Mémoires d'un vivant par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Scène dixième
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
Les sources du bonheur sont certainement quelque part…
La recherche honorable de l’idée d’un dieu peut nous inviter à entrer dans des lieux de vie tenus par des règles se voulant orientées vers la sanctification ou la plénitude… Tout simplement cela se construit afin de nous rendre facilement esclaves consentants de quelques espaces clos aux parfums de paradis terrestres… Ces derniers cachent, hélas, dans leurs entrailles, bien des enfers de souffrances et de blessures secrètes… comme des antres suintants de complots et de concupiscences. Le Nom de la Rose ou le Da Vinci Code ne font qu’effleurer le sujet…
Des prisons dorées.
Il est peut-être plus difficile de sortir de la forteresse que d’y entrer ?
Yves veut dire « if » l’arbre très prisé des luthiers, arbre capable de vivre plus de 2.000 ans… mais toxique et même mortel pour la plus part des animaux, dont les chevaux, qui y seraient accrochés par mégarde. Dans le Petit dictionnaire en langue des Oiseaux de Luc BIGÉ, Yves est l'anagramme euphonique de "vit" et l'if, c'est bien l'arbre que l'on voit pousser dans les cimetières depuis l'époque celte car il porte la mort et la renaissance…
Les Yves seraient donc des enfants terribles.
Pourquoi donc y associer Philippe à ce Yves ?
Philippe, « qui aime les chevaux » c’est le prénom grec qui a certainement la possibilité de restaurer et de révéler « Yves ». Pour continuer la lecture du Petit dictionnaire en langue des Oiseaux de Luc BIGÉ, il y a du "feu" dans ce prénom, une force vive à la conquête et en même temps le danger de la solitude à ne pas rencontrer ses semblables !
Un besoin d'être aimé… une soif d'aimer comme le rappelle ce poème :
REGARD D'AMOUR
I
De visage en paysage,
L’on m'invite à ce voyage,
La liberté pour tout chemin
Vers l’océan le plus lointain.
La nature,
Ses créatures,
C'est mon histoire :
Une aventure
Où, de tout cœur, j'ose rêver…
De tout mon corps, je puis aimer.
Nuits après jours sur cette terre,
J’ouvre les yeux à la lumière ;
Trop souvent seul, un peu songeur
De quelques vers, un air moqueur…
Soudain je nais, souvent je meurs.
Point de regrets pour cette vie,
Elle est ainsi : je l'ai choisie.
II
Un soir, je me suis arrêté
Devant la fleur de mon été.
Elle était là, belle et amante,
À peine éclose et si savante
Que je me voyais endormi
Au cœur d’un monde où l’on dit : “ oui ” !
Espérant que cela ne cesse
Ne pensant plus à la promesse,
Un printemps changeait l’annoncée :
L'ancre venait d'être jetée.
Je ne savais croire à l'honneur
De tant d'amour et fus songeur…
Mais un parfum chassa mes peurs :
Elle a pris sa forme de vie,
Elle a jailli : je l'ai saisie.
III
Rien qu'un regard, rien qu'un sourire,
Enfin une île et je respire.
L'esprit comblé de sa présence,
Assuré de sa confiance
Sans peur de la voir me trahir
Ou se faner pour un soupir ;
Ces doux espoirs portent mes pas :
J’oublie alors tous mes tracas.
Elle a compris que je l'aimais
Puisqu’elle est en moi désormais.
Alors son cœur contre mon cœur
S'unissent ainsi force et chaleur,
Pour n'être que mêmes bonheurs.
Ne suis-je plus seul en ma vie ?
Cherchez la muse : mon amie…
Pour un instant, se souvenir ?
Enfin une île et repartir…
Enfin une île et repartir…
Poème Regard d'amour, extrait du recueil Solitude étrangère écrit par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Philippe, un prénom assez répandu…
Il est porté par beaucoup de proches de la famille dont l'époux de sa marraine, et son parrain, ainsi que de nombreux amis. Nous le retrouvons aussi chez un très grand nombre de ses ancêtres.
Philippe est en premier lieu un prénom de cavaliers, de guerriers, de rois, de politiques et de tyrans : de Philippe de MACÉDOINE à Philippe PÉTAIN, sans oublier Philippe d’ORLÉANS… amant d’une de ses ancêtres, grande éducatrice et faiseuse d’un roi des Français prénommé aussi notamment Philippe : Madame de GENLIS, cette comtesse aventurière et écrivaine.
Tous ces Philippe ont certainement cru en leur légitimité et pensaient juste en leurs qualités afin de donner leur vie pour un idéal…
L’Histoire nous en rapporte autant en bienfaits qu’en catastrophes !
Comment finalement se laisser prénommer Philippe ?
Lorsque Yves Philippe réussit le concours d’entrée pour l’École des Pilotes — à l’EFIPN de Bourges Avord — afin d’être officier de l’Armée de l’Air française, c’était pour sauver la patrie, devenir général, gagner les guerres et…
…Et son enthousiasme ne faiblit pas malgré un accident en vol. Circonstances tragiques… l'histoire se dévoile en parti dans le récit initiatique "du silence au mensonge" à lire en ligne ou à préférer en version papier chez vous en moins d'une semaine par quelques clics…
Ne pouvant plus piloter, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n'abandonnera pas tout ses rêves, et saura rejoindre l’École des Fusiliers Commandos parachutistes pour se passionner davantage de parachutisme… Le plaisir d'être libre comme l'air…
Ne pouvant plus piloter, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n'abandonnera pas tout ses rêves, et saura rejoindre l’École des Fusiliers Commandos parachutistes pour se passionner davantage de parachutisme… Le plaisir d'être libre comme l'air…
Un officier commando parachutiste, à disposition pour l'une ou l'autre Armée…
…Et Yves veillait en effet…
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, officier de l'armée française, alors qu'il est profondément "anti militariste"… ou plutôt — avec la compréhension progressive de son être par un travail analytique — simplement construit dans un principe de communication non-violente ?
C'est bien possible ! Comme pour découvrir se sens de ne pas être touché par "l'idée d'un dieu" l'entrée dans la vie religieuse était important… c'est aussi primordial d'être plongé dans la réalité du monde : de se confronter à la bêtise et à l'absurdité des bipèdes qui partent avec leur "bite et leur fusil " pour faire la guerre !!!
Ce jeune lieutenant aime l'effort, et l'aventure… il aime le travail bien fait, les missions originales…
Folie que de se jeter dans le vide avec un parachute sur le dos ?
Oui… mais épreuve de confiance avec l'autre (le plieur) et prise de conscience de l'absurde de la vie et de la mort…
L'armée est aussi un lieu de tous les extrêmes… Notre pirate en herbe, même après son départ de l'armée active, osera encore la réserve :
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, officier de l'armée française, alors qu'il est profondément "anti militariste"… ou plutôt — avec la compréhension progressive de son être par un travail analytique — simplement construit dans un principe de communication non-violente ?
C'est bien possible ! Comme pour découvrir se sens de ne pas être touché par "l'idée d'un dieu" l'entrée dans la vie religieuse était important… c'est aussi primordial d'être plongé dans la réalité du monde : de se confronter à la bêtise et à l'absurdité des bipèdes qui partent avec leur "bite et leur fusil " pour faire la guerre !!!
Ce jeune lieutenant aime l'effort, et l'aventure… il aime le travail bien fait, les missions originales…
Folie que de se jeter dans le vide avec un parachute sur le dos ?
Oui… mais épreuve de confiance avec l'autre (le plieur) et prise de conscience de l'absurde de la vie et de la mort…
L'armée est aussi un lieu de tous les extrêmes… Notre pirate en herbe, même après son départ de l'armée active, osera encore la réserve :
Il y croira jusqu'à la prise de conscience que l'Armée est hélas le lieu protégé de l'assurance que le pire est autorisé pour la gloire d'une nation… au nom d'un bout de frontière, d'une religion… de quelques monuments construits par des hommes qui verront leurs enfants sacrifiés pour ces quelques pierres ! Merci Marcel PROUST (La recherche du temps perdu, dernier volume : Le temps retrouvé).
Il choisira alors la route qui le conduira à la chevalerie, et à l'état de pirate…
Attention en effet à l’idéal de sauveur qui nous entraîne si vite vers des déviances armées où l’on fini par se croire indispensable à la nation !
Tout bon berger, tout grand maître, conduit inexorablement ses moutons à l'abattoir, un jour ou l'autre !
Attention à l’idée de sacrifice…
La terre se nourrit du sang de son histoire !
Oui, le fait de se persuader que nous sommes désignés pour donner du sens au monde et lui assurer d’aller mieux…
Il est temps d'arrêter de croire dramatiquement que c'est en sauvant les autres que nous nous sauverons nous-mêmes !
Soyons attentifs à ne pas nous laisser séduire par une lecture destructrice de textes religieux et politiques qui nous pousse à nous oublier pour soi-disant l'amour des autres, d'une nation ou d'un dieu !
Nous existons peut-être juste pour le plaisir de la rencontre humaine… Encore quelques pièces utiles pour construire l'écoute : la philanalyse prend forme !
Il semblerait que ces deux prénoms associés donnent du sens à la vie de notre auteur.
Ils permettent finalement une gestion harmonieuse d’un présent passionnant en étudiant avec attention un passé historique et personnel, afin de le préparer à l’avenir !
C’est donc par le double prénom Yves Philippe qu’il est juste de le prénommer, en évitant de l’écrire avec un trait d’union improbable…
Oui, pour parler de lui, dites Yves Philippe, cela a du sens !
En effet, C’est ainsi qu’il se construit. Comme il est plus exact de nommer François Marie AROUET, Monsieur de VOLTAIRE avec son nom créé par son histoire, lui qui est devenu lui-même, alors qu’il était juste fils d’un père tout à fait respectable, récemment noble de robe — par charge durement acquise — et d’une mère issue d’une famille de magistrat de petite noblesse.
Il choisira alors la route qui le conduira à la chevalerie, et à l'état de pirate…
Attention en effet à l’idéal de sauveur qui nous entraîne si vite vers des déviances armées où l’on fini par se croire indispensable à la nation !
Tout bon berger, tout grand maître, conduit inexorablement ses moutons à l'abattoir, un jour ou l'autre !
Attention à l’idée de sacrifice…
La terre se nourrit du sang de son histoire !
Oui, le fait de se persuader que nous sommes désignés pour donner du sens au monde et lui assurer d’aller mieux…
Il est temps d'arrêter de croire dramatiquement que c'est en sauvant les autres que nous nous sauverons nous-mêmes !
Soyons attentifs à ne pas nous laisser séduire par une lecture destructrice de textes religieux et politiques qui nous pousse à nous oublier pour soi-disant l'amour des autres, d'une nation ou d'un dieu !
Nous existons peut-être juste pour le plaisir de la rencontre humaine… Encore quelques pièces utiles pour construire l'écoute : la philanalyse prend forme !
Il semblerait que ces deux prénoms associés donnent du sens à la vie de notre auteur.
Ils permettent finalement une gestion harmonieuse d’un présent passionnant en étudiant avec attention un passé historique et personnel, afin de le préparer à l’avenir !
C’est donc par le double prénom Yves Philippe qu’il est juste de le prénommer, en évitant de l’écrire avec un trait d’union improbable…
Oui, pour parler de lui, dites Yves Philippe, cela a du sens !
En effet, C’est ainsi qu’il se construit. Comme il est plus exact de nommer François Marie AROUET, Monsieur de VOLTAIRE avec son nom créé par son histoire, lui qui est devenu lui-même, alors qu’il était juste fils d’un père tout à fait respectable, récemment noble de robe — par charge durement acquise — et d’une mère issue d’une famille de magistrat de petite noblesse.
Vers la
Scène onzième
Mémoires d'un vivant par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain ! Tous droits réservés ©.
Auteur : Yves Philippe de Francqueville