Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Suite de la seconde partie
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
« Amours & Sexualité »
Comment Apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard ».
Suite de la seconde partie
L’amitié
est-elle sexuée ?
— Peut-on « faire l’amour »
en toute amitié ?
Oui…
Les amours comme les amitiés sont toujours des rencontres sexuées mais elles ne sont pas nécessairement vécues dans la sexualité.
Soyons reconnaissants vis-à-vis du Docteur KINSEY et de ses amis chercheurs pour leurs études de statistiques poussées sur le terrain de la sexualité : vastes rapports qui nous expliquent notre nature multiple.
— Faut-il aussi refuser certaines affirmations jaculatoires de Jacques LACAN ? Par exemple : « aimer, c’est donner ce qu’on n’a pas ». Ah, « ce con ? Na ! Pa ? »…
Ah, ah… tous ces demi-dieux de la médecine psychiatrique — ces apprentis sorciers — auraient dû être éloignés au plus tôt de toute personne en souffrance… Que de cadavres entassés avec tant de vies détruites par ces tyrans tortionnaires comme Jean-Martin CHARCOT qui annoncent un savoir, une vérité générale, sociétale… oubliant que l’individu est unique : oui… nous ne savons rien de l’autre… nous avons tout à apprendre, à chaque instant…
Alors, Monsieur LACAN ? Que savez-vous du mot « aimer » ? Qui donc « est mée » ? Votre mère ?
Aimer ? Aimer ne serait-ce pas plutôt donner à travers soi :
Oui…
Les amours comme les amitiés sont toujours des rencontres sexuées mais elles ne sont pas nécessairement vécues dans la sexualité.
Soyons reconnaissants vis-à-vis du Docteur KINSEY et de ses amis chercheurs pour leurs études de statistiques poussées sur le terrain de la sexualité : vastes rapports qui nous expliquent notre nature multiple.
— Faut-il aussi refuser certaines affirmations jaculatoires de Jacques LACAN ? Par exemple : « aimer, c’est donner ce qu’on n’a pas ». Ah, « ce con ? Na ! Pa ? »…
Ah, ah… tous ces demi-dieux de la médecine psychiatrique — ces apprentis sorciers — auraient dû être éloignés au plus tôt de toute personne en souffrance… Que de cadavres entassés avec tant de vies détruites par ces tyrans tortionnaires comme Jean-Martin CHARCOT qui annoncent un savoir, une vérité générale, sociétale… oubliant que l’individu est unique : oui… nous ne savons rien de l’autre… nous avons tout à apprendre, à chaque instant…
Alors, Monsieur LACAN ? Que savez-vous du mot « aimer » ? Qui donc « est mée » ? Votre mère ?
Aimer ? Aimer ne serait-ce pas plutôt donner à travers soi :
« Aimer l’autre
comme soi-même » ?
Et toujours pour une critique constructrice des études de Jacques LACAN : je dis un grand « NON » pour le « racine de –1 » (-Phi) créé avec son très célèbre « manque du phallus de la femme ».
Monsieur Jacques LACAN n’est pas une « femme parfaite »… comme sa mère très pieuse… Il n’avait pas non plus trouvé son père suffisamment viril, et s’il faut ajouter la désolation de voir son frère se « faire moine » malgré ses intimidations… ah, que de souffrances pour ce médecin qui voulait soigner l’autre sans se soigner lui-même ! Ne pas « être une femme, dans un voyage en absurdie », avoir peur de la castration et… et « perdre la foi de/en sa mère », c’est peut-être une suite de grandes blessures à la source de ses nombreuses névroses ? Quelques explications pour comprendre les propos destructeurs et les attitudes tyranniques de ce gourou toujours idolâtré ?
Oublions maintenant Monsieur Jacques LACAN et ses idées sombres…
Nous pouvons peut-être comprendre les humains d’une autre manière :
La femelle est celle qui possède une matrice.
Le mâle est celui qui peut souffrir d’une absence de matrice.
L’homme est presque une femme comme les autres.
Donc, ayant « déjà » la source d’un manque, nous pouvons comprendre la peur de la castration chez l’homme par le ridicule ou la perte de son petit pénis ou face à l’angoisse de l’impuissance à féconder.
Cependant, au-delà de ces inquiétudes à ne pas pouvoir dominer… nous pouvons apprendre à aimer…
Il y a alors quatre dangers à ne pas négliger dans l’amitié et l’amour :
— Le danger des passions : ne soyons pas limités, sectaires… vivons passionnément, en liberté.
— Le danger du compromis ou de la concession : mieux vaut disputer chaque point et finir par être en accord lors d’une décision à prendre.
— Le danger de l’habitude : que chaque instant soit unique et nous invite à créer des rites que nous pouvons modifier à tout moment.
— Le danger de la médiocrité : tout acte doit être désiré et construit en donnant le meilleur de nous-même.
Nous développons alors en nous les principes de la philanalyse :
Monsieur Jacques LACAN n’est pas une « femme parfaite »… comme sa mère très pieuse… Il n’avait pas non plus trouvé son père suffisamment viril, et s’il faut ajouter la désolation de voir son frère se « faire moine » malgré ses intimidations… ah, que de souffrances pour ce médecin qui voulait soigner l’autre sans se soigner lui-même ! Ne pas « être une femme, dans un voyage en absurdie », avoir peur de la castration et… et « perdre la foi de/en sa mère », c’est peut-être une suite de grandes blessures à la source de ses nombreuses névroses ? Quelques explications pour comprendre les propos destructeurs et les attitudes tyranniques de ce gourou toujours idolâtré ?
Oublions maintenant Monsieur Jacques LACAN et ses idées sombres…
Nous pouvons peut-être comprendre les humains d’une autre manière :
La femelle est celle qui possède une matrice.
Le mâle est celui qui peut souffrir d’une absence de matrice.
L’homme est presque une femme comme les autres.
Donc, ayant « déjà » la source d’un manque, nous pouvons comprendre la peur de la castration chez l’homme par le ridicule ou la perte de son petit pénis ou face à l’angoisse de l’impuissance à féconder.
Cependant, au-delà de ces inquiétudes à ne pas pouvoir dominer… nous pouvons apprendre à aimer…
Il y a alors quatre dangers à ne pas négliger dans l’amitié et l’amour :
— Le danger des passions : ne soyons pas limités, sectaires… vivons passionnément, en liberté.
— Le danger du compromis ou de la concession : mieux vaut disputer chaque point et finir par être en accord lors d’une décision à prendre.
— Le danger de l’habitude : que chaque instant soit unique et nous invite à créer des rites que nous pouvons modifier à tout moment.
— Le danger de la médiocrité : tout acte doit être désiré et construit en donnant le meilleur de nous-même.
Nous développons alors en nous les principes de la philanalyse :
« L’analyse
de l’amour humain ».
Pour l’expliquer, voici un extrait
de Comme une abeille hors de sa ruche,
tome troisième du Cycle de l’Austrel,
théâtre philosophique des écrits de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE :
(…)
« Sibyl :
— Hélas, je n’ai guère de solutions à te proposer.
Cependant, à trop vouloir te retrouver, tu risques de ne plus savoir aimer l’autre.
Je pense que l’amour est plus fort que la liberté puisqu’il l’engendre…
Yeph :
— L’amour ?
Sibyl :
— Oui, cette force extraordinaire est d’une puissance incommensurable.
Elle dépasse ou supplée le corps et la raison.
Si tu as confiance en toi, si tu oses sortir du temps et de l’espace, peut-être auras-tu la joie de rejoindre Tomas par le cœur, pour le laisser enfin partir ?
Alors, tout reprendrait sens ?
Il y a d’autres êtres dans cet univers qui méritent réellement de partager ton amour.
Yeph :
— Ah, j’aimerais tant...
Cependant, Chris, lui, devant le corps de Ghils... doit-il se réjouir de cette passion l’ayant conduit à la mort ?
Même hors de notre temporalité...
Pourquoi Ghils est mort ?
Sibyl :
— Pourquoi est-il né ?
Yeph :
— Voilà ma quête.
Je cherche la raison de notre vie corporelle liée à l’espace-temps, alors que mon âme s’ennuie à mourir !
Sibyl :
— Éveille ton cœur !
Intéresse-toi davantage à l’amour humain…
Yeph :
— La philanalyse…
Sibyl :
— Oui.
Regarde autour de toi ce qui tient l’homme debout et laisse-lui croire qu’il existe : la peur... la peur de nos peurs… elle entraîne ses armées farouches que sont la haine, la vengeance, la soif de pouvoir, le regret, la culpabilité, l’envie d’être autre ou d’être l’autre...
Yeph :
— L’illusion de la vie !
Sibyl :
— Bien entendu.
L’homme n’est rien qu’un vulgaire animal lorsqu’il oublie la place du cœur dans sa construction.
Toi, tu apprends dans la solitude cette dure réalité qui ne saurait être ta raison d’exister ici-bas »...
(…)
(…)
« Sibyl :
— Hélas, je n’ai guère de solutions à te proposer.
Cependant, à trop vouloir te retrouver, tu risques de ne plus savoir aimer l’autre.
Je pense que l’amour est plus fort que la liberté puisqu’il l’engendre…
Yeph :
— L’amour ?
Sibyl :
— Oui, cette force extraordinaire est d’une puissance incommensurable.
Elle dépasse ou supplée le corps et la raison.
Si tu as confiance en toi, si tu oses sortir du temps et de l’espace, peut-être auras-tu la joie de rejoindre Tomas par le cœur, pour le laisser enfin partir ?
Alors, tout reprendrait sens ?
Il y a d’autres êtres dans cet univers qui méritent réellement de partager ton amour.
Yeph :
— Ah, j’aimerais tant...
Cependant, Chris, lui, devant le corps de Ghils... doit-il se réjouir de cette passion l’ayant conduit à la mort ?
Même hors de notre temporalité...
Pourquoi Ghils est mort ?
Sibyl :
— Pourquoi est-il né ?
Yeph :
— Voilà ma quête.
Je cherche la raison de notre vie corporelle liée à l’espace-temps, alors que mon âme s’ennuie à mourir !
Sibyl :
— Éveille ton cœur !
Intéresse-toi davantage à l’amour humain…
Yeph :
— La philanalyse…
Sibyl :
— Oui.
Regarde autour de toi ce qui tient l’homme debout et laisse-lui croire qu’il existe : la peur... la peur de nos peurs… elle entraîne ses armées farouches que sont la haine, la vengeance, la soif de pouvoir, le regret, la culpabilité, l’envie d’être autre ou d’être l’autre...
Yeph :
— L’illusion de la vie !
Sibyl :
— Bien entendu.
L’homme n’est rien qu’un vulgaire animal lorsqu’il oublie la place du cœur dans sa construction.
Toi, tu apprends dans la solitude cette dure réalité qui ne saurait être ta raison d’exister ici-bas »...
(…)
Amour
et fidélité ?
Aimer l’autre avec quelles
conditions.
Appartenons-nous à l’autre ?
L’autre nous appartient-il ?
Mon meilleur ami.
Ma femme…
Mon fils.
Mon chien et ma maison…
Ma concession perpétuelle !
Ah, le drame sociétal de la « propriété privée », qui détruisit dans l’œuf les belles idées humanistes de la Révolution Française !
Chez les « êtres évolués » selon les travaux de recherche sur la sémantique générale du comte Alfred Habdank KORZYBSKI, développés génialement par Alfred Elton van VOGT avec le Cycle du Monde des Ā, la propriété privée est ce qui nous rattache le plus à l’animalité !
Nous tuons, et nous nous faisons tuer pour un territoire que l’on clôt par des frontières… et finie la liberté !
Certains affirment posséder des terres par droit divin, héritage ou vastes opérations financières… D’autres encore font toujours la guerre pour agrandir leur terrain de « chasse » en massacrant ou en asservissant celles et ceux qui vivaient en liberté, sur des espaces qu’ils aimaient sans en être prisonniers !
Les peuples amérindiens avaient une évolution supérieure à ces colons qui sont venus déployer des barbelés sur les prairies… L’Amérique est un immense champ de guerres… et ce continent n’a rien à envier à l’Europe pour la barbarie des combats, au nom de la « liberté » qui n’existe toujours hélas que sous la forme d’une grande statue.
L'Afrique est aussi un triste exemple de frontières tracées à « la règle » sur des terres où des peuples nomades vivaient en harmonie, jusqu'à ce que les religions et les tyrannies aient voulu asseoir un pouvoir, posséder… dominer !
L’Asie par sa « grande muraille » — glorifiée par celles et ceux qui en ont oublié l’origine détestable — est bien le symbole des peuples oppressés !
Liberté !
C’est un mot qui est tant prononcé et si peu vécu !
Posséder, c’est déjà perdre la liberté !
Il y a les biens matériels…
Il y a l’humain…
Alors, comment proposer la rencontre humaine dans la durée, sans se retrouver prisonnier notamment dans « l’encouplement », pour reprendre un néologisme fort utile de Vincent CESPEDES ?
Même « nos enfants » partent un jour… et notre couple est-il encore une réalité ?
Nos amis d’hier, si proches… sont-ils toujours nos amis d’aujourd’hui ?
L’amour est dans l’instant… avec la possibilité d’un demain…
« L’idéal du couple parfait » est le leurre d’une société qui gère nos « biens privés » avec art, avec talent… et surtout avec des avocats, des notaires, des juges et des banquiers… aux aguets !
Appartenons-nous à l’autre ?
L’autre nous appartient-il ?
Mon meilleur ami.
Ma femme…
Mon fils.
Mon chien et ma maison…
Ma concession perpétuelle !
Ah, le drame sociétal de la « propriété privée », qui détruisit dans l’œuf les belles idées humanistes de la Révolution Française !
Chez les « êtres évolués » selon les travaux de recherche sur la sémantique générale du comte Alfred Habdank KORZYBSKI, développés génialement par Alfred Elton van VOGT avec le Cycle du Monde des Ā, la propriété privée est ce qui nous rattache le plus à l’animalité !
Nous tuons, et nous nous faisons tuer pour un territoire que l’on clôt par des frontières… et finie la liberté !
Certains affirment posséder des terres par droit divin, héritage ou vastes opérations financières… D’autres encore font toujours la guerre pour agrandir leur terrain de « chasse » en massacrant ou en asservissant celles et ceux qui vivaient en liberté, sur des espaces qu’ils aimaient sans en être prisonniers !
Les peuples amérindiens avaient une évolution supérieure à ces colons qui sont venus déployer des barbelés sur les prairies… L’Amérique est un immense champ de guerres… et ce continent n’a rien à envier à l’Europe pour la barbarie des combats, au nom de la « liberté » qui n’existe toujours hélas que sous la forme d’une grande statue.
L'Afrique est aussi un triste exemple de frontières tracées à « la règle » sur des terres où des peuples nomades vivaient en harmonie, jusqu'à ce que les religions et les tyrannies aient voulu asseoir un pouvoir, posséder… dominer !
L’Asie par sa « grande muraille » — glorifiée par celles et ceux qui en ont oublié l’origine détestable — est bien le symbole des peuples oppressés !
Liberté !
C’est un mot qui est tant prononcé et si peu vécu !
Posséder, c’est déjà perdre la liberté !
Il y a les biens matériels…
Il y a l’humain…
Alors, comment proposer la rencontre humaine dans la durée, sans se retrouver prisonnier notamment dans « l’encouplement », pour reprendre un néologisme fort utile de Vincent CESPEDES ?
Même « nos enfants » partent un jour… et notre couple est-il encore une réalité ?
Nos amis d’hier, si proches… sont-ils toujours nos amis d’aujourd’hui ?
L’amour est dans l’instant… avec la possibilité d’un demain…
« L’idéal du couple parfait » est le leurre d’une société qui gère nos « biens privés » avec art, avec talent… et surtout avec des avocats, des notaires, des juges et des banquiers… aux aguets !
Vivre
en couple ?
Voici pour réfléchir, une
réalisation ouverte à la discussion, créée pour donner un sens nouveau au mot
« mariage »…
Je puis — avec leur accord — vous offrir le texte original lu par Élodie et Alexandre lors de leur cérémonie de « mariage », dans un espace qui leur plaisait, au cœur d’une nature aimable.
C’est une belle invitation à « vivre ensemble » qui n’énumère pas d’interdit, de devoirs, d’obligation ou de contraintes…
C’est une invitation au plaisir… l’intérêt le plus extraordinaire dans la rencontre humaine !
Un nouvel art de vivre ensemble, sans être dans « l’encouplement » :
Je puis — avec leur accord — vous offrir le texte original lu par Élodie et Alexandre lors de leur cérémonie de « mariage », dans un espace qui leur plaisait, au cœur d’une nature aimable.
C’est une belle invitation à « vivre ensemble » qui n’énumère pas d’interdit, de devoirs, d’obligation ou de contraintes…
C’est une invitation au plaisir… l’intérêt le plus extraordinaire dans la rencontre humaine !
Un nouvel art de vivre ensemble, sans être dans « l’encouplement » :
Mariage
d’Élodie & Alexandre
Élodie :
Il y eut un soir…
Alexandre :
Il y eut un matin…
Les deux, ensemble :
Un nouveau jour !
Cette nuit… et bien des nuits furent nécessaires pour nous préparer au jour, à ce jour…
Pour arriver au moment merveilleux du zénith…
Élodie :
Où, moi, Élodie, j’ai vraiment désiré être désirée par l’être que je désirais.
Et je suis enfin disponible aujourd’hui pour aller à ta rencontre, Alexandre…
Alexandre :
Où, moi, Alexandre, j’ai vraiment désiré être désiré par l’être que je désirais.
Et je suis enfin disponible aujourd’hui pour aller à ta rencontre, Élodie.
Les deux, ensemble :
Tant d’aventures, de souvenirs vécus, de souvenirs induits, de mémoires et d’histoires pour construire aujourd’hui notre histoire commune.
Alexandre :
J’accueille ton hier, Élodie, avec les joies et les peines du passé, les mystères de ton jardin qui me permettent aujourd’hui d’espérer le meilleur pour demain.
Élodie :
Moi aussi, Alexandre, je suis heureuse de recevoir ton passé qui, au fil des générations et des années vécues, m’offre le meilleur de toi-même pour l’à venir.
Les deux, ensemble :
Nous voulons devenir tous les deux les acteurs d’une histoire commune dans ce monde, et pour arriver ensemble à deux — en ce matin d’été — il y a eu une longue suite de chemins de réflexions, de doutes…
Il y a eu des temps de craintes, de joies et surtout d’espérance…
Élodie :
Pourquoi, pour qui, pour combien de temps ?
Alexandre :
S’engager, s’allier, s’unir ?
Élodie :
Quelle folie…
Alexandre :
Quelle folie !
Les deux, ensemble :
Quel sens donner à notre choix de vie ?
Nous sommes en matinée… et cependant comme le jour est déjà fort avancé dans nos aventures humaines, dans nos vies de simples mortels sur cette Terre qui voit passer tant d’histoires !
Sachez-le, amis, parents, famille… au milieu de Dame Nature qui se veut bien clémente… sachez donc : ce n’est pas le jour de « notre mariage » que nous célébrons avec vous… Eh oui !
Aujourd’hui, dans cet endroit que nous aimons, nous sommes heureux de faire mémoire — avec vous tous ici présents qui nous êtes si chers — de faire mémoire, alors, de cet instant secret, mystérieux, merveilleux, magique… où…
Élodie :
Moi, Élodie
Alexandre :
& moi, Alexandre,
Les deux, ensemble :
Dans le jardin secret de notre cœur, de tout notre corps, et en notre âme et conscience, nous avons eu la sagesse et la folie d’oser prendre ensemble une piste nouvelle dont nous traçons chaque instant la route.
Au-delà de notre trésor commun, nous souhaitions nous réunir, nous retrouver, pour vous annoncer cette heureuse nouvelle !
Oui, sachez-le et réjouissez-vous : Élodie et Alexandre se sont engagés à cheminer ensemble… L’aventure sur divers océans et une île pour se retrouver, déposer les trésors, se restaurer, raconter mille histoires, et repartir !
Oui, que ce soir, demain et dans mille ans, l’on fasse mémoire aussi de ces deux personnages que nous sommes ! Nous avons donc besoin de vous, comme témoins ! Vous êtes les dépositaires d’une aventure qui se veut heureuse, que nous souhaitons belle, originale et durable, bien au-delà de nos pauvres carcasses ! L’île qui nous unit n’a pas de mur d’enceinte… mais saurez-vous braver les flots pour accoster et nous rencontrer ?
Serez-vous respectueux de notre vie, en considération aussi ?
Alexandre :
Oui, Élodie, que toutes celles et ceux ici présents entendent bien que j’ai pris ta main pour la mettre dans la mienne. Je me sens en sécurité et en confiance.
La route peut être longue, même difficile, elle sera belle !
Élodie :
Oui, Alexandre, que toutes celles et ceux ici présents entendent bien que j’ai pris ta main pour la mettre dans la mienne. Je me sens en sécurité et en confiance. La route peut être longue, même difficile, elle sera belle !
Les deux, ensemble :
Et afin que dans chacun des instants de notre vie, nous puissions avoir le souvenir de ce geste de solidarité et de confiance mutuelle…
Afin de ne pas oublier dans les temps forts de joies et de folie ce qui nous donnera force et courage pour garder la tête haute et avancer tant dans nos nuits que lors des jours à venir…
Élodie :
Moi, Élodie, je te mets au doigt, cher Alexandre, cette alliance, signe symbolique et bijou bien réel — puissant rappel de notre amour solidaire. Cet anneau n’est pas une chaîne qui t’emprisonne à moi, mais il représente à mes yeux l’anneau qui peut me permettre de me raccrocher, et de ne pas tomber lors de nos escalades les plus délicates… Je t’assure par ce geste de la confiance que je t’accorde de faire de mon mieux afin de t’offrir chaque jour le meilleur de moi-même, de ne pas m’abîmer, de ne pas t’abîmer.
Alexandre :
Moi, Alexandre, je te mets au doigt, chère Élodie, cette alliance, signe symbolique et bijou bien réel — puissant rappel de notre amour solidaire. Cet anneau n’est pas une chaîne qui t’emprisonne à moi, mais il représente à mes yeux l’anneau qui peut me permettre de me raccrocher, et de ne pas tomber lors de nos escalades les plus délicates… Je t’assure par ce geste de la confiance que je t’accorde de faire de mon mieux afin de t’offrir chaque jour le meilleur de moi-même, de ne pas m’abîmer, de ne pas t’abîmer.
Les deux, ensemble :
Alors, que nous puissions construire et vivre tous les deux un grand amour, avec de nombreuses amitiés.
Cela se fera bien entendu avec votre aide — amis, parents, famille — car nous sommes certains, au plus profond de nos cœurs, qu’un mariage ne se vit pas à deux mais bien aussi avec la présence des êtres que nous aimons et qui nous aiment…
Nous serons fidèles à nos rêves, en espérant que la réalité leur donne forces vives !
Alors, en bonne entente avec Dame Nature qui a toujours compté dans notre vie, nous vous disons merci d’être là aujourd’hui et d’être chaque jour les témoins de notre promenade de vie, main dans la main…
Que demain nous soit plaisant, et que vous puissiez en savourer une bonne tranche avec nous, quand bon nous semblera, quand bon vous semblera !
Alexandre :
Merci à toi, Élodie…
Élodie :
Merci à toi, Alexandre…
Les deux, ensemble :
Merci à vous tous !
Que la fête se poursuive…
Il y eut un soir…
Alexandre :
Il y eut un matin…
Les deux, ensemble :
Un nouveau jour !
Cette nuit… et bien des nuits furent nécessaires pour nous préparer au jour, à ce jour…
Pour arriver au moment merveilleux du zénith…
Élodie :
Où, moi, Élodie, j’ai vraiment désiré être désirée par l’être que je désirais.
Et je suis enfin disponible aujourd’hui pour aller à ta rencontre, Alexandre…
Alexandre :
Où, moi, Alexandre, j’ai vraiment désiré être désiré par l’être que je désirais.
Et je suis enfin disponible aujourd’hui pour aller à ta rencontre, Élodie.
Les deux, ensemble :
Tant d’aventures, de souvenirs vécus, de souvenirs induits, de mémoires et d’histoires pour construire aujourd’hui notre histoire commune.
Alexandre :
J’accueille ton hier, Élodie, avec les joies et les peines du passé, les mystères de ton jardin qui me permettent aujourd’hui d’espérer le meilleur pour demain.
Élodie :
Moi aussi, Alexandre, je suis heureuse de recevoir ton passé qui, au fil des générations et des années vécues, m’offre le meilleur de toi-même pour l’à venir.
Les deux, ensemble :
Nous voulons devenir tous les deux les acteurs d’une histoire commune dans ce monde, et pour arriver ensemble à deux — en ce matin d’été — il y a eu une longue suite de chemins de réflexions, de doutes…
Il y a eu des temps de craintes, de joies et surtout d’espérance…
Élodie :
Pourquoi, pour qui, pour combien de temps ?
Alexandre :
S’engager, s’allier, s’unir ?
Élodie :
Quelle folie…
Alexandre :
Quelle folie !
Les deux, ensemble :
Quel sens donner à notre choix de vie ?
Nous sommes en matinée… et cependant comme le jour est déjà fort avancé dans nos aventures humaines, dans nos vies de simples mortels sur cette Terre qui voit passer tant d’histoires !
Sachez-le, amis, parents, famille… au milieu de Dame Nature qui se veut bien clémente… sachez donc : ce n’est pas le jour de « notre mariage » que nous célébrons avec vous… Eh oui !
Aujourd’hui, dans cet endroit que nous aimons, nous sommes heureux de faire mémoire — avec vous tous ici présents qui nous êtes si chers — de faire mémoire, alors, de cet instant secret, mystérieux, merveilleux, magique… où…
Élodie :
Moi, Élodie
Alexandre :
& moi, Alexandre,
Les deux, ensemble :
Dans le jardin secret de notre cœur, de tout notre corps, et en notre âme et conscience, nous avons eu la sagesse et la folie d’oser prendre ensemble une piste nouvelle dont nous traçons chaque instant la route.
Au-delà de notre trésor commun, nous souhaitions nous réunir, nous retrouver, pour vous annoncer cette heureuse nouvelle !
Oui, sachez-le et réjouissez-vous : Élodie et Alexandre se sont engagés à cheminer ensemble… L’aventure sur divers océans et une île pour se retrouver, déposer les trésors, se restaurer, raconter mille histoires, et repartir !
Oui, que ce soir, demain et dans mille ans, l’on fasse mémoire aussi de ces deux personnages que nous sommes ! Nous avons donc besoin de vous, comme témoins ! Vous êtes les dépositaires d’une aventure qui se veut heureuse, que nous souhaitons belle, originale et durable, bien au-delà de nos pauvres carcasses ! L’île qui nous unit n’a pas de mur d’enceinte… mais saurez-vous braver les flots pour accoster et nous rencontrer ?
Serez-vous respectueux de notre vie, en considération aussi ?
Alexandre :
Oui, Élodie, que toutes celles et ceux ici présents entendent bien que j’ai pris ta main pour la mettre dans la mienne. Je me sens en sécurité et en confiance.
La route peut être longue, même difficile, elle sera belle !
Élodie :
Oui, Alexandre, que toutes celles et ceux ici présents entendent bien que j’ai pris ta main pour la mettre dans la mienne. Je me sens en sécurité et en confiance. La route peut être longue, même difficile, elle sera belle !
Les deux, ensemble :
Et afin que dans chacun des instants de notre vie, nous puissions avoir le souvenir de ce geste de solidarité et de confiance mutuelle…
Afin de ne pas oublier dans les temps forts de joies et de folie ce qui nous donnera force et courage pour garder la tête haute et avancer tant dans nos nuits que lors des jours à venir…
Élodie :
Moi, Élodie, je te mets au doigt, cher Alexandre, cette alliance, signe symbolique et bijou bien réel — puissant rappel de notre amour solidaire. Cet anneau n’est pas une chaîne qui t’emprisonne à moi, mais il représente à mes yeux l’anneau qui peut me permettre de me raccrocher, et de ne pas tomber lors de nos escalades les plus délicates… Je t’assure par ce geste de la confiance que je t’accorde de faire de mon mieux afin de t’offrir chaque jour le meilleur de moi-même, de ne pas m’abîmer, de ne pas t’abîmer.
Alexandre :
Moi, Alexandre, je te mets au doigt, chère Élodie, cette alliance, signe symbolique et bijou bien réel — puissant rappel de notre amour solidaire. Cet anneau n’est pas une chaîne qui t’emprisonne à moi, mais il représente à mes yeux l’anneau qui peut me permettre de me raccrocher, et de ne pas tomber lors de nos escalades les plus délicates… Je t’assure par ce geste de la confiance que je t’accorde de faire de mon mieux afin de t’offrir chaque jour le meilleur de moi-même, de ne pas m’abîmer, de ne pas t’abîmer.
Les deux, ensemble :
Alors, que nous puissions construire et vivre tous les deux un grand amour, avec de nombreuses amitiés.
Cela se fera bien entendu avec votre aide — amis, parents, famille — car nous sommes certains, au plus profond de nos cœurs, qu’un mariage ne se vit pas à deux mais bien aussi avec la présence des êtres que nous aimons et qui nous aiment…
Nous serons fidèles à nos rêves, en espérant que la réalité leur donne forces vives !
Alors, en bonne entente avec Dame Nature qui a toujours compté dans notre vie, nous vous disons merci d’être là aujourd’hui et d’être chaque jour les témoins de notre promenade de vie, main dans la main…
Que demain nous soit plaisant, et que vous puissiez en savourer une bonne tranche avec nous, quand bon nous semblera, quand bon vous semblera !
Alexandre :
Merci à toi, Élodie…
Élodie :
Merci à toi, Alexandre…
Les deux, ensemble :
Merci à vous tous !
Que la fête se poursuive…
— - — - --
Cette formidable invitation à « vivre
ensemble » se construit dans une confiance réciproque où le sens du mot
« amour » n’est pas exclusif et étouffant.
« L’amour de l’un pour l’autre » n’est pas un amour exclusif à deux, dans cette idée revisitée du mariage. C’est une force vive ouvrant à la conquête du monde, en se sachant plus fort d’avoir « une île » où l’on sait pouvoir retrouver l’autre !
Même si l’on croit parfois s’être trompé lors d’une aventure ?
Même si l’on pense parfois avoir été trompé ?
Oui !
Lorsque l’on est déçu du monde et des autres, et de soi, parfois… retrouver « l’île », pouvoir se restaurer, pardonner, se pardonner… reprendre courage, retrouver l’audace et réveiller le plaisir…
Repartir, assuré de revenir avec des trésors… voilà peut-être le sens de la vie…
Vivre en couple, c’est bien agrandir notre espace de liberté…
Comprendre l’autre dans l’erreur, le soutenir, le rattraper ou l’aider quand il y a chute…
Saisir que dans l’échec, il n’y a pas un coupable et une victime mais bien deux victimes.
Après, en paix « sur l’île », il faut étudier comment se reconstruire car nous nous savons faibles et il ne faut pas oublier qu’une victime se transforme parfois en bourreau… et les drames risquent de se suivre.
« L’amour de l’un pour l’autre » n’est pas un amour exclusif à deux, dans cette idée revisitée du mariage. C’est une force vive ouvrant à la conquête du monde, en se sachant plus fort d’avoir « une île » où l’on sait pouvoir retrouver l’autre !
Même si l’on croit parfois s’être trompé lors d’une aventure ?
Même si l’on pense parfois avoir été trompé ?
Oui !
Lorsque l’on est déçu du monde et des autres, et de soi, parfois… retrouver « l’île », pouvoir se restaurer, pardonner, se pardonner… reprendre courage, retrouver l’audace et réveiller le plaisir…
Repartir, assuré de revenir avec des trésors… voilà peut-être le sens de la vie…
Vivre en couple, c’est bien agrandir notre espace de liberté…
Comprendre l’autre dans l’erreur, le soutenir, le rattraper ou l’aider quand il y a chute…
Saisir que dans l’échec, il n’y a pas un coupable et une victime mais bien deux victimes.
Après, en paix « sur l’île », il faut étudier comment se reconstruire car nous nous savons faibles et il ne faut pas oublier qu’une victime se transforme parfois en bourreau… et les drames risquent de se suivre.
En
conclusion :
« L’amour » est un
merveilleux chemin de vie qui construit notre humanité :
Il nous invite à prendre soin de soi, à considérer l’autre.
« L’amour » nous offre de belles amitiés qui nous permettent de grandir à la rencontre de l’autre, et de donner à l’autre la possibilité de grandir aussi !
Notre vie prend alors tout son sens.
Il nous invite à prendre soin de soi, à considérer l’autre.
« L’amour » nous offre de belles amitiés qui nous permettent de grandir à la rencontre de l’autre, et de donner à l’autre la possibilité de grandir aussi !
Notre vie prend alors tout son sens.
Fin de la seconde partie…
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pour poursuivre votre réflexion sur l'Amour humain :
"À la recherche du surhomme" !
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"De l'Amitié & de l'Amour", une création originale par Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe, tous droits réservés ©…
Auteur : Yves Philippe de Francqueville
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