances ou déficiences, à une réconciliation sincère avec soi-même, avec les siens… avec les autres !
Des situations qui peuvent aussi s’avérer très dangereuses pour l’analyste lorsque se révèlent dans l’écoute, des zones d’ombres où se dessinent des massacres… où l’intégrité d’une personne est attaquée, blessée, meurtrie parfois par un proche.
L’aide demandée implique alors — avec tous les risques de prises d’actes — l’assistance à personne en danger !
Courage… fuyons ?
Non… non…
De toutes ces multiples expériences passées et présentes… (des réussites comme des échecs, des quelques déceptions comme des très nombreuses joies) il s'en réfère afin d'agir avec celle ou celui qui semble perdu… avant qu’il ne soit « vraiment » très ou trop tard !
C'est un travail fort difficile car peu valorisant au premier abord pour lui-même dans la confrontation avec celles et ceux que la colère rend méchants, voire violents…
C'est même douloureux lorsqu’un orgueil démesuré les a perché dans une sphère d’illusions où ils se croient si supérieurs…
Parfois hélas, ne voulant ou ne pouvant alors prendre conscience de leur médiocritude crasse, cela rend impossible — sur le moment — une quelconque possibilité de progresser.
Celle ou celui qui pense aller bien et qui est assuré que ce sont les autres qui vont mal… ne peut se remettre en question et reproche nécessairement à l’analyste tous ses maux !
L'échec s'annonce donc dans certains cas, mais il sait être optimiste sur la durée : une jachère temporelle annonce aussi parfois des fruits, même très tardifs.
Ce sont donc de vastes chantiers de travail fort complexes à entreprendre.
En effet, la rencontre, souvent réalisée dans l’urgence, nécessite tantôt une première restauration de la cellule familiale ou parfois engendre ou provoque des guerres nouvelles qui sourdaient…
Délicat jeu de construction ou de déconstruction pour espérer arriver, après disparition des compromis, des mensonges, des tricheries et des défaillances, déviances ou déficiences, à une réconciliation sincère avec soi-même, avec les siens… avec les autres !
Des situations qui peuvent aussi s’avérer très dangereuses pour l’analyste lorsque se révèlent dans l’écoute, des zones d’ombres où se dessinent des massacres… où l’intégrité d’une personne est attaquée, blessée, meurtrie parfois par un proche.
L’aide demandée implique alors — avec tous les risques de prises d’actes — l’assistance à personne en danger !
Courage… fuyons ?
Non… non…
Un pirate debout et fier…
Tout va bien pour Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, avec son épouse et ses deux enfants, une vie simple, originale, et agréable, entourés d’amis de qualité.
Tout va bien… mais le fait d’être ainsi engagé et libre peut être imprudent dans notre monde lâche et vil !
Il est souvent préférable de rester dans sa tour ou de jouer « comme tout le monde » de la médiocrité afin d'éviter de se trouver confronté à des puissants.
SOCRATE fut condamné pour avoir osé pervertir la jeunesse d’Athènes…
Il est mis à mort pour avoir incité tous et chacun à se poser des questions sur le bien fondé des certitudes, croyances, lois, et interdits imposés par les autorités civiles et religieuses…
SOCRATE a invité par l’exemple à chercher en soi-même notre part de vivant… afin d'accéder à la liberté !
Sa volonté d’action était intimement liée au plaisir de voir naître et vivre l’homme potentiel enfouis en chacun de nous.
C’est dans cette académie, ou cette abbaye de Thélème, ces écoles sans barreau ni frontière qu’il plaît à notre philanalyste en herbe de se construire, en recherchant le meilleur des idées philosophiques découvertes au fil de ses lectures et rencontres… afin de gagner le sens de sa vie, et partager son plaisir avec d’autres vivants.
Oui, cette rencontre avec l’espérance est une aventure merveilleuse.
L'écoute n'est en effet pas suffisante.
Attendre à l'âge de vingt ans que quinze années se passent en parlant sur un divan pour enfin s'éveiller… c'est peut-être finalement stupide ?
Il s’avère nécessaire de garder le contact avec le terrain et de sortir du bureau du cinquième étage afin d’affronter le monde des sous vivants et les troubleurs de vie.
Oui, allons lutter contre celles et ceux qui détruisent l’espoir et qui, par leurs actes désagréables, sont porteurs de malheur.
La lutte n'est pas un combat stérile ou une guerre vaine… La lutte est un sport : un jeu physique, intellectuel et affectif qui permet aux protagonistes de mettre en valeur des talents… Le perdant gagne en considération par l'expérience acquise !
La lutte préféré de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, c’est la rencontre au naturel avec les puissants — médiocres mais si souvent riches d’héritages ou de tristes jeux financiers ou de manipulations — ceux qui se croient en droit de tout… Ces malades qui nous gouvernent parce que nous avons eu la faiblesse ou la lâcheté de leur donner notre droit de penser, de légiférer et d'agir par nous-mêmes…
Il n'a pas de honte et n'a pas en lui la crainte d'un maître ou d'un dieu quel qu'il soit. Comme DIOGÈNE répliquant à Alexandre Le GRAND… Yves Philippe de FRANCQUEVILLE ose jouer avec l'autorité qu'il n'estime pas fondée… qu'il ne pense pas légitime. Il agit en pirate des mots — en homme libre et indépendant — sans prendre de position hiérarchique !
Il n'a pas de morales construites sur l'idée d'un péché originel, où la faute d'un seul nous condamnerait… Cependant il vit avec des valeurs structurées sur une harmonie ternaire et ouverte à une pluri-possibilité d'axes de rencontres constructrices.
De toutes ses aventures passées, notre homme en a gardé de très bons souvenirs malgré quelques cicatrices.
Personne encore ne l'a brisé… malgré la rage de certains !
Combien de luttes déjà sont à rappeler, tant dans l'enfance que dans l'adolescence… et jeune adulte au sein de l'Observance, de l'Armée française, l'Ordre des Prêcheurs, ou des différentes institutions professionnelles ou sociétales !
Les blessures furent parfois profondes, mais il n'est toujours pas terrassé !
Cela viendra peut-être ?
Il faudra alors réparer si c'est possible…
Et s'il tombe, un autre se lèvera certainement pour continuer la lutte !
Aujourd'hui encore et toujours, par ces lignes mêmes, vous pouvez constater que le jeu dangereux n'est pas achevé. L'Internet est un puissant outil pour agir et permet de renvoyer assez bien les médias dans leurs retranchements… Ils sont généralement la fange de notre monde en déclin : les kapos au service des puissants… toujours attentifs à éviter la charrette qui passe, en se valorisant sans aucune prise de conscience de la valeur humaine !
Tout va bien… mais le fait d’être ainsi engagé et libre peut être imprudent dans notre monde lâche et vil !
Il est souvent préférable de rester dans sa tour ou de jouer « comme tout le monde » de la médiocrité afin d'éviter de se trouver confronté à des puissants.
SOCRATE fut condamné pour avoir osé pervertir la jeunesse d’Athènes…
Il est mis à mort pour avoir incité tous et chacun à se poser des questions sur le bien fondé des certitudes, croyances, lois, et interdits imposés par les autorités civiles et religieuses…
SOCRATE a invité par l’exemple à chercher en soi-même notre part de vivant… afin d'accéder à la liberté !
Sa volonté d’action était intimement liée au plaisir de voir naître et vivre l’homme potentiel enfouis en chacun de nous.
C’est dans cette académie, ou cette abbaye de Thélème, ces écoles sans barreau ni frontière qu’il plaît à notre philanalyste en herbe de se construire, en recherchant le meilleur des idées philosophiques découvertes au fil de ses lectures et rencontres… afin de gagner le sens de sa vie, et partager son plaisir avec d’autres vivants.
Oui, cette rencontre avec l’espérance est une aventure merveilleuse.
L'écoute n'est en effet pas suffisante.
Attendre à l'âge de vingt ans que quinze années se passent en parlant sur un divan pour enfin s'éveiller… c'est peut-être finalement stupide ?
Il s’avère nécessaire de garder le contact avec le terrain et de sortir du bureau du cinquième étage afin d’affronter le monde des sous vivants et les troubleurs de vie.
Oui, allons lutter contre celles et ceux qui détruisent l’espoir et qui, par leurs actes désagréables, sont porteurs de malheur.
La lutte n'est pas un combat stérile ou une guerre vaine… La lutte est un sport : un jeu physique, intellectuel et affectif qui permet aux protagonistes de mettre en valeur des talents… Le perdant gagne en considération par l'expérience acquise !
La lutte préféré de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, c’est la rencontre au naturel avec les puissants — médiocres mais si souvent riches d’héritages ou de tristes jeux financiers ou de manipulations — ceux qui se croient en droit de tout… Ces malades qui nous gouvernent parce que nous avons eu la faiblesse ou la lâcheté de leur donner notre droit de penser, de légiférer et d'agir par nous-mêmes…
Il n'a pas de honte et n'a pas en lui la crainte d'un maître ou d'un dieu quel qu'il soit. Comme DIOGÈNE répliquant à Alexandre Le GRAND… Yves Philippe de FRANCQUEVILLE ose jouer avec l'autorité qu'il n'estime pas fondée… qu'il ne pense pas légitime. Il agit en pirate des mots — en homme libre et indépendant — sans prendre de position hiérarchique !
Il n'a pas de morales construites sur l'idée d'un péché originel, où la faute d'un seul nous condamnerait… Cependant il vit avec des valeurs structurées sur une harmonie ternaire et ouverte à une pluri-possibilité d'axes de rencontres constructrices.
De toutes ses aventures passées, notre homme en a gardé de très bons souvenirs malgré quelques cicatrices.
Personne encore ne l'a brisé… malgré la rage de certains !
Combien de luttes déjà sont à rappeler, tant dans l'enfance que dans l'adolescence… et jeune adulte au sein de l'Observance, de l'Armée française, l'Ordre des Prêcheurs, ou des différentes institutions professionnelles ou sociétales !
Les blessures furent parfois profondes, mais il n'est toujours pas terrassé !
Cela viendra peut-être ?
Il faudra alors réparer si c'est possible…
Et s'il tombe, un autre se lèvera certainement pour continuer la lutte !
Aujourd'hui encore et toujours, par ces lignes mêmes, vous pouvez constater que le jeu dangereux n'est pas achevé. L'Internet est un puissant outil pour agir et permet de renvoyer assez bien les médias dans leurs retranchements… Ils sont généralement la fange de notre monde en déclin : les kapos au service des puissants… toujours attentifs à éviter la charrette qui passe, en se valorisant sans aucune prise de conscience de la valeur humaine !
Vers la
Scène onzième
Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville