Mémoires d'un vivant par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain !
Scène cinquième
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE…
L’aventure commence vraiment lorsque cet enfant de bonne famille, apprend — par ses recherches généalogique — que non seulement son nom de famille possède un « C » devant le « Q » confirmé tardivement au XIX° siècle… mais qu’il fut aussi amputé, pour sa branche, d’un des noms de fiefs « d’ABANCOURT » célébré par Charles Xavier, qui fut pendant 19 jours le dernier ministre de la guerre de Louis XVI… massacré à Versailles avant même d’être jugé.
La mort avant le jugement, c’est expéditif et radical !
Peut-être une députée, en manque de reconnaissance, proposera un soir, à l’Assemblée Nationale, un texte de loi parlant du génocide des aristocrates lors de la Révolution française… et comme pour tout autre massacre politique ou religieux — décrété génocide — le nier deviendrait alors un délit ?
Charles Xavier de FRANCQUEVILLE d'ABANCOURT, est donc porteur du titre de plus court temps de fonction dans un ministère, mais il est aussi premier cité dans la liste des Frères Maçons célébrés, dans le grand livre où par « ABANCOURT », il est immortalisé comme grand maître des cérémonies de la loge « Les Bons Amis ».
Charmante découverte qui invite à chercher davantage… qui impliquera aussi quelques rencontres et actions au sein même de certaines institutions…
Ce « C » devant le « Q » à ne surtout pas oublier, pour rappeler le sens même de ce nom de famille né probablement vers le XI° siècle : « de la franche ville », de Cambrai (c'est un signe). Cambrai, une ville libre très importante au Moyen Âge en laquelle il semblerait que ses ancêtres — chevaliers issus d’un cadet du Vermandois — avaient pris domiciliation et responsabilités. Ils se sont embourgeoisés, après avoir été chassés de leurs terres confisquées par le petit royaume de France naissant… bannis, voire pour certains condamnés à mort, pour avoir refusé de prêter allégeance à un comte de Paris — Hugues CAPET — devenu roi parce qu’il était simplement médiocre et complaisant…
La mort avant le jugement, c’est expéditif et radical !
Peut-être une députée, en manque de reconnaissance, proposera un soir, à l’Assemblée Nationale, un texte de loi parlant du génocide des aristocrates lors de la Révolution française… et comme pour tout autre massacre politique ou religieux — décrété génocide — le nier deviendrait alors un délit ?
Charles Xavier de FRANCQUEVILLE d'ABANCOURT, est donc porteur du titre de plus court temps de fonction dans un ministère, mais il est aussi premier cité dans la liste des Frères Maçons célébrés, dans le grand livre où par « ABANCOURT », il est immortalisé comme grand maître des cérémonies de la loge « Les Bons Amis ».
Charmante découverte qui invite à chercher davantage… qui impliquera aussi quelques rencontres et actions au sein même de certaines institutions…
Ce « C » devant le « Q » à ne surtout pas oublier, pour rappeler le sens même de ce nom de famille né probablement vers le XI° siècle : « de la franche ville », de Cambrai (c'est un signe). Cambrai, une ville libre très importante au Moyen Âge en laquelle il semblerait que ses ancêtres — chevaliers issus d’un cadet du Vermandois — avaient pris domiciliation et responsabilités. Ils se sont embourgeoisés, après avoir été chassés de leurs terres confisquées par le petit royaume de France naissant… bannis, voire pour certains condamnés à mort, pour avoir refusé de prêter allégeance à un comte de Paris — Hugues CAPET — devenu roi parce qu’il était simplement médiocre et complaisant…
La famille de Francqueville s'est construite de siècle en siècle avec de belles histoires, d'autres tristes… des personnages formidables et des médiocres… mais "être" et "devenir soi-même" est souvent plus difficile que ede descendre de…" Un ouvrage se construit au fil des découvertes, avec une suite de blasons pour illustrer cette Maison familiale.
Armes écartelées des FRANCQUEVILLE :

la Maison des Francqueville. Composition réalisée d'après un document original conservé dans les archives du "chef de famille". Création originale de Yves Philippe de Francqueville.
Ecartelé au 1 à l'étoile d'or : qui est "de Vermandois" au lambel à trois pendants du même : qui est "cadet", l'étoile accostée de trois maillets de sable : qui est "issu"; au 2 en partis 1 à la ville de gueules : qui est "de la franche ville de Cambrai", 2 fretté d'or et d'argent : qui est "d'Yzeux"; au 3 écartelé en 1 & 4 à la ville de gueule : qui est "de la franche ville de Cambrai", en 2 & 3 à la rose de gueule : qui est "de Bourlon"; au 4 en partis 1 à l'aigle de gueules : qui est "d'Abancourt", 2 à la ville de gueules : qui est "de la franche ville de Cambrai"; sur le 2 & 4 en abîme, l'écusson d'azur à l'étoile d'or surmonté d'un lambel moderne à trois pendant du même : qui est "de Francqueville"; et sur le tout en abîme, l'écu français ancien d'azur à l'étoile d'or surmonté d'un lambel primitif à trois pendant du même : qui est celui des croisades.
La généalogie est une science de l'illusion. Une réponse offre toujours deux nouvelles pistes inconnues… Et l'histoire est construite d'une multitude de "vrais faux" et "de faux vrais" pour de vaines gloires… La mémoire des ancêtres est éphémère.
Après vient le temps des légendes.
Après vient le temps des légendes.
Il est FRANCQUEVILLE, soit… mais il est aussi chargé de quatre prénoms !
Nous portons tous une histoire. Peu, très peu s’en souviennent… très très peu aussi se donnent ou trouvent le temps de chercher…
Encore moins ont la chance de saisir des documents relatant quelques histoires, à la vérité relative.
Se connaître soi-même… Connais-toi toi-même… selon les termes repris en devise par SOCRATE, de par les dires de PLATON. Ces premiers mots personnalisés de l’inscription grecque, placée sur le fronton du temple d’APOLLON à Delphes, nous construisent… donnent du sens à notre existence.
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE va utiliser ses découvertes et ses rencontres pour mieux comprendre qui il est : "savoir d'où l'on vient pour savoir où l'on va"…
C'est ainsi qu'il va développer petit à petit son "autre regard sur l'écoute", grâce à ses recherches autour de la philanalyse.
Nous portons tous une histoire. Peu, très peu s’en souviennent… très très peu aussi se donnent ou trouvent le temps de chercher…
Encore moins ont la chance de saisir des documents relatant quelques histoires, à la vérité relative.
Se connaître soi-même… Connais-toi toi-même… selon les termes repris en devise par SOCRATE, de par les dires de PLATON. Ces premiers mots personnalisés de l’inscription grecque, placée sur le fronton du temple d’APOLLON à Delphes, nous construisent… donnent du sens à notre existence.
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE va utiliser ses découvertes et ses rencontres pour mieux comprendre qui il est : "savoir d'où l'on vient pour savoir où l'on va"…
C'est ainsi qu'il va développer petit à petit son "autre regard sur l'écoute", grâce à ses recherches autour de la philanalyse.
Vers la
Scène sixième
Mémoires d'un vivant par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste, à la découverte de soi-même, pour comprendre l'idée de la philanalyse… la recherche de l'Amour Humain ! Tous droits réservés ©.