Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Scène quatrième
Les progrès de la médecine psychiatrique…
Et l'approche originale de la philanalyse…
Que se passe-t-il dans ces lieux de souffrance que sont les hôpitaux psychiatriques, ou plutôt hospices ou asile pour fous…
Au XIXème siècle ?
…Au XXème siècle ?
Et de nos jours, dans ce XXIème siècle… où l'obscurantisme religieux est sérieusement de retour ?
Après avoir donc testé sur un grand nombre de cobayes humains quelques techniques chères à tous ses professeurs, amis ou ennemis, il fallait proposer des solutions au public attentif…
Sigmund FREUD en a trouvé un grand nombre et s’en épanche dans tous ses nombreux rapports d'expériences, qu’elles soient réalisées ou juste imaginées (rêvées peut-être ?).
La grande découverte de la psychanalyse, c'est comme pour certains médicaments à vendre… les effets secondaires sont souvent tus… et tuent !
Sigmund FREUD ose dire notamment — tout en étant fier consommateur aussi — que la cocaïne sera le médicament du XXème siècle…
Il y a encore et toujours… à ce jour de nombreux psychiatres et psychanalystes qui expliquent avec art que cette vérité freudienne reste à tout jamais fondée puisque le Maître l'a dit !
Les bourses de l'économie mondiale encore aujourd'hui ne le réfutent pas en affichant les meilleurs cotations pour des médicaments bien souvent créés à partir de molécules dérivées ou copiées chimiquement de ces poisons que sont les drogues interdites ou réglementées par l’État… tantôt jugés par des experts (tellement dépendants d'une médaille ou d'un contrat) comme formidablement efficaces… puis les remplaçant par d'autres… surement encore plus efficaces, en tâchant de nous faire oublier au plus vite quelques longues listes de victimes de ces certitudes : des cadavres qui ne parlent plus… Et il y a tant d'avocats richissimes et politiques pour donner raison à leurs frères du monde de la finance ! La profession d'avocat est un tremplin efficace pour se projeter à la tête des institutions : Une grande capacité à tricher et à mentir peut-être ?
Médicaments ou poisons ?
C’est la controverse entre le pharmakon et le pharmakos passionnante qui se retrouve dans la guerre entre allopathes et homéopathes…
La "machine corps" est certainement aussi compliquée qu'un moteur de voiture et malgré les efforts du meilleur des garagistes ou des chirurgiens… il faut peut-être parfois reconnaître qu'il n'y a plus rien à espérer… Pas de pilule miracle pour restaurer ou donner l'espoir miraculeux d'une fontaine de jouvence !
Accueillir les âges de la vie…
Vivre heureux en attendant la mort ?
Oui, vivons heureux en attendant la mort… disait le grand Pierre DESPROGES !
Accueillir les âges de la vie…
Vivre heureux en attendant la mort ?
Oui, vivons heureux en attendant la mort… disait le grand Pierre DESPROGES !
Vivre heureux en se sachant mortel ?
Pour cela la guerre contre une maladie n'est pas nécessairement le meilleur choix : peut-être l'humain a-t-il la possibilité de travailler sur lui-même, et comprendre la source de ses mots. Il peut ainsi tenter de vivre au mieux, avec les "dégâts" causés par les souffrances affectives sur le corps… et sur l'esprit !
Nous pouvons nous aider alors des progrès des différentes médecines, afin de bénéficier du meilleur de nous-mêmes !
L'art du "lâcher prise"… pour réaliser une harmonie du cœur avec le corps et l'esprit, plutôt que de se cantonner à un équilibre instable, qui nous fragilise toujours davantage à chaque chute nouvelle !
Pierre DESPROGES a su "vivre" avec la maladie qui le rongeait…
Il est mort ? Et alors… souhaitait-il que l'on dise pour info au "20 heures". Il était certainement dans l'esprit de Michel de MONTAIGNE, lorsque de dernier reprenait pour lui-même les pensées socratiques de PLATON avec son célèbre "que philosopher c'est apprendre à mourir".
Avec la philanalyse, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE ne propose pas de soigner l'humain, et encore moins de le guérir… c'est à laisser aux utopies médicales !
Nous allons tous mourir… l'intéressant est peut-être de trouver agréable notre temps de vie sur cette petite planète !
Ne pas trop survivre, ne surtout pas sousvivre… Vivre simplement.
"L'analyse de l'amour humain" serait juste une aide à se trouver une harmonie "corps - cœur - esprit" au quotidien, avec ce chemin de vie où nous sommes en perpétuelle évolution et changement : les âges de la vie ont leurs avantages et leurs contraintes ; la philanalyse propose d'apprécier chaque instant, sans s'abîmer et sans abîmer l'autre… en donnant à demain la possibilité d'exister !
"Le cœur à ses raisons que la raison ne connaît point" écrivait Blaise PASCAL. Antoine de SAINT-EXUPÉRY nous le rappelle avec son célèbre "on ne voit bien qu’avec le cœur"…
Il est juste possible de tenter d’inviter l’être en souffrance à écouter — en bonne entente — son corps, son cœur et son esprit afin d’essayer de donner un sens à son existence et d'être le moins perturbé possible par ses propres souffrances.
Nous pouvons donc être juste à côté de l’être en souffrance — à sa hauteur — et l'écouter sans nécessairement vouloir à tout prix comprendre, sans être obsédé de savoir !
Se croire arrivé — être sûr de soi par le fait de regarder, accroché au mur, un cadre doré dans lequel se trouve un diplôme jauni — c'est le plus mauvais cadeau que nous puissions offrir à un patient.
Chaque personne rencontrée est unique et tout doit être remis en cause à chaque nouveau rendez-vous.
L’analyse exige de l’analyste — du philanalyste — une très grande humilité. Sa force d’écoute doit être entretenue chaque jour et restaurée, surtout en lien avec les épreuves quotidienne afin qu'elle ne fassent pas interférence avec les souffrances du patient.
L’on peut être compétent aujourd’hui et dans l’incapacité de travailler demain… si un souci familial, ou personnel s’interpose entre l’écoutant et le patient.
Écouter implique totalement le philanalyste, et c'est donc extrêmement difficile d'aider l'autre à exprimer en liberté ses souffrances sans fragiliser son espace intime…
Il est primordial d’essayer de limiter au maximum les intrusions ou prises de positions inconscientes ou conscientes et surtout maladroites !
Le bureau d'Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est configuré de manière à ce que l'écoute puisse se réaliser dans les meilleurs conditions avec notamment la position des fauteuils et du tapis créant l'espace personnel du patient.
Vers la
Scène cinquième
Mémoires d'un vivant, deuxième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville